Autres aliments

Autres aliments

Les autres aliments sont des aliments et boissons qui ne font pas partie des quatre groupes alimentaires principaux. Ils peuvent apporter saveur et plaisir, mais certains de ces aliments ont une teneur plus élevé en gras ou en énergie. Consommez-les alors avec modération.

On utilise ces aliments aux repas et aux collations, mais on les mange souvent avec des aliments des quatre groupes principaux. La quantité d’aliments qui vous devez choisi chaque jour dans les quatre groupes alimentaires et parmi les autres aliments varie selon la taille, l’âge, le sexe, le niveau d’activité.

Les autres aliments comprennent :

  • Les aliments qui contiennent surtout du sucre, comme les confitures, le miel, le sirop, les bonbons, etc.;
  • Les aliments qui contiennent surtout des matières grasses. Par exemple, le beurre, la margarine, l’huile, le saindoux, etc.;
  • Grignotines salées ou grasses, comme les croustilles – maïs, pommes de terre sèches, etc., les bretzels;
  • Les boissons, tels que l’eau, le thé, le café, l’alcool, les boissons gazeuses;
  • Les fines herbes, épices, condiments – marinades, moutarde, ketchup, etc.

Voici des recommandations à leur sujet :

  • Eau : Buvez souvent de l’eau. Buvez d’avantage par temps chaud ou lors d’une activité intense. Écoutez toujours votre soif.
  • Caféine : Utilisez avec modération. On retrouve la caféine dans des boissons, telles que café, thé ou colas, ainsi que dans les aliments à base de cacao. Il y en a aussi dans des médicaments contre le rhume ou le mal de tête.
  • Alcool : Buvez modérément. L’alcool est toujours un risque pour votre santé et votre sécurité. Si vous prenez plus de 4 consommations rapprochées ou plus de 14 consommations par semaine, vous risquez. Une consommation, c’est 1 bouteille de bière d’environ 350 ml, 150 ml (5 onces) de vin, 50 ml (environ 1 once et demie) de spiritueux.

Une femme enceinte ou une femme qui allaite doit éviter l’alcool.

Épices et la tradition

Au Moyen-Age, un plaideur n’aurait pas voulu intenter un procès sans donner des épices. Pourquoi mêler les condiments de la table à des affaires de justice ?

Si c’eut été en effet de simples condiments, on ne voit pas ce qu’ils auraient eu à faire dans la jurisprudence, sauf que parfois les clients trouvent que la note des frais est bigrement… sale. Épices est une corruption do mot Espèces. En l’occurence, les espèces taient souvent un cadeau que le plaideur envoyait, selon la coûtume, après le procès pour remercier le juge qui avait décidé en sa faveur. Mais quelques-uns avaient l’habilité d’envoyer le cadeau… avant et après.La coutume évalua en ce sens. De début à des oies rôties et souvent à des présents encore plus considérables. L’usage en fut si bien établi que tous les rois de France, de Charles VII à Louis XIV, durent lutter sans relâche avant de parvenir à l’abolir. Il y eut encore des épices mais elles furent versées après le verdict, comme de juste, et, dans ce cas, les surintendants de finance n’eurent aucun scrupule à taxer lesdites épices. La taxe sur les pices persista jusqu’à la Révolution Française. Elle provoqua souvent des débats qui se greffaient sur les litiges en cours et donnaient lieu à de curieuses complications.

conserves
Réfléchissez bien avant d’acheter les boîtes de conserves. Photo : © GrandQuebec.com.

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