Villes et villages de l’Ontario

Quelques villes et villages de la province de l’Ontario

Ville de Chatham-Kent

Chatham-Kent est une municipalité de la province de l’Ontario, créée en 1998 après la fusion de vingt-trois villages et petites villes, dont le noyau urbain de Chatham qui à lui seul regroupe plus de la moitié des ses 110 mille habitants. Ensuite viennent le secteur de Wallaceburg, avec environ 12 mille résidents, et celui de Blenheim, où vivent plus de 5 mille personnes.

La ville de Chatham, qui se dresse judicieusement entre les lacs Huron et Érié, et qui est traversée par les rivières Thames et Sydenham, est née suite à la fondation d’un chantier naval vers la fin du XVIIIe siècle. Cet emplacement fut choisi en raison de la profondeur de la rivière Thames à cet endroit. Notons au passage que la ville anglaise de Chatham, dans le Kent, possède aussi de nombreux chantiers navals, ce qui a peut être influencé le choix du nom de la municipalité.

Lors de la Guerre de 1812-1814 contre les envahisseurs américains, le 5 octobre 1813, la Bataille de la Rivière Thames se déroula à cet endroit, notamment entre les secteurs actuels de Moraviantown et de Thamesville.

Durant la première moitié du XIXe siècle, Chatham faisait partie du célèbre Chemin de fer clandestin organisé par des abolitionnistes américains qui aidaient les esclaves noirs à fuir le sud des États-Unis. C’est pourquoi on y voit plusieurs sites historiques témoignant de cette époque lointaine, la ville faisant d’ailleurs partie du Tour Patrimonial Africain-Canadien (African-Canadian Heritage Tour).

La maison de Josiah Henson, dont s’inspira Harriet Beecher Stowe pour son célèbre roman La case de l’Oncle Tom (Uncle Tom’s Cabin), se trouve dans le secteur de Dresden. Le révérend Henson, qui était lui-même un ancien esclave né au Maryland, y fonda en 1841 l’Institut anglo-américain, qui servit de refuge à un grand nombre d’esclaves venus des États-Unis.

Le 16 octobre 1859, c’est de l’église baptiste de Chatham que John Brown est parti avec d’autres abolitionnistes pour attaquer l’arsenal de l’Harper’s Ferry, en Virginie, le 16 octobre 1859. C’est parmi les habitants de Chatham qu’il a recruté ses hommes. Ce raid est considéré comme la première action de la guerre civile américaine, et la chanson John Brown’s body «Le corps de John Brown gît dans la tombe. Son âme, elle, marche parmi nous» est devenue l’hymne des troupes américaines qui luttaient contre l’esclavage.

Chatham-Kent est majoritairement anglophone, mais des familles de fermiers francophones vivent à Pain Court, Tilbury et Grande Pointe. Selon le recensement de 2006, environ 8500 résidents de Chatham-Kent parlent le français au sein de leur famille.

On trouve sur le territoire de la municipalité deux parcs provinciaux : le parc de Rondeau et le parc de Wheatley et un parc national : le parc national Point Pelee.

Au Canada, Chatham est connu également par son Rockstock, un rendez-vous musical de deux jours qui se tient près de l’aéroport municipal de Chatham.

Ville de Clinton

Cette jolie ville de l’Ontario, fondée en 1875, abrite 3000 habitants. D’élégantes maisons de brique, construites entre 1877 et 1884, se succèdent le long de la rue principale. Durant la deuxième guerre mondiale, Clinton fut surnommée la “maison du radar”. Une antenne géante, à l’angle des rues Mary et King, rappelle l’époque où la ville abritait la première école technique de radar en Amérique du nord.

Le parc commémoratif Sloman abrite un autre souvenir, l’école itinérante. Celle-ci servit de 1926 aux années 1960 à diffuser l’instruction dans les petites localités isolées du nord de l’Ontario.

Il s’agissait d’un wagon du CN, un vrai wagon de chemin de fer, comportant une salle de classe et une chambre pour l’instituteur.

On la détachait du train et elle demeurait 4 jours dans la localité. Avant de repartir, l’instituteur distribuait des devoirs qu’ils recueillait au passage suivant.

En 1938, il y avait 7 voitures de ce type dans tout le nord de l’Ontario.

Fred Sloman (1894-1973) fut directeur de ce programme et enseigna jusqu’en 1965 dans un de ces wagons, où il habitait avec sa famille.

Clinton a fusionné récemment avec Goderich et Hullett pour former la municipalité de Central Huron.

Ville d’Innisfil

La ville d’Innisfil regroupe plus de 32 mille résidents permanents. En été, près de 5 mille vacanciers viennent les rejoindre, en provenance principalement de Toronto qui se trouve à proximité.

