Les mesures à appliquer dans le système québécois d’éducation
(Par Murad Nazarov)
Lors de sa campagne électorale, François Legault a promis les modifications dans le système québécois d’éducation. Après être arrivé au pouvoir, le nouveau Premier ministre a mis en place plusieurs lois pour accomplir sa promesse électorale, notamment l’abolition des commissions scolaires. Ces mesures ont soulevé plusieurs débats quant de leur nécessité. Plusieurs ont cru que ces actions étaient trop radicales, mais au contraire, ce n’est pas assez. Étant donné que la grande région de Montréal est une agglomération la plus importante de la population dans la province, les changements que le gouvernement apporte dans le réseau d’éducation y sont les plus ressenties.
Il suffit de comparer le pourcentage d’obtention de diplômes d’études secondaires au Canada et dans deux pays avec le même budget pour l’éducation ou presque, la France et la Fédération Russe. En France, en 2018, 87,2 % d’étudiants ont obtenu un diplôme national du brevet (1), 89,4 % en Russie (2) et seulement 70-80% au Canada, dépendamment de la province (3,4). Cela veut dire que si les pays auraient 100 mille finissants durant la même année, cinq mille d’étudiants québécois de moins obtiendraient leur DES (5) que leur homologues français et russe, alors que la province est en situation du manque significatif de main d’œuvre avec une qualification de base. Donc, il est clair qu’il faut agir et apporter des modifications encore plus larges pour se mettre à niveau avec les pays dont le niveau de vie est comparable. Quel sont des modification à faire dans le système d’éducation afin d’attendre le niveau des pays développés ?
En changeant l’approche à l’éducation, notre province pourrait devenir un innovateur et un exemple. En s’attaquant aux problèmes de nature géographique, économique, psychologique, sociologique et philosophique ci-dessous, le gouvernement peut attendre ce but. Ces mesures s’appliquent aux écoles et aux cégeps qui se situent dans les villes.
D’abord, analyserons l’aspect de l’accessibilité des écoles primaires et secondaires. Prenons deux villes, celle de Lyon et celle de Laval, qui ont environ la même population. Il y a plus de 200 établissements scolaires de base sur la carte de Lyon (6), alors qu’à Laval, il n’y a que 87 (7), soit trois fois moins. La différence est énorme. Alors qu’un écolier français a besoin de quinze minutes de marche pour se rendre à l’école, un élève québécois en a besoin de 45 minutes ou même d’une heure en autobus. C’est 10-12 heures par semaine en transport qu’un étudiant pouvait investir dans les études ou dans les activités éducatives. C’est un problème de nature géographique. Selon l’approche possibiliste (8), ce facteur ralentie le développement de la société, car les outils qu’utilisé (dans ce cas les écoles) ne sont pas accessibles à leur plein potentiel (9). En partie Pour diminuer l’impact de ce problème, il faut doubler le nombre d’écoles. Cela donnerait plus de temps aux élèves à investir dans leur futur et ne pas gaspiller leur temps dans un autobus.
Dans le même ordres d’idées, en créant plus d’écoles, le gouvernement faciliterait la tâche des enseignants qui sont déjà surchargés. Plus d’écoles veux dire moins d’élèves par classe, et donc, une plus haute qualité d’enseignement. Dans ce cas un élève aurait deux fois plus de temps avec son enseignant. L’enseignement est vu comme un conditionnement classique (10) selon la science psychologue. Ce type d’aplatissage vise à développer une réponse à un stimulus précis à l’aide des associations (11). En d’autres mots, si un professeur travail avec un élève encore plus de temps, et donc, enverrait plus de stimulus, ou plus simplement, plus de questions et d’explication avec les associations choisi plus personnellement, l’apprenti aurait plus facilitée à répondre, et par conséquent, à développer l’expérience ou à comprendre un concept. Cela est une des raisons pourquoi les Français et les Russes réussissent mieux. Une classe d’une école normale dans la grande région de Montréal compte de 35 à 40 étudiants, celui en Russie ou en France 17-20 en moyenne (12).
Donc, les enfants avec les troubles d’apprentissage vont avoir plus temps et plus d’attention ce que leur donnerait la chance de performer mieux et la motivation d’attendre les objectifs d’apprentissage.
