Rue Saint-Nicolas
Découvrez l’histoire de la rue Saint-Nicolas à Québec, du sentier d’autrefois à la rue animée d’aujourd’hui.
Découvrez l’histoire de la rue Saint-Nicolas à Québec, du sentier d’autrefois à la rue animée d’aujourd’hui.
Découvrez l’histoire fascinante de la rue De Buade à Québec, nommée en l’honneur de Louis de Buade de Frontenac depuis 1674.
Découvrez l’histoire de la rue Saint-Paul de Québec, l’une des rues les plus populaires de la Vieille-Capitale
Découvrez la charmante rue Cul-de-Sac, située au cœur du quartier Petit Champlain, à Québec, une rue historique
Découvrez l’histoire de la rue Saint-Louis à Québec, une rue emblématique qui longe le Château Frontenac sur la longueur
Découvrez l’histoire et la beauté de la rue Saint-Jean, l’une des plus anciennes rues historiques de Québec.
Vers la fin du XIXe siècle disparaissent des rues de Québec les petits chars, qui ont précédé les chars électriques, ou tramways, introduits dans cette ville en 1897
Une autre conséquence presque obligée de cet afflux de matelots qui envahissaient régulièrement les rues de la ville fut le nombre croissant de cabarets à Québec
Il s’agit du nom d’un navire, ou plutôt de trois navires français, trois voiliers dont le nom a été retenu pour nommer cette rue de Québec.
La rue Sous-le-Cap, dans le quartier du Vieux-Port, est l’une des plus singulières de la ville de Québec. Au début des années 1800
Il semblerait qu’au temps de la Nouvelle-France on n’éclairait pas les rues de la ville. En tout cas jusqu’à nos jours on a trouvé aucune ordonnance
Au XVIIe siècle, l’appellation des rues relevait des compétences du gouverneur de la Nouvelle-France. À Québec, environ trente rues, chemins et ruelles reçurent leur nom autrement.
Rappelons qu’au temps de la Nouvelle-France les autorités désignaient un officier spécial, qu’on appelait le Grand-Voyer,
Cette batterie, située au coin des rues Saint-Pierre et Sous-le-Fort, fut construite par les ingénieurs militaires Claude Baillif et Franquelin en 1691.
La côte de la Montagne fut tracée par Samuel de Champlain en 1620. Cette rue se faufile le long d’un escarpement jusqu’au sommet de la colline