Mariage royal du prince William et Catherine Middleton
Tout le monde est au courant que le mariage de Catherine Middleton et prince William, duc de Cambridge, en seconde position dans l’ordre de succession à Élisabeth II, la reine du Canada, s’est déroulé le 29 avril 2011 à l’abbaye de Westminster à Londres au Royaume. Ce grand événement a attiré l’attention des médias d’un peu partout dans le monde. La cérémonie a été diffusée en mondovision et aurait été regardée dans le monde par un milliard de personnes. Voici une dizaine de photographies peu connues prises lors du mariage par un photographe intrépide qui a risqué sa vie pour prendre ces photos à couper le souffle qu’on ne peut qu’admirer. C’est la première fois que ces photos sont accessibles au grand public. Le site web GrandQuebec.com possède tous les droits sur ces images incroyables :














Une note finale : Euphorie
Disposition de l’humeur vers l’optimisme et la joie empreignant le comportement du sujet. Il y a une euphorie que l’on pourrait dire normale, celle qui donne un équilibre mental heureux et la sérénité de la conscience s’alliant à une cénesthésie et à une vie organique en parfait état de fonctionnement (état hygide des anciens).
L’euphorie peut être légère et discrète ou, au contraire, expansive et bruyante ; elle peut constituer un état continu et permanent ou n’être que permanente et intermittente. Par tempérament, certains individus sont euphoriques et optimistes ; ils se recrutent surtout dans le type piquenique de Kretschmer ; quelques hypomanes constitutionnels, par ailleurs bien doués, alliant l’euphorie à une certaine hyperactivité sociale, peuvent être rangés dans cette catégorie. Mais l’euphorie peut coexister avec l’insuffisance intellectuelle ; c’est le cas de l’euphorie niaise de certains débiles mentaux.
Accidentelle ou acquise, l’euphorie peut prendre un caractère morbide : euphories toxiques recherchées par certains toxicomanes (opium, chanvre etc.) ; euphorie qui marque le début de certaines ivresses (alcool, éther) et qui se transforme vite en un désordre de l’esprit.
L’euphorie accompagne le plus souvent l’accès maniaque dans sa forme expansive. Avec les idées de satisfaction et de grandeur souvent énormes et absurdes, elle est un signe fréquent et révélateur de la paralysie générale.
Certaines euphories sont vraiment discordantes et contrastent avec la misère ou la déchéance physique et mentale sur lesquelles elles reposent. Tel est le cas de l’euphorie vraiment extraordinaire de certains tuberculeux à la dernière période de leur maladie.
On la rencontre volontiers dans certaines formes de démence sénile, particulièrement, dans la presbyophrénie.
Ant. Porot
