Carence d’iode dans l’organisme
De nos jours, tout consommateur bien informé se rend compte du rôle que l’alimentation joue pour sa santé. La plupart des scientifiques, médecins et diététistes sont d’avis qu’une alimentation saine et équilibrée aide à prévenir l’impact néfaste de notre environnement sur l’organisme humain. Ainsi, une bonne alimentation sert-elle d’un facteur clé pour prévenir et traiter de nombreuses maladies.
Les technologies modernes de traitement des produits alimentaires appauvrissent ces derniers en micro-éléments, vitamines, fermentes et autres éléments, alors qu’ils sont indispensables pour un bon fonctionnement de l’organisme humain. Malgré la quantité et la combinaison de produits d’origine végétale ou animale que nous consommons, cette pénurie persiste, augmente et cause plusieurs troubles de la santé causant souvent des processus négatifs chroniques et irréversibles.
En premier lieu, cela concerne la carence d’iode qui est l’un des micro-éléments majeurs jouant le rôle crucial dans le fonctionnement de l’organisme humain. Les hormones de la glande thyroïde dont la base est formée par l’iode, gèrent notre métabolisme, en régulant les dépenses de protéines, de graisses et glucides. Ces hormones influent aussi sur l’activité cérébrale et notre système nerveux : les dernières recherches ont démontré que le niveau du développement intellectuel (IQ) est directement lié à l’iode.
La carence chronique de ce micro-élément amène au développement du syndrome de la pénurie d’iode, dont les manifestations peuvent prendre les formes différentes.
Parmi celles-ci on voit :
- L’irritabilité, dépression, fatigue, troubles de mémoire, accès de la mélancolie, détérioration de la mémoire et perte de la concentration, baisse d’IQ.
- L’athérosclérose laquelle ne se traite pas par le régime alimentaire et les médicaments; l’arythmie, que l’on n’arrive pas à corriger par les médicaments; la hausse de la pression diastolique due à l’encombrement vasculaireé.
- La baisse du niveau d’hémoglobine dans le sang.
- La baisse de l’immunité.
- Les yeux bouffis et la rétention générale d’eau, surtout le matin.
À l’heure actuelle, 1,5 milliard de personnes dans 153 pays souffrent de la carence aigue en iode. Les régions éloignées de côtes maritimes dont le Canada fait partie, sont touchées grandement par ledit problème.
Les spécialistes de l’Organisation mondiale des soins de santé ont rédigé un test d’autoévaluation qui permet de déterminer à quel point les individus risquent de souffrir de la carence d’iode.
Voici des questions :
- Éprouvez-vous parfois la sensation d’avoir une boule dans la gorge?
- Est-ce que l’un de vos parents a souffert des maladies de la glande thyroïde?
- Avez-vous récemment perdu le poids ?
- Avez-vous récemment pris des kilos?
- Est-ce que vous plus d’appétit?
- Avez-vous perdu votre appétit?
- Est-ce que vous transpirez plus depuis le dernier temps?
- Souffrez-vous de la frilosité en dépit des changements de la température ambiante?
- Avez-vous depuis quelque temps les paumes chaudes?
- Avez-vous depuis quelque temps les mains et les pieds froids?
- Êtes-vous pris d’une angoisse inexplicable?
- Remarquez-vous que depuis quelque temps vous avez sommeil, vous êtes au ralenti et éprouvez de la fatigue?
- Est-ce que vous avez des frissons sporadiques?
- Est-ce que vous avez un pouls accélérés?
- Est-ce que vous avez la peau sèche?
Si vous avez donné à ces questions au moins trois réponses affirmatives, on pourrait présumer chez vous le syndrome de la carence d’iode.
La présence de l’iode dans notre système est directement liée à la consommation des produits alimentaires qui en contiennent en dose suffisante. Or, il est difficile de compenser le besoin quotidien en iode uniquement par la consommation des produits précis. Les raisons en sont les suivantes :
– vous serez confrontés à une nécessité de modifier radicalement votre régime alimentaire habituel;
– la consommation des produits à haute concentration d’iode pourrait être onéreuse;
– le régime alimentaire ne permet pas d’atteindre la consommation nécessaire d’iode, car sa présence dans les produits alimentaires varie selon la saison, la région et le mode de cuisson;
L’iodation du sel est vue comme un moyen le plus répandu pour palier à ce problème. Toutefois, la médecine contemporaine prône une baisse maximale de la dose quotidienne de la consommation du sel. Outre cela, l’iode non organique qui en fait partie, peut causer les maladies de la glande thyroïde.
Afin d’éliminer la carence d’iode il vaut mieux utiliser les remèdes contenant l’iode, qui fait partie des combinaisons albumineuses ou l’iode organique. Les préparations qui sont basées sur une combinaison des algues maritimes, riches en iode organique, sont des analogues de la combinaison naturelle d’iode, qui conditionne le fonctionnement des hormones de la glande thyroïde.
Ces suppléments santé sont composées non seulement d’iode naturel, mais aussi de micro éléments qui contribuent à une assimilation entière par le système. Ils aident à traiter, mais aussi à prévenir plusieurs maladies. En fait, ils peuvent prévenir et traiter les troubles de la santé comme : la dépression saisonnière, le surmenage, la fatigue chronique et la faiblesse que ne sont pas causés par d’autres maladies ; ils rétablissent le système après un long traitement par antibiotiques ; ils aident à baisser la masse du corps, purifier l’organisme et rehausser le tonus général ; ils normalisent le fonctionnement du système immunitaire ; ils préviennent une athérosclérose et les maladies cardiaques.
Les préparations sont riches également en fer, calcium, natrium, potassium, cuivre, magnésium, manganèse, zinc, phosphore, sélénium, vitamines (A, B…), carotène, acides nucléiques et linoléniques, holineesteraza, algine bleu, polysaccharide, mannitol, phénol et autres éléments biologiquement actifs. D’ailleurs, ces préparations sont une source de 18 acides aminés dont 8 sont irremplaçables et ne peuvent pas créer de synthèse au sein de l’organisme humain. En termes de la richesse alimentaire, une capsule est égale à 1 kilo de légumes.
Contre-indications : Tuberculose, diathèse hémorragique, éruption cutanée ; resilience individuelle. Grossesse et allaitement. Attention particulière aux malades souffrant des insuffisances rénales lorsqu’il faut limiter la consommation des produits contenant des protéines: une néphrite aiguë et chronique, une néphrose (la dose maximale est 1-2 capsules par jour). Ne pas prendre en cas des troubles aigus du tract digestif.
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