Ville de Plessisville
La capitale mondiale de l’érable
Située dans le piedmont des Appalaches, au cœur des Bois-Francs, dans le Centre-du-Québec, Plessisville est la plus ancienne municipalité de Bois-Francs et fait partie de la Municipalité régionale de comté d’Érable, ce qui est naturel, puisque Plessisville se trouve dans une imposante forêt d’érables. Sa situation géographique est très avantageuse, car Plessisville occupe une position stratégique entre les villes de Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières. La population totale de la Ville de Plessisville (superficie 4,4 kilomètres carrés) est d’environ 7 000 Plessisvilloises et Plessisvillois.
D’accès facile aux plus grandes villes canadiennes et américaines par la voie fluviale (à partir du port de Bécancour), par avion (deux aéroports à proximité), par route (l’autoroute 20), Plessisville compte plusieurs compagnies de transport urbain confirmant sa localisation stratégique.
Plessisville est considérée comme la Capitale mondiale de l’érable grâce à ses réserves d’arbres et aux nombreuses entreprises qui gèrent, transforment et commercialisent cette ressource naturelle de diverses façons. Par conséquent, les retombées économiques imputables à l’acériculture et à la production relevant de l’érable sont élevées. Aujourd’hui, Citadelle, coopérative de producteurs de sirop d’érable, transforme et distribue ses produits dans plus de 35 pays répartis sur les cinq continents.
Plessisville est né en 1835, quand M. Jean-Baptiste Lafond et son fils arrivèrent à Somerset et décident de s’installer dans ces lieux. La communauté croît de façon remarquable. Au cours de l’année 1855, le village de Somerset est incorporé comme Village de Plessisville.
Les nouveaux habitants au Québec apprendront avec intérêt que le slogan de Plessisville est très éloquent : Le choix d’une qualité de vie parce que le développement rapide de Plessisville assure une qualité de vie excellente dans un milieu sain.
Plusieurs ressources accueillent les nouveaux arrivants et les accompagnent tout au long de leur installation dans la ville. Ce sont le Centre local de Développement, le Comité de promotion industrielle de Plessisville entre autres.
La municipalité dispose également d’un grand parc industriel et d’une main d’œuvre qualifiée. Les perspectives d’emploi y sont donc très intéressantes. En plus de la transformation des produits de l’érable, on retrouve à Plessisville une cinquantaine d’entreprises œuvrant dans le domaine de l’alimentation, dans l’usinage du bois, de l’ébénisterie, du textile, de l’édition et de la métallurgie. Plus de 4000 personnes sont actives sur le marché du travail dans les différents secteurs d’activités. On constate une fois de plus que la municipalité constitue un pôle d’emploi régional considérable.
Remarquerons aussi le Parc de la rivière Bourbon. Ce site reposant offre des aires de pique-nique, un skate-parc, un sentier pédestre, une piste cyclable et des jeux pour les enfants. Une passerelle, œuvre de M. Armand Vaillancourt, sculpteur de renommée internationale, surplombe la rivière.
Pour dormir, on peut s’arrêter au gîte La Maison Douce (au 1326, rue Saint-Calixte) ou au motel À la Claire Fontaine (2165, rue Saint-Calixte). Quant à la restauration, on y trouve le Café Rétro-Pop et le restaurant-bar Le Martin’y (1587, avenue Saint-Louis), le restaurant Chez Aurélien (2051, rue Saint-Jean) et plusieurs autres établissements.
Site officiel de la Ville de Plessisville : ville.plessisville.qc.ca.
Pour joindre la Ville de Plessisville :
1700, rue Saint-Calixte Plessisville
G6L 1R3
Téléphone : 819 362-3284.
Lieu-dit Pointe-à-Mailhot
Ce lieu-dit se trouve au sud-est de Plessisville à la rencontre de la route 265 et celle de Sainte-Sophie, dans la municipalité de la paroisse de Plessisville.
Le nom de Pointe-à-Mailhot souligne la présence d’une famille établie à cet endroit depuis six générations. Cette lignée remonte à Pierre Mailhot, originaire de Bécancour, qui s’installe à Somerset (Plessisville) en 1838. Son fils Joseph (1839-1927) possédait une forge à cet endroit et la terre familiale était exploitée par ses propres fils Joseph junior, Eugène et Napoléon. On pense que c’est depuis l’existence de la forge que l’endroit est désigné La Pointe-à-Mailhot. D’abord reconnu en 1968 comme le hameau de Savoie, bureau de poste de 1905 à 1931 ainsi nommé en souvenir de François-Narcisse Savoie, pionnier des Bois-Francs, il semble que l’usage en a toujours fait un lieu-dit dont on relève les variantes suivantes : Le Coin-Mailhot, Le Croche-à-Mailhot, Le Coin-à-Mailhot et Pointe-à-Mailhot.
Ces désignations viennent sans doute de la forme que l’on veut bien voir dans la rencontre des deux routes à cet endroit. Ce n’est que depuis 1980 qu’il est officiellement désigné La Pointe-à-Mailhot. Sur la route 265 à environ 5 km au sud-est de celui-ci, il existe un autre lieu-dit connu sous le nom de Mailhot, désignation d’un bureau de poste dont Alfred Mailhot fut le premier responsable. La variante graphique de ce patronyme a pu identifier ce second bureau établi dès 1892 et, comme le précédent, fermé en 1931, par suite de l’avènement de la distribution du courrier dans les rangs.
Lire aussi :
- Armoiries de Plessisville
- Festival Country de Plessisville
- La Sucrerie d’antan
- Sirop d’érable
- Moto-tourisme en Beauce
- MRC de l’Érable
- Rivière Bécancour
- Parcs du Centre-du-Québec
J’aimerais avoir de l’infrmation sur la construction de votre bureau des postes, construit en 1887.
Je sais qu’aujourd’hui il est convertit en bureau de rapport, peut être pouvez m’indiquer à qui m’adresser pour obtenir ces renseignements.
Merci
j’aimerais savoir vous avez un festival country en cette fin de semaine je voudrais avoir des détails car je ne suis pas capable d’embarquer sur le site sil -vous plaitme dire tous les détails je vous dit un beau merci bien à vous
Lorraine Giroux
Je cherche de l’information sur l’équipe de baseball Les Braves. Est-ce que vous pouvez m’aider?