Description des Indiens
Au printemps de l’an de grâce 1632, le Père Jésuite Paul Le Jeune, arrivant à Tadoussac, voit des Amérindiens pour la première fois. Il les décrit ainsi:
Au printemps de l’an de grâce 1632, le Père Jésuite Paul Le Jeune, arrivant à Tadoussac, voit des Amérindiens pour la première fois. Il les décrit ainsi:
II est évident qu’il s’agit ici du premier enfant né de parents français. Il ne peut être question des Sauvages (Note de GrandQuébec.com : ces lignes ont été écrits dans les années 1940…)
Membertou était Sagamo (Sakmow), ou grand chef Micmac, allié des Français, premier Amérindien baptisé en Nouvelle-France.
Voilà une question qui paraîtra singulière aux gens qui s’imaginent que tous les instruments dont ils se servent existent depuis notre grand-père Adam.
La dernière lettre connue de Samuel de Champlain fut un appel en faveur de la Nouvelle-France. Cette missive est datée du 15 août 1635, soit moins de quatre mois avant son décès. Se doutait-il de sa mort prochaine?
Au début du XIXe siècle, de nombreuses transactions et démarches se faisaient devant notaire. Les honoraires de ceux-ci étaient si peu élevés qu’on préférait avoir recours à leurs services.
«Samuel de Champlain eut-il tort ou raison de s’allier aux Hurons, aux Algonquins et aux Montagnais contre les Iroquois et de faire la guerre à ces derniers?»
Dès son arrivée à Québec le 3 juillet 1608, Samuel de Champlain entreprend la construction de son habitation. Ce travail fut fait en quelques jours. Champlain décrit cet édifice avec une satisfaction évidente.
Pour autant que l’on sache, le premier Européen à décéder au Canada fut le marin Philippe Rougemont, originaire d’Amboise.
C’est le 25 mai 1657 qu’un régiment faisant partie des corps étrangers de l’armée française est levé par commission en Roussillon
Après l’imposition en 1623 du système seigneurial au Québec, dont l’origine remonte à la France gallo-romaine, les seigneurs entrent en possession de vastes terrains.
Le 31 août 1661, le nouveau gouverneur de la Nouvelle-France, Dubois Davaugour, constate à son arrivée à Québec l’état déplorable de la colonie. Il prend alors deux décisions qui auront une grande importance.
Le 23 août 1653, un an après le massacre de la troupe du gouverneur de Trois-Rivières, M. du Plessis-Kerbodot, et de plus de la moitié des habitants du bourg
Vers le milieu des années 1640, la petite colonie de Nouvelle-France est menacée d’anéantissement. Les attaques iroquoises sont de plus en plus fréquentes et la communication entre les trois ville
Les Fêtes de la Nouvelle-France qui se tiennent à Québec offrent des spectacles musicaux, de la danse et des défilés où tous les participants sont costumés
Le Régiment de Guyenne tient son nom d’une ancienne province du sud-ouest de la France. Il a été créé dans ce pays en 1746 et son premier commandant fut le marquis de Laval, qui fut à la tête du régiment du 29 octobre 1746
Sa famille immigre en Nouvelle-France en 1634, suivant l’exemple de l’oncle de Nicolas, Noël Juchereau Des Chatelets, qui serait arrivé au Canada vers 1634
En Nouvelle-France, la situation des travailleurs des villes, les journaliers, est assez difficile. Les autorités de la colonie en sont conscientes
En Nouvelle-France, la plupart des militaires sont membres des «compagnies franches de la marine», qui relèvent du ministère français de la Marine
Voici comment a échoué une tentative d’invasion anglaise, dont l’échec est dû non aux exploits des armes françaises, mais à une série d’accidents.
La Nouvelle France a été le théâtre de conflits sanglants au cours de toute son histoire. Mais on retrouve parfois des épisode sympathiques et agréables même dans les guerres, quoique ce sont des épisodes rares et isolés :
Chaque matin, en se réveillant, les habitants de Ville-Marie espèrent arriver à la fin de la journée. Mais la vie dans la petite colonie peut réserver bien des surprises.
En Nouvelle-France, l’Indien se concevait comme un élément parmi d’autres de la nature, à l’égal des animaux, des poissons et des plantes
Le Conseil réunissait le gouverneur, l’intendant et l’évêque de la Nouvelle-France. Il jugeait de tous les décisions liées à la politique de développement, à la distribution des finances