Régions du Québec

Région de Chaudière-Appalaches

Région de Chaudière-Appalaches

Région administrative de Chaudière-Appalaches

Le territoire de Chaudière-Appalaches a été constitué en région en 1987. Elle est caractérisée par la diversité et la beauté de ses paysages, mais avant tout par le dynamisme de son économie.

La Chaudière-Appalaches est une région pleine de potentiel. Avec une superficie de presque 15 100 km2, elle est bordée au nord-ouest par le fleuve Saint-Laurent, au nord-est par la région administrative du Bas-Saint-Laurent et celle de la Capitale-Nationale, au sud-ouest elle est entourée par la région du Centre-du-Québec et celle de l’Estrie. Au sud-est elle est délimitée par la frontière avec les États-Unis. La région est riche en forêts, en rivières et en lacs.

Actuellement, sa population totale est de presque 400 000 habitants. La ville de Lévis est le centre reconnu de la région, mais la Chaudière-Appalaches est un territoire principalement rural dont l’économie se base sur l’exploitation des ressources naturelles: l’agriculture, l’industrie forestière, la transformation du bois, ainsi que la production de meubles, les produits alimentaires, etc.

Au Québec, historiquement, la région de Chaudière-Appalaches affiche un des taux de chômage parmi les plus bas de la province. Le revenu annuel par habitant est en moyenne de plus de 27 255 $, et les coûts des résidences unifamiliales varient entre 60 et 85 mille dollars, en fonction de la municipalité.

Les Appalaches, par leur nombreux alignements montagneux, présentent plusieurs crêtes

Le dictionnaire Larousse définit une crête comme étant la « partie étroite, saillante, qui constitue la faîte d’un toit, d’un mur, la cime d’une montagne, d’une vague, etc. » Pour sa part, Wikipedia précise qu’une crête est, « en géomorphologie, une ligne de points hauts d’un relief séparant deux versants opposés, telles la crête d’un massif montagneux. »

Les collines Dos d’Âne

Deux collines dominant d’une cinquantaine de mètres le relief environnant sont collectivement désignées sous le nom Dos d’Âne. Rattachées aux monts Notre-Dame, elles chevauchent les limites des cantons d’Arago et de Leverrier, dans la municipalité de Saint-Marcel, à une quarantaine de kilomètres à l’est de Montmagny, dans l’arrière-pays de la Côte-du-Sud. Recueilli en 1975. ce nom de lieu a été approuvé en 1978 par la Commission de toponymie. Cette appellation reprend une expression géomorphologique qui, en structure appalachienne, désigne une crête dont les strates supérieures à fort pendage font saillie au-dessus d’un versant presque vertical. Les géologues anglophones qui ont cartographié la région furent probablement les premiers à identifier ces deux hauteurs sous la dénomination Hog’s Back dont l’équivalent français, Le Dos d’Âne, ne va apparaître que plus tard. Le voisinage phonétique de hog’s back (dos d’âne) et de horse’s back peut expliquer que Le Dos de Cheval soit un nom parfois utilisé pour désigner ces collines.

Lieu dit Le Rocher

Ce lieu-dit est situé au pied d’une falaise quelque peu escarpée sur la rive gauche de la rivière Chaudière, juste en amont de l’embouchure du bras Saint-Victor. Le nom s’explique par la présence d’un rocher qui affleure dans le lit majeur de la rivière. Il est attesté, dès 1785, par Jean Renaud, grand voyeur, et G. Taschereau, qui, dans leur procès-verbal, parlent d’une terre de douze arpents « appelée le Rocher » et qui n’est pas encore concédée. Le lieu s’est également autrefois appelé Le Petit-Bourg. La tradition beauceronne veut, en effet, qu’une bourgade abénaquise s’y soit installée, à proximité de la chapelle Bernard, non loin de l’actuel ruisseau Bernard, en face de l’île Boisée. Cette chapelle, inaugurée en 1765, fut le premier temple de la mission et future paroisse de Saint-François. On rapporte que les Abénaquis en remplissaient plus de la moitié lors des offices : il faut dire que la seigneurie no comptait encore une quinze censitaires ! Mécontent de l’attitude des habitants sur des questions de discipline ecclésiastique, l’évêque, monseigneur Briand, allait fermer la mission dès 1767, même si la chapelle et la route commençaient à y attirer des habitants et artisans.

chaudiere - appalaches

Vue panoramique de Chaudière-Appalaches. Photo libre de droit.

3 Comments

  1. Michel Borgia dit :

    est-ce bien chez vous que se trouve les boiseries FG ? J’aimerais que vous puissiez m’informer .

  2. Denis Fortin dit :

    Deuxième centre urbain en importance après Lévis et Capitale de l’entrepreneurship, St-Georges est reconnu pour son dynamisme économique.
    D’ailleurs plusieurs leader canadien y ont leur siège social Procycle,Canam,Manac,Bois-franc,Garaga,Pomerleau etc…La ville est un important centre de service au niveau institutionel,commercial et industriel.
    Sa proximité avec le marché américain, sa position statégique au coeur de Chaudière-Appalaches ainsi que la venue prochaine de l’autoroute 73 sont des atouts majeur pour son dynamisme économique.

  3. Céline Fortier dit :

    Bonjour,

    Je vous annonce que vous venez de perdre un bon client. Il se nomme Normand (BEDO) Fortier. Il demeurait dans le bois à St-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud. On m’a dit que vous aviez une photo de son chalet isolé à l’extérieur par environ150 caisses de 24 bières. Il aurait nommé cette isolation R-24. A la suite, il y a déjà eu un de vos camions qui est allé livrer directement la bière à son chalet. Cela s’est passé dans les années où Daniel Proulx, également de St-Pierre, était votre représentant. Merci de prendre connaissance de ce message. C’est comme si je faisais le message en son nom.

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