
Région administrative de la Capitale Nationale
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la région de la Capitale-Nationale ne se limite pas à la ville de Québec, mais comprend sept municipalités régionales de comté. La superficie de la région est de 19 000 kilomètres carrés, et la population atteint 670 mille habitants. On suppose que ce nombre augmentera au cours des prochaines années, même si quelques municipalités peu soigneuses perdent des habitants.
En 1985, l’UNESCO a désigné Québec Ville du patrimoine mondial. C’est la plus ancienne cité du Canada, elle fut fondée en 1608, et son rôle de capitale provinciale en fait un lieu dynamique, un centre d’attraction pour les Québécois et les touristes.
La vie culturelle dans la région est bouillonnante. Des centaines d’artistes et d’artisans l’ont choisi pour établir leur demeure. Ici, la culture constitue un secteur d’activité économique de grande importance.

Place Royale de Québec. Photo : Nikola Petrovski.
La région possède des infrastructures développées et offre une bonne qualité de vie à ses habitants. La région de la Capitale-Nationale a su adapter le charme des villes européennes au dynamisme des agglomérations nord-américaines. Les perspectives de développement économique sont encourageantes et le taux de chômage est assez bas.
Le revenu annuel par habitant est de 30 mille dollars canadiens.
La valeur des immeubles est en étroite corrélation avec l’appartenance à une municipalité de comté: par exemple, dans la Ville de Québec, le prix moyen d’une résidence unifamiliale est d’environ 140 mille dollars. Sur l’Île d’Orléans, le prix moyen pour ce type de résidence est de 180 mille dollars, tandis qu’à Portneuf il n’atteint que 90 mille dollars. Mais on peut s’attendre à ce que le prix des immeubles dans cette région augmente dans un futur proche.
Ville de Québec, monument de Samuel de Champlain. Photo : tous droits réservés Valeria Novokreschenova.
La ville de Québec est, tout naturellement, la principale cité de la région, mais il y a d’autres agglomérations importantes, telles que Saint-Raymond et Baie-Saint-Paul.
Circonscription électorale de Montmorency
Créée en 1829, la circonscription électorale actuelle de Montmorency compte une population répartie dans un espace de 672 kilomètres carrés. Elle comprend les six municipalités de l’Île d’Orléans, celles de Château-Richer et de l’Ange-Gardien, une partie de la ville de Beauport où se concentre 68% de la population, et Sainte-Brigitte-de-Laval. L’économie agricole de la région soutenue par environ 20% de la population est encore florissante sur la Côte-de-Beaupré et à l’île d’Orléans, tandis que l’économie industrielle et l’emploi dans la fonction publique ainsi que les services caractérisent davantage l’ouest de la circonscription. Son nom est tiré de celui de la chute nommée Montmorency par Champlain en 1608, sans que soit précisée l’identité du personnage qui est Charles de Montmorency, amiral de France et dédicataire du rapport du premier voyage de Samuel de Champlain (rédigé en 1603) identifié succinctement par les premiers mots Des Sauvages.
Secteur résidentiel de Bas-de-la-Baie
À l’extrémité sud-est de la municipalité de la paroisse de Baie-Saint-Paul, dans la MRC de Charlevoix, Bas-de-la-Baie désigne un secteur résidentiel traversé par un petit cours d’eau. Dès 1746, le Répertoire de titres, terrains concédés du Séminaire de Québec fait état du Bas de la Baye pour identifier les terres situées dans cette partie de la paroisse.
Ville de Beauport, note historique
On croit généralement que Beauport, voisine de Québec et de Charlesbourg dans la partie est de la communauté urbaine de Québec, érigée en 1855 comme municipalité de la paroisse de Notre-Dame-de-Beauport, est redevable de son appellation à Robert Giffard, concessionnaire de la seigneurie de Beauport à laquelle il aurait transmis son titre de sieur de Beauport. Tout indique que Giffard, dès 1627, a décidé du nom qui figure dans les contrats préparés par le notaire Mathurin Roussel, à Mortagne, en France, avant même l’arrivée des colons, pendant l’hiver de 1633-1634. En 1631, une carte de Jean Gérard indique « Beau Port ». Sur le plan religieux, la paroisse de Notre-Dame-de-Miséricorde-de-Beauport, érigée canoniquement en 1684, voit ses limites fixées en 1722. D’après Hormisdas Magnan, l’église aurait porté le nom de Notre-Dame-de-Miséricorde alors que La Nativité-de-Notre-Dame identifiait la paroisse, suivant la vœu de monseigneur de Laval. La nouvelle ville de Beauport, créée en 1976, est issue du regroupement des entités municipalités Giffard, Courville, Beauport, Villeneuve, Montmorency, Saint-Thérèse-de-Liseux et Saint-Michel-Archange, auquel on a accolé l’étiquette de Grand-Beauport.
Voir aussi :
- Communauté métropolitaine de Québec
- Municipalités de la région de la Capitale nationale
- Beauport
- Cap-Rouge
- Charlesbourg
- Deschambault
- Grondines
- L’île d’Orléans
- Arrondissement Laurentien
- Limoilou
- Val-Bélair
- Sainte-Foy – Sillery
- MRC de Charlevoix
- MRC de Charlevoix-Est
- MRC Côte-de-Beaupré
- MRC de La Jacques Cartier
- MRC de Portneuf
[…] En une belle journée du mois de juillet, Elliott a entrepris l’ascension du Mont Wright dont le sommet est à 483 mètres d’altitude. Pour la petite histoire ce mont est situé à 30 kilomètres du centre-ville de Québec, dans les limites de la municipalité de Stoneham-et-Tewkesbury . Le territoire du futur parc fut acheté en 1842 par Thomas Wright, un militaire britannique qui s’y établit avec sa famille. Depuis, plusieurs générations de la famille Wright habitèrent ces lieux jusqu’en 1972, date de la mort du dernier représentant de la famille. On trouve dans le parc les vestiges de la maison des Wright et les tombes… […]
je recherche soeur Janine Theriault qui habitait la maison mère des soeurs grises à Montréal