Évidemment, certains vont dire que les écoles manquent déjà de professionnels et l’ouverture de nouvelles écoles aggraverait le problème. Mais il existe une solution facile. Il suffit juste de réorganiser l’horaire. En ce moment, une journée d’école au secondaire dure sept heures ou quatre cours de 75 minutes, deux pauses de 15 minutes et une heure pour dîner. Donc, par exemple, un professeur de français ne peut donner que trois cours à trois groupes différents. Par conséquent, pour un niveau, une école a besoin de cinq enseignants pour combler la demande. Selon Peter Lorange, un chercher norvégien, un adulte est concentré à son plein durant vingt minutes et perd son attention après 45 minutes (13). Cela veut dire qu’après 45 minutes, un élève cesse d’absorber la matière et les 30 minutes restantes ne sont que des mots en l’air. En réduisant le temps de cours à 45-50 minutes, il serait possible d’avoir le maximum d’attention d’un élève, comme c’est le cas en Russie (14). Cela aiderait les élèves à attente leur niveau optimal d’activation (15) et suivrai la loi de Yerkers-Dodson (16). D’ailleurs, c’est le cas dans les collèges, pourquoi ne pas l’appliquer dans les écoles aussi ? Un élève de secondaire possède plus de concentration qu’un étudiant collégial ? Donc, il est clair que si on réduit le temps de classe, un enseignant peut donner plus de cours. En appliquant les mesures décrites plus tôt, la charge de travail restera la même et une école aurait besoin seulement de deux professeurs de français pour accomplir la tâche. Donc, il est totalement faux qu’en créant plus d’écoles, on y manquerait plus de professionnels.
En parlant des collèges, le système d’éducation québécois fonctionne avec une formule de type 11-2-3, ce qui veut dire onze années d’école primaire et secondaire, deux années de cégep et trois années de baccalauréat. Le reste du Canada, ainsi que les États-Unis, eux, fonctionnent selon un système de type 12-4, soit douze années aux écoles primaire et secondaire, ainsi que 4 années d’université. Le système québécois a une étape de plus que n’importe qui en Amérique du Nord et en Europe. L’utilité des cégeps est de préparer les étudiants à l’université lors d’un parcours pré universitaire ou de préparer au marché du travail pour ceux qui ont choisi des programmes techniques. Or, selon la fédération des cégeps, seulement 30 % des étudiants sont en techniques (17). Donc, la majorité des étudiants optent pour un diplôme préuniversitaire, soit en Sciences humaines et Sciences de la nature. En plus de passer une année de plus au collège, un étudiant québécois, qui a choisi de suivre un parcours universitaire, n’a pas la possibilité de faire valoir son DEC, car celui-ci ne donne aucun avantage sur le marché de travail à temps partiel ou durant l’été. De plus, dans le cas où un finissant ne trouve pas un cégep assez proche de chez lui, il va sûrement aller sur le marché de travail directement, sans aller aux études. De plus, si c’est le cas, selon l’approche possibiliste, cet étudiant par son éloignement géographique est obligé de ne pas continuer ses études. Il prend en considération le fait qu’il aurait plus de gains à faire en travaillant qu’en consacrant son temps aux études. Par conséquent, le diplôme collégial devient juste un papier pour l’encadrer et l’accrocher quelque part. C’est probablement pour cela que le Québec a une différence de 5 % par rapport à la proportion des jeunes de 15 à 19 ans qui ne sont plus aux études en comparant à l’Ontario et aux pays de l’OCDE (18).
Ensuite, d’après M. Robert Lacroix, un scientifique et l’ancien recteur de l’Université de Montréal, et M. Maheu, son collègue sociologue, « les jeunes tardent trop à s’engager dans un parcours universitaire et commencent à s’endetter dès le cégep. Ils sont alors plus portés à chercher des formations courtes. Comme les 2 années ou plus au cégep entraînent un allongement des études préalables à l’université, certains étudiants s’endettent et vont sur le marché du travail plutôt que d’entrer à l’université. Ils retardent leurs études ou font des certificats, sans terminer un baccalauréat. » (19). Ainsi, les jeunes préfèrent commencer à travailler une fois leur cégep terminé, car ils pensent avoir perdu déjà trop de temps au cégep, ce qui présente une caractéristique d’une société traditionnelle. L’éducation n’est plus tant valorisée autant que le travail qui permet d’entretenir la famille. C’est pour cette raison qu’on compte davantage d’infirmières francophones qui n’ont qu’un diplôme collégial ou un certificat. D’après le rapport statistique sur l’effectif infirmier exerçant leur profession au Québec de 2018-2019, 80,8% du personnel infirmier ont une formation initiale de DEC, alors que seulement 12% ont un baccalauréat en soins (20). Cela veut dire, que la Révolution Tranquille laisse encore des impacts sur la vie des gens d’aujourd’hui. Il faudrait encore voir passer plus une génération pour avoir des changements, mais il faut agir pour accélérer ce processus.
