Troupes de la marine
«On est souvent porté à confondre les troupes de la marine, ou plus exactement les troupes du détachement de la marine, avec les troupes régulières françaises.
«On est souvent porté à confondre les troupes de la marine, ou plus exactement les troupes du détachement de la marine, avec les troupes régulières françaises.
En 1672, l’intendant Jean Talon concède une île qui se trouve près de Montréal à François-Marie Perrot, dont l’île porte le nom jusqu’à nos jours
L’intendant de Meulles était venu en Canada en 1682 et s’apercevant que nous vendions à la France moins que nous n’achetions d’elle, il comprit pourquoi le Canada se trouvait sans argent.
Nous relevons ici quelques croyances populaires, au sujet de la mort, apportées de France par nos ancêtres et qui ont encore cours dans bon nombre de paroisses.
«En Nouvelle-France, quand la mort entrait dans une maison, on se hâtait d’en avertir le curé, les parents et les voisins. On s’occupait en même temps de faire la toilette du défunt
Le contrat de mariage sous le régime français réunissait presque autant de parents et d’amis que la cérémonie religieuse elle-même.
II y aurait de quoi faire un gros volume, paraît-il, sur l’histoire de la perruque à travers les âges. Elle tait connue des anciens puisque Martial et Juvénal
Dans les derniers jours qui précédaient le carême et que l’on appelle plus spécialement encore le carnaval ou les jours gras, les chevaux s’attèlent,
«…On nous a demandé souvent si les auberges, les petits magasins, les boutiques, etc., etc., avaient des enseignes sous le régime français. Certainement.
En Nouvelle-France, les gouverneurs habitaient Québec, mais, à partir de 1730 ou 1735, ils vivaient à Montréal de janvier aux premiers jours de l’été.
«…Y avait-il un système postal quelconque au Québec sous le régime français? Non. Le gouvernement du Roi ne s’occupa jamais de doter sa colonie de l’institution si utile des postes.
Le 3 novembre 1672, l’intendant Talon concédait à François Bissot en faveur de ses deux fils, Jean-Baptiste et Charles-François,
«Au Québec, le manoir était la résidence du seigneur. Combien d’anciens manoirs du régime français se sont-ils conservés? Peut-être moins d’une douzaine.
Nos ancêtres étaient venus ici pour implanter la vraie foi chez les Sauvages et leur faire adopter notre genre de vie et nos coutumes.
En Nouvelle-France, l’ancienne loi française punissait très sévèrement le suicide. On faisait un procès au défunt, on traînait son cadavre sur la claie
Au cours de l’été 1727, Marie-Thérèse Ouimet, femme de Simon Chamberland et habitante de Sainte-Foy, s’étant fait voler une somme de cinq livres
Jacau de Fiedmont serait né vers 1723, sur l’île Royale (île du Cap-Breton). Cependant, selon certaines versions, notamment selon Aégidius Fauteux, Jacau de Fiedmont est né à Plaisance, à Terre-Neuve.
Les anciennes lois françaises étaient très sévères contre les faux-monnayeurs. Elles les punissaient de mort, et le roi ne faisait pas souvent grâce à ceux qui se rendaient coupables de ce crime contre l’État.
À tout instant, dans les actes de concession de terres, on voit que le nouvel acquéreur s’engage à porter à son seigneur une fois par année, à la Saint-Martin,
«En France et en Nouvelle-France, le moulin banal, sous le droit seigneurial, était le moulin où tous les censitaires ou sujets de la seigneurie étaient obligés de moudre leur grain.
Le comte et marquis François Marie d’Albergatti Vezza était un de ces nobles Italiens que les rivalités entre les princes de leur pays forcèrent à s’exiler.
En 1759, en prévision de la chute de Québec, les Français avaient construit le fort Jacques-Cartier dans les limites actuelles de la ville de Cap-Santé
«Sous le régime français, le roi fournissait non seulement l’équipement à chaque officier et soldat en campagne, mais en plus, il habillait et équipait tous les Sauvages qui combattaient pour lui.
Fils de Jacques Hertel de la Fresnière, François Hertel de la Fresnière naît le 3 juillet 1642 à Trois-Rivières.