Laurier-Station

Village de Laurier-Station

Laurier-Station est une municipalité de village rattachée à la région administrative de Chaudière-Appalaches et située en plein cœur de la municipalité régionale de comté de Lotbinière, à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de la ville de Lévis. Le village compte environ 3 mille résidents et recouvre une superficie de plus de 12 kilomètres carrés.

Laurier-Station se situe dans les basses-terres du Saint-Laurent, à 43 kilomètres de la ville de Québec.

Laurier-Station faisait partie de la paroisse de Saint-Flavien jusqu’en 1951 où elle devient une municipalité, notamment le 1er janvier 1951.

Historiquement, c’est la gare du Canadien National, construite en 1880, qui lance le développement de la région et un bureau de poste sous le nom de Laurier y est ouvert en 1900. Cette gare a été ouverte pour faciliter l’exploitation du bois. C’est d’ailleurs grâce à cette gare que le village a reçu son nom, parce que le premier ministre du Canada Sir Wilfrid Laurier (1841-1919), le premier Canadien français à devenir premier ministre du pays, s’y arrêta durant l’une de ses campagnes électorales.

Entre les années 1920 et 1930, l’industrie du meuble s’implante sur le territoire, suivie de l’ouverture des plusieurs commerces et services.

Dans les années 1950, l’avènement de l’autoroute Transcanadienne (autoroute Jean-Lesage) et le développement d’industries de fabrication de meubles propulsèrent le nouveau développement de la localité et l’abandon graduel du chemin de fer dont la gare sera fermée définitivement en 1980.
L’arrivée de nouveaux commerces, industries et services gouvernementaux permet au village de devenir un carrefour régional.

On accède à Laurier-Station en empruntant la route 271 x l’autoroute 20.

Historique de Laurier-Station

Le territoire de cette municipalité de forme rectangulaire, située sur la rive sud du Saint-Laurent dans la région administrative de la Chaudière-Appalaches, à la hauteur de Sainte-Croix, est traversé par l’autoroute Jean-Lesage et borné, au nord, par Notre-Dame-du-Sacré-Cœur-d’Issoudun et, au sud, par Saint-Flavien, dont il a été détaché en grande partie.

Établie en 1951, la municipalité de village, qui relevait du point de vue religieux de la paroisse de Saint-Flavien, érigée en 1834, et dont les balbutiements remontent au début du XXe siècle, a connu un développement rapide grâce à la présence d’une gare de chemin de fer, marquée concrètement dans le nom municipal même par l’inclusion du constituant Station. La « station » est d’ailleurs pratiquement abandonnée depuis 1980, les trains y passant à grande vitesse.

L’essor de ce village a profité du voisinage de l’autoroute et s’est effectué grâce surtout à l’industrie et au commerce de l’automobile. De nos jours, cet important carrefour routier est prospère à cause notamment de l’industrie du meuble. On y trouve, en outre, des représentants de presque tous les métiers de la construction (béton, bois, terrassement), employés localement, dans la région et dans la banlieue de Québec. La dénomination municipale, qui a d’abord désigné la station du Canadien National tout comme le bureau de poste créé en 1900 sous le nom de Laurier, rend hommage à la mémoire de sir Wilfrid Laurier (1841-1919), le premier Canadien français à devenir premier ministre du Canada (1896-1911). Ayant puissamment contribué au développement du Canada, notamment par son rôle dans l’expansion du chemin de fer dans l’Ouest et dans la construction de la section de la voie reliant Québec à Winnipeg, il a été défait à cause de son projet de libre-échange avec les États-Unis, sujet qui est toujours d’actualité.

Hébergement

Hôtel Rayalco. 104, rue Olivier, Laurier-Station. 17 unités.

Coordonnées de Laurier-Station :

121, rue Saint-André
Laurier-Station
G0S 1N0

Téléphone : 418 728-3852.

Site Web du village Laurier-Station : ville.laurier-station.qc.ca.

laurier station
Laurier Station vers 1960. Source de l’image : canada.iquebec.com/html.

Laisser un commentaire