Le code de conduite du bon propriétaire de chien
Montréal est classé parmi les 25 meilleurs villes au monde en ce qui concerne sa qualité de vie. Pourtant, une de ses caractéristiques, en l’occurrence la propreté douteuse de ses rues, l’empêche de s’élever au rang des dix meilleures villes.
Prenons par exemple le cas des propriétaires de chiens. Tous les résidents de la ville ont été confrontés aux effets désagréables engendrés par la conduite d’un voisin mal élevé qui possède un chien.
Mesdames, Messieurs, en tant que maître d’un chien, faites preuve de savoir-vivre en société, respectez les gens qui vous entourent et appliquez le code du bon propriétaire.
N’oubliez pas qu’une conduite prévenante et correcte contribue à diminuer les préjugés défavorables vis-à-vis des chiens. Par contre, le manque de respect de la part d’un seul propriétaire, provoque des réactions négatives envers tous les chiens de la ville.
N’oubliez pas que certaines personnes n’aiment pas les chiens (c’est leur droit, non ?). De ce fait, ils ne sont pas prêts à pardonner les yeux fermés les bévues de votre ami à quatre pattes.
De plus, certains ont peur des chiens ou sont mal à l’aise en leur présence. Bon, ils ne connaissent pas ces admirables animaux, soit. Cependant, un fait est confirmé : ceux qui n’aiment pas les chiens, ont souvent gardé de mauvais souvenirs lors de contacts antérieurs avec la gent canine. Et c’est généralement la faute d’un maître négligeant ou irrespectueux.
Par conséquent, soyez attentifs, faites preuve de civisme, comportez-vous en bon citoyen et éduquez votre chien en conséquence. C’est avant tout POUR VOTRE BIEN et pour le BIEN DE VOTRE CHIEN !
Alors :
Ramassez toujours ces petites choses que votre chien laisse sur l’asphalte. Ces déjections provoquent une réaction très négative envers tous les canins. Elles contribuent à donner l’image d’une ville sale et négligée. Malheureusement, aucune rue de Montréal n’échappe à ce phénomène, même si on reconnaît que plusieurs propriétaires agissent en bons voisins et ramassent les déchets. Pas tous, hélas…
Ne laissez pas votre chien se promener librement sur le trottoir, attache-le toujours. Même si votre chien est très bien élevé et marche fièrement au pied de son ami humain, il faut le tenir en laisse. Rappelons qu’il y a des gens qui sont angoissés, qui ont des palpitations cardiaques et une hausse de tension artérielle quand ils croisent un chien dans la rue. Oui, oui, votre toutou est joli, charmant et tout à fait inoffensif. Mais les gens ne le savent pas forcément, leur sang se glace dans les veines et ils deviennent des ennemis jurés des chiens. Votre intention est-elle de former des ennemis de la race canine ?
Alors, aidez les personnes ignorantes qui ne partagent votre amour pour les chiens, à apprendre qu’ils ont tort et que le chien est un être idéal !
Recherches sur une seconde vie
Le phénomène de la mort est-il composé de plusieurs étapes? Un savant russe faire revivre des chiens
Il y n dix ans qu’un physiologiste russe, Serge Brukhanenko, émule de l’école du grand Ivan Pavloff, à bouleversé le monde scientifique par l’expérience suivante: Il a tranché la tête d’un chien, a « branché » aux vaisseaux de cette tête les tuyaux de son appareil de la circulation du sang (cœur artificiel). La tête tranchée à continué à vivre pendant 6 heures.
Non seulement elle réagissait à toute irritation, battait des paupières, hurlait et passait sa langue sur ses lèvres, mais avalait aussi le nourriture qu’on lui proposait.
Le cœur artificiel, l’«autoprajecteur», comme l’appelle Brukhanenko, alimentait les vaisseaux avec la même ponctualité, la même régularité, la même périodicité et la même pression qu’un cœur naturel.
L’Institut possède cinq chiens qui vivent leur deuxième vie !
Quelques années plus tard, Brukhanenko est passé au deuxième stade de ses étonnantes expériences: il a commencé à vivifier des organismes entiers. On ouvrait au chien la poitrine et on arrêtait. avec des pinces en acier, le fonctionnement du cœur. Quelques minutes après, le chien était mort. Après un petit laps de temps, en enlevait les pinces, l’expérimentateur branchait l’ « autoprojecteur », et le chien revenait à la vie.
« La mort » – dit M Brukhanenko – « est un processus physiologique très très spécial, composé de plusieurs étapes. Nous cherchons à trouver sur laquelle de ces étapes la science est à même de restaurer la vie et où elle devient insuffisante.
Résultats stupéfiants
Les travaux de l’Institut, que le gouvernement soviétique à créé l’année dernière pour Brukhanenko et ses collaborateurs (raconte la Pravda), ont démontré à quel point ces étapes sont longues et compliquées. On pensait, il y à quelque temps, qu’on ne pouvait faire revivre l’animal que dans le seul cas où, entre le moment de la mort constatée et le commencement de l’expérience ne s’étaient écoulées que cinq minutes au plus: maintenant, l’autoprojecteur est mis en marche une demi? heure après la constatation de la mort par les médecins: et le chien revient à la vie.“
Il y a quelques mois, l’Institut Brukhanenko a obtenu une nouvelle victoire: on a réussi à conserver la vie de l’animal ressuscité; jusqu’alors les animaux revenus à la vie mouraient au bout de quelques heures.
Chiens ressuscités
La ménagerie de l’Institut compte parmi ses hôtes cinq chiens qui vivent leur deuxième vie. Tous ont été tués et ressuscités en août dernier. La mort leur a été donnée de différentes manières : poison, hémorragie complète. Mais maintenant ils se portent fort bien et se comportent en tout comme s’ils n’avaient jamais trépassé. Mieux encore : une des chiennes ressuscitées – «La Fillette », est actuellement grosse : le père « Tzigane », est aussi un ressuscité.
L’année dernière, M. Brukhanenko a fait la démonstration de ses travaux devant le Congrès international des physiologistes, à Moscou, en accomplissant la résurrection d’un chien.