D’un point de vue de performance, le Québec francophone a un plus faible pourcentage de diplômés universitaires que la moyenne canadienne. « La différence est marquée au niveau du baccalauréat et de la maîtrise, et il est catastrophique au niveau du doctorat, affirme M. Robert Lacroix, scientifique et ancien recteur de l’université de Montréal. L’écart entre le Québec francophone et le reste du Canada est à peu près le même, voire un peu plus élevé, qu’avant la Révolution tranquille. » (21) Sans oublier que le Québec a mis en place le système des cégep dans le but de diminuer cet écart qui n’a pas l’air de s’améliorer. Le Québec accumule des retards alarmants dans un siècle où l’économie repose de plus en plus sur le savoir. Selon le Centre sur la productivité et la prospérité (CPP) de HEC Montréal en 2012, au Québec, seulement 16,5 % des Québécois de 15 ans et plus ont un diplôme universitaire, comparativement à 20,5 % en Ontario, à 19,3 % en Colombie-Britannique et à 18,2 % pour le Canada entier (22). Donc, il est normal de voir le développement lent des entreprises québécoises. Étant donné que les entreprises ont de la main d’œuvre peu ou pas du tout qualifiée, elles ne peuvent pas avoir de la croissance aussi grande. Cela ralentit l’économie et force la dépendance de celle-ci du secteur minier, agricole et laitier. En bref, pour régler les problèmes du manque de la main d’œuvre, il faut enlever le cégep du parcours universitaire. Les cégeps sont une invention des années 60 qui fut mise en place pour élever le niveau des étudiants suite à la grande noirceur du temps de Duplessis. Il faut s’adapter aux nouvelles réalités et faire face aux problématiques récentes de notre époque. On devrait investir davantage dans le secteur public et faire en sorte que la nouvelle génération québécoise forme une élite afin qu’elle prenne grandement la place dans le marché du travail.
Pour atteindre ce but, le peuple québécois et, en particulier, les habitants de la grande région métropolitaine devenaient adhérés à la philosophie de H. Jonas (23). Le principe de la responsabilité envers les générations futures ne s’exprime pas seulement dans les manifestations pour le climat et l’environnement, mais aussi dans la création des conditions pour la jeunesse afin qu’elle se développe et s’épanouisse à son plein potentiel. L’éducation est le premier palier dans ce processus et tous les défauts du système ont un impact direct sur les autres facteurs, tels que l’emploi et la société. Donc, le gouvernement devrait agir plus vite afin de stimuler l’économie et investir dans la jeunesse québécoise, plutôt que dépendre de l’immigration.
Or, les classes politiques québécoises et en grande majorité issues de Montréal ont une approche utilitariste (24). Elles veulent faire du bien à plus grand nombre de gens et leurs politiques visent plutôt les adultes de 55 à 65 ans. Étant donné qu’il s’agit la tranche d’âge la plus nombreuse, elle devient le principal publique-cible de toutes les parties politiques. Cela peut coûter cher au gouvernement, car après que la vieille génération serait éteinte, la jeunesse ne serait pas en mesure de remplacer adéquatement leurs parents et, donc, plonger la province dans une grande crise de main d’œuvre. Les effets de cette crise apparaissent déjà dans l’actualité.
En résumé, pour se mettre à niveau avec les pays comme la France et la Russie, il faut suivre leur exemple. Il est nécessaire de doubler le nombre des établissements scolaires, pour réduire le temps qu’un élève passe dans le transport. Il est nécessaire de faciliter la tâche des enseignants, en réduisant le nombre d’élèves par classe, pour que les enfants aient plus de temps et plus d’attention de la part des professeurs. Il est nécessaire de réduire le temps de classe pour chercher le maximum des élèves tout en les gardant concentrés et aptes à étudier. Il faut enlever le cégep du parcours universitaire, pour faciliter le chemin vers le parcours universitaire et stimuler la croissance économique. Le volume de ces mesures peut sembler immenses, cependant, elles sont réalisables. Afin de réduire le manque de la main d’œuvre, le gouvernement doit prendre en considération tous les outils pour y arriver. Ces changements vont former davantage de professionnels, réduire la dépendance de la province de l’immigration et permettre aux entreprises de travailler à leur plein potentiel. Alors pourquoi pas investir dans la jeunesse québécoise pour assurer le futur de notre belle province ?
L’utilitarisme est une doctrine en philosophie politique ou en éthique sociale qui prescrit d’agir de manière à assurer le bien-être collectif.
(1) – FRANCE. L’ÉDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE, La réussite au diplôme national du brevet : sexe, âge, origine sociale, Paris, 2019, graph. 1 (document consulté le 18 décembre 2020).
(2) FÉDÉRATION RUSSE, NATIONAL RESEARCH UNIVERSITY HIGHER SCHOOL OF ECONOMICS, Indicators of Education in the Russian Federation : 2018, Moscou, 2018, p. 139 (document consulté le 18 décembre 2020).
(3) GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION ET MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, Diplomation [Diplomation | Ministère de l’Éducation et Ministère de l’Enseignement supérieur (gouv.qc.ca)] (page consultée le 8 décembre 2020).
