Village de Pointe-Lebel
Le village de Pointe-Lebel, situé au bord du fleuve Saint-Laurent, de la rivière Manicouagan et de la rivière aux Outardes, se déploie sur un territoire de plus de 91 kilomètres carrés au sud-est de Baie-Comeau. Le village regroupe environ 2 mille Lebeloises et Lebelois.
Pointe-Lebel possède de majestueux paysages caractéristiques de la région administrative de la Côte-Nord. La localité fait partie de la Municipalité Régionale de Comté de Manicouagan.
Le nom du village vient de Norbert Lebelle (ou Lebel), qui y s’établit en 1902 avec sa famille. Auparavant, l’endroit était connu sous le nom de Pointe Manicouagan. Curieusement, les Montagnais qui vivaient ou venaient chasser et pêcher dans cette région, appelaient la pointe Neshtât Kâmiluâs, ce qui signifie «belle pointe de sable». M. Lebelle avait donc un nom prédestiné pour venir s’établir en ces lieux. On y trouve une longue pointe de 25 kilomètres, où les marées créent d’immenses bancs de sable. Aujourd’hui, on peut accéder à la plage depuis le cœur du village à partir de la rue Chouinard ou de la Promenade, et à Pointe-Paradis, au 1335 de la rue Granier, principale rue du village longeant la plage.
Vers 1930, le gouvernement de la province de Québec concède des lots de terres à un groupe de familles qui s’y installent. La municipalité de Pointe-Lebel a été constituée civilement en 1964.
Pointe-Lebel est un village de villégiature où l’on peut admirer les plongeons des balbuzards et goûter les fruits sauvages qui y abondent. En période de migration, des outardes et des oies des neiges font une halte à Pointe-Lebel.
On y trouve un camping (le Camping de la Mer), un gîte du passant et des chalets à louer, ainsi qu’une dizaine de restaurants. Notez que l’aéroport régional de Baie-Comeau (aéroport fédéral) se trouve sur le territoire de Pointe-Lebel.
Sur le plan économique, la Corporation de développement de Pointe-Lebel est un organisme créé afin d’assurer le développement de Pointe-Lebel, favoriser la création d’emplois, promouvoir le développement culturel, économique, touristique et social du village. Un des dossiers majeurs géré par la Corporation est l’aménagement d’une piste cyclable.
Pour le moment, la plus grande partie des résidents de Pointe-Label travaillent dans la ville de Baie-Comeau.
Historique de la municipalité de Pointe-Lebel
Implantée sur la Côte-Nord, à 186 km à l’est de Tadoussac, près de Baie-Comeau, au nord, et de Pointe-aux-Outardes, à l’ouest, cette municipalité a été officiellement érigée en 1964. Vers 1930, l’arrivée massive de colons, attirés par les lots que le gouvernement distribuait gratuitement à ceux qui acceptaient de les défricher et de les cultiver, a contribué au développement de la municipalité. Si l’agriculture a été florissante au début, aujourd’hui elle est pratiquement inexistante, les Lebelois œuvrant pour la plupart à Baie-Comeau.
Le principal attrait de l’endroit consiste en de magnifiques plages qui courent sur des kilomètres le long de la rivière Manicouagan, n’attirant que peu de touristes, faute d’infrastructures efficaces à cet égard et peut-être également d’un climat favorable.
Pointe-Lebel doit son nom au premier habitant, Norbert Lebel, qui s’y est établi en 1902. Il s’installe sur une pointe et, comme il doit traverser la rivière Manicouagan pour aller travailler au chantier forestier de Manicouagan, les gens du côté opposé prennent l’habitude de désigner l’endroit Pointe à Lebel, nom rapidement soudé en Pointe-Lebel et attribué au bureau de poste mis en service en 1924. Les Montagnais avait baptisé les lieux Neshkât Kâmiluças, « belle pointe de sable ».
Coordonnées de Pointe-Lebel :
365, rue Granier
Pointe-Lebel
G0H 1N0.
Téléphone : 418 589 8073.
Site internet de Pointe-Lebel : pointe-lebel.com.
Voir aussi :
Monsieur & Madame
Je suis monté à Baie Comeau pour le funérail de mon frère, Ronald Richard le 15 mai. Nous avons couchés à Pointe Lebel, chez mon neveu tout près de l’église .
Nous montions au funérail le 17 mai et la police me donna une amande pour vitesse . Je n’ai pas vu l’enseigne que la vitesse avait changer de 80 km à 50 km. Je me suis excusé pour mon excess de vitesse donc que je n’avais pas vu.
J’étais descendu pour le funérail de mon frère, je n’avais aucun infraction sur mon permis de conduire , aucune accident dans les dernier 10 ans. Je conduis toujours avec prudence. Mon erreur était une erreur Humaine. Je ne cherchais pas de me sauver ou de conduire imprudent.
L’officier me parla avec aucun sentiment humain, comme si j’avais fais une très grave erreur .
J’ai payé mon ammande, je respecte les loi . Je n’ai pas une coeur de bois.
Bien à vous
Francis Richard.
Bonjour,
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Pascal Grenier, resp.
Groupe de simplicité volontaire de Québec
15 Ave Marcoux
Québec, (Qc.)
G1E 4N9
(418) 660-3550
responsable@gsvq.org
www.gsvq.org
« Si le silence nous pèse, c’est que nous en avons terriblement besoin ».