Trou de la Fée

Caverne Trou de la Fée

Claustrophobes, à s’abstenir !

Au site du Trou de la Fée de Desbiens on découvre les profondeurs de la Terre, mais c’est un lieu d’une aventure familiale, car la caverne Trou de la Fée est facile à visiter et un guide expérimenté vous aidera a surmonter les difficultés. La longueur de la caverne Trou de la Fée est de 68 mètres et ses parois sont de granit.

Dans la caverne, on observe les chauve-souris brunes dans leur habitat naturel. On dit que ces grottes sont idéales pour la première expérience de spéléologie.

Pour accéder à la caverne, il faut emprunter un sentier de randonnée d’une kilomètre ou plus qui longe la rivière Métabetchouane et l’on peut admirer aussi la chute Martine et trois belles cascades, ainsi que visiter les vestiges d’une centrale hydroélectrique

On dit que le Trou de la Fée est unique au Canada.

Attention, la visite à la Caverne Trou de la Fée est une expérience inoubliable et vous en serez impressionné, autant que vous ne souffrez pas de claustrophobie, parce qu’on voit la lumière du jour dans la première grotte, mais en descendant dans la grotte plus basse, on doit passer par l’entrée très étroite et tortueuse, … alors, plus de lumière du jour.

Pour se rendre sur les lieux et pour se renseigner sur les horaires de la visite :

Chemin du Trou de la Fée, 7e Avenue
Desbiens
Québec
G0W 1N0P.

Téléphone : 418 346-1242.

Ville de Desbiens

Historiquement, le père Jean de Quen, évangélisateur du Lac-Saint-Jean, aurait découvert le lac en mettant le pied, en 1647, à un endroit situé près de l’embouchure de la rivière Métabetchouane, où se situe la ville de Desbiens. Après qu’il y ait établi une mission en 1652, ce lieu est devenu, suivant la volonté du roi de France, Louis XIV, le, le premier poste de traite avec les Amérindiens.

Un bref séjour du père Albanel à cet endroit, au XVIIe siècle, marque davantage l’historicité des lieux. Aujourd’hui, petit centre industriel du Lac-Saint-Jean, niché entre Chambord à l’ouest et Métabetchouan à l’est, Desbiens a d’abord été érigée sous le nom de municipalité du village de Saint-Émilien en 1926, avant de devenir la ville que l’on connaît, en 1960. Le nom de Desbiens commémore le souvenir de Louis Desbiens, considéré comme le fondateur de la ville, qui a fait construire une scierie sur le bord de la Métabetchouane, laquelle a contribué au développement économique de cette municipalité D’ailleurs cette particularité était éloquemment reflétée par le nom choisi pour le bureau de poste ouvert en 1922, Moulin-Desbiens, qui prit l’appellation abrégée de Desbiens l’année suivante.

Les Desbiennois ont découvert, il y a quelques années, à 8 k au sud du village en direction naturelle, baptisée le Trou de la Fée, qui attire annuellement de nombreux visiteurs. On a aménagé, eu outre, en plein flanc de montagne, un poste d’observation unique, à plus de 70 m au-dessus de la rivière Métabetchouane et des chutes bouillonnantes qui rehaussent la beauté des lieux. Le panorama qui s’offre à la vue est grandiose.

trou de la fée
Trou de la Fée. Photo libre de droit.

Claustrophobie – Phobie des espaces clos

La claustrophobie est l’une des phobies les plus répandues et souvent l’une des moins sévères. Elle peut se manifester à l’égard de tous les endroits fermés, mais elle est généralement limitée à certains d’entre eux : ascenseurs, salles de spectacles, véhicules, etc. Lorsque les issues donnant sur l’espace libre viennent à être fermées, le sujet éprouve le sentiment angoissant d’un danger d’étouffement. Si la situation se prolonge et parfois même d’emblée, dans certains cas, il est gagné par une sensation d’immobilisation totales avec troubles végétatifs intenses, comme si les parois de la pièce se rapprochaient jusqu’à l’écraser. Souvent le malade explique sa phobie par la peur ou par le souvenir d’un malaise, d’un accident, d’un incendie, mais il reconnaît le caractère illogique ou, du moins, exagéré de sa crainte.

La claustrophobie aurait souvent pour origine un sentiment de culpabilité en rapport avec les masturbations infantiles. Pour d’autres, elle serait une reviviscence de la crainte d’être étouffé et écrasé par la mère pendant son sommeil ; il en résulterait une régression conduisant jusqu’à l’angoisse liée au traumatisme de la naissance.

Pour en apprendre plus :

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