(4) HEC MONTRÉAL, Productivité et prospérité au Québec – Bilan 2012, Montréal, éd. Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal, 2012, p.28 [PP_2012_01_BILAN_2012.pdf (hec.ca)] (document consulté le 18 décembre 2020).
(5) Diplôme d’études secondaires.
(6) VILLE DE LYON, site officiel [Equipements | Ville de Lyon] (page consultée le 8 décembre 2020).
(7) GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, loc.cite ,[ Trouver une école | Ministère de l’Éducation et Ministère de l’Enseignement supérieur (gouv.qc.ca)] (page consultée le 18 décembre 2020).
(8) Le possibilisme est une hypothèse l’exploitation de l’environnement humain est faite en fonction des compétences et des outil que ceux-ci développent.
(9) Hanks R. REUEL. Encyclopedia of geography terms, themes, and concepts. Santa Barbara, Californie, éd. ABC-CLIO, 2011, p. 262–263.
(10) Forme d’apprentissage dans laquelle un organisme est amené à réagir à un stimulus par une réponse qu’il ne fournissait pas auparavant.
(11) Guy PARENT et Pierre CLOUTIER, Initiation à la psychologie, 3 édition, Montréal, éd. Chenelière Éducation, 2017, p.159.
(12) FÉDÉRATION RUSSE, op.cite, p. 136.
(13) Patrick FAUCONNIER, « Rythmes scolaires: » Après 20 minutes de cours, les élèves décrochent » » dans l’Obs, Publié le 23 janvier 2013 [Rythmes scolaires: » Après 20 minutes de cours, les élèves décrochent » (nouvelobs.com)] (page consultée le 18 décembre 2020).
(14) FÉDÉRATION RUSSE, op.cite, p. 126.
(15) Niveau d’activation requis pour obtenir une performance maximale à une tache.
(16) Lois selon laquelle le niveau optimal d’activation requis pour une performance maximale varie entre activation intermédiaire et une activation très élevée, selon que la tâche est difficile ou plutôt facile.
(17) FÉDÉRATION DES CÉGEPS, Caractéristiques de la population étudiante collégiale : valeurs, besoins, intérêts, occupations, aspirations, choix de carrière, Québec, Canada, 2018, p.16 [Caractéristiques de la population étudiante collégiale : valeurs, besoins, intérêts, occupations, aspirations, choix de carrière (fedecegeps.ca)] (document consulté le 18 décembre 2020.
(18) HEC MONTRÉAL, loc.cite, p.19 [PP-2018-01.pdf (hec.ca)] (document consulté le 18 décembre 2020).
(19) Lysiane GAGNON, « CÉGEPS : PARTICULARITÉ OU ANOMALIE ? » dans La Presse +, le 10 février 2018 [Cégeps : particularité ou anomalie ? – La Presse+](page consultée le 18 décembre 2020).
(20) ORDRE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS DU QUÉBEC, Rapport statistique sur l’effectif infirmier 2018-19, 2019, p.24 [Rapport_statistique_2018-2019.pdf (oiiq.org)] (document consulté le 18 décembre 2020).
(21) Hugo PILON-LAROSE, « Formation préuniversitaire collégiale: des chercheurs contestent l’efficacité des cégeps » dans La Presse, le 25 janvier 2018 [Formation préuniversitaire collégiale: des chercheurs contestent l’efficacité des cégeps | La Presse] (page consultée le 18 décembre 2020).
(22) HEC MONRÉAL, loc.cite, 2012, p.29.
(23) Hans Jonas (10 mai 1903 – 5 février 1993) est un philosophe allemand.
Médiagraphie
FAUCONNIER, Patrick. « Rythmes scolaires: » Après 20 minutes de cours, les élèves décrochent » » dans l’Obs, Publié le 23 janvier 2013 [Rythmes scolaires: » Après 20 minutes de cours, les élèves décrochent » (nouvelobs.com)] (page consultée le 18 décembre 2020).
FÉDÉRATION DES CÉGEPS. Caractéristiques de la population étudiante collégiale : valeurs, besoins, intérêts, occupations, aspirations, choix de carrière, Québec, Canada, 2018, 141 p. [Caractéristiques de la population étudiante collégiale : valeurs, besoins, intérêts, occupations, aspirations, choix de carrière (fedecegeps.ca)] (document consulté le 18 décembre 2020)
FÉDÉRATION RUSSE, NATIONAL RESEARCH UNIVERSITY HIGHER SCHOOL OF ECONOMICS. Indicators of Education in the Russian Federation: 2018, Moscou, 2018, 402 p. [io2018.pdf (hse.ru)] (document consulté le 8 décembre 2020).
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VILLE DE LAVAL. site officiel [Ville de Laval] (page consultée le 18 décembre 2020).
VILLE DE LYON. site officiel [Equipements | Ville de Lyon] (page consultée le 18 décembre 2020).
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