Ville de Montréal-Est
La Ville de Montréal-Est a été constituée le 1er janvier 2006 sur une superficie de plus de 12 kilomètres. Montréal-Est regroupe environ 4 mille Montréalaises et Montréalais de l’Est. Naturellement, la ville fait partie de la région administrative de Montréal et de la Communauté métropolitaine de Montréal.
Montréal-Est ne comprend que des installations à vocation industrielle, telles que des usines chimiques et pétrochimiques, des raffineries, etc.
Sur le territoire de Montréal-Est se trouvent des installations historiques de raffinage au Canada. Ces bâtiments du patrimoine industriel ont été construits en 1913.
Aujourd’hui, on trouve à Montréal-Est des compagnies de pétrole très importantes au Canada, comme la Royal Dutch Shell, Petro-Canada, Gulf Canada Oil, Petromont qui raffinent des centaines de milliers de barils de pétrole par jour.
Quant aux entreprises chimiques et pétrochimiques, à Montréal-Est se trouvent Coastal Pétrochimie, Interquisa Canada – CEPSA, Pétrochimie Ptt Poly, Pétrochimie ParaChem S.E.C entre autres.
Cette ville ne compte que 4 mille résidents sur un territoire de 12 kilomètres carrés. Fait notable: à cause de la concentration d’usines, la qualité de l’air dans la ville de Montréal-Est est la pire de l’île de Montréal et peut-être au Québec.
Ce sont les autobus 186, 187 et 189 qui relient la ville à Montréal, leurs parcours débutent à la station de métro Honoré-Beaugrand.
Coordonnées de la mairie de la ville de Montréal-Est :
11370, rue Notre-Dame Est
Montréal-Est
H1B 2W6.
Téléphone : 514 645 7431.
Site Web de ville de Montréal-Est : ville.montreal-est.qc.ca.
Lieu-dit Bout-de-l’Île
Le toponyme descriptif Bout-de-l’Île désigne un lieu-dit formant l’extrémité nord-est de l’île de Montréal. À proximité, au confluent de la rivière des Prairies et du fleuve Saint-Laurent, le pont Le Gardeur construit en 1939 et longtemps désigné comme Pont du Bout-de-l’Île, donne accès à la ville de Repentigny. L’usage de cette appellation remonte au XVIIe siècle. Dès 1697, on parlait de la construction de la redoute en bois du « Bout de l’isle ».
À cette époque, on connaissait aussi l’endroit comme la Pointe-du-Montréal. Une carte de l’île représentant les terrains concédés à l’intérieur de la seigneurie datée de 1702, indique la concession du « bout de l’isle au numéro 12 de la Coste de la Rivière-des-Prairies ». L’aveu et dénombrement de la seigneurie de Montréal (1731) note le « lieu appelé le Bout de l’île, de 2 lieues de front, sur le bord du fleuve ».
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