C’est en 1820 que les terres sur lesquelles la ville d’Innisfil sera fondée furent arpentées pour la première fois. Avant cette date, la région était habitée par des Hurons. Les premiers colons européens y arrivent en 1820, et vers la fin de cette décennie, on y compte plusieurs dizaines de maisons et un moulin a scie. La première école est construite en 1838. Le recensement de 1842 montre que la population de la ville est déjà de 762 personnes.

La plupart des colons construisent leurs demeures sur les berges du lac Simcoe et de la baie Kempenfelt.

En 1850, la ville d’Innisfil est incorporée. À la même époque, l’arrivée du chemin de fer de la Simcoe and Huron Railway (qui deviendra plus tard la Northern Railway) contribue à l’essor de la ville.

Lors de la première moitié du XXe siècle, Innisfil devient une ville de villégiature renommée. Aujourd’hui, la plupart des cottages, chalets d’été et autres maisons de vacances ont été transformées en résidences principales.

La ville d’Innisfil est connue à travers la province de l’Ontario pour ses magasins d’antiquités regroupés dans le quartier de Cookstown, ainsi que pour la gigantesque vente de garage Wing-Ding qui s’y tient lors du premier week-end de juin, sans oublier la Foire de Cookstown, célébrée en septembre.

Emily Murphy, qui a lutté pour les droits des femmes au Canada, est née à Innisfil (dans l’actuel quartier de Cookstown). Elle fut la première femme nommée chef de la police au Canada et dans tout l’empire britannique, en 1916.

Ville de Malton

Malton, située dans la province de l’Ontario est une ville, située au nord-est de Mississauga. Aujourd’hui, Malton fait partie de cette ville. La population de Malton est d’environ 40 mille résidents. La communauté se trouve tout près de Toronto. Le canton de Malton se développe à partir de 1823, quand M. Samuel Moore s’y installe avec sa famille. Toutefois, la petite localité ne porte pas de nom et est alors connue comme “ coin nord de Toronto ”.

Dans les années 1840, Richard Halliday, maître forgeur, y arrive d’Angleterre et ouvre la première forge dans la région. C’est lui qui baptise le village Malton en l’honneur de sa ville natale en Angleterre. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le village devient très important comme producteur de céréales qu’il fournit à Toronto après l’ouverture du chemin de fer du Grand Trunk, en 1854.

En 1937, Malton change sa vocation agricole pour devenir la porte d’entrée de millions de visiteurs et immigrants au Canada. Cette année-là, la construction de l’aéroport international Pearson (Pearson International Airport) débute. L’aéroport apporte la prospérité à la ville.

En 1967, Malton est constitué en ville, mais en 1974, la ville fusionne avec Mississauga.

Malton est également célèbre au monde par le fait que la compagnie aérienne AVRO, une des entreprises les plus réputées dans le monde d’aviation, s’y trouve. Même la devise de Malton – Home of the Avro Arrow (Foyer d’AVRO Arrow) nous rappelle ce fait. Cette compagnie fut la première entreprise canadienne à avoir développé des appareils supersoniques. C’est cette compagnie qui a produit les premières soucoupes volantes au monde, dans les années 1950 lors des recherches dans le cadre d’un projet visant la création d’un avion moderne capable de s’envoler verticalement.

Deux communautés culturelles d’immigrants non anglophones sont bien présentes à Malton. Il s’agit de la communauté italienne et de celle des Polonais. Aujourd’hui, un grand nombre d’immigrants de l’Inde (majoritairement des Sikhs) y arrivent.

En raison de la présence des Italiens et Polonais, Malton a une large communauté de fidèles au culte Catholique.

Canton d’Opasatika

Le canton d’Opasatika est situé dans la partie nord-est de la province de l’Ontario, dans la région de Cochrane, près de la frontière provinciale avec le Québec. La population du canton est de seulement 350 résidents. Cependant, Opasatika se distingue par sa magnifique forêt boréale, pleine de vie sauvage, ce qui n’est pas sans attirer de nombreux chasseurs et pêcheurs ontariens et québécois.

Le canton se compose de deux hameaux: Opasatika et Lowther.

Avant l’arrivée des Européens, le territoire d’Opasatika était occupé par différentes tribus amérindiennes. Dès la fin du XVIIe siècle, la route des coureurs des bois qui se rendaient de Montréal vers la Baie d’Hudson traversait cette région.

À partir du milieu du XIXe siècle, le territoire qui entoure Opasatika est devenu l’un des principaux centres de l’industrie forestière canadienne. En 1907, la Northern Ontario Railway (plus tard l’Ontario Northland) y a construit un chemin de fer. Dans les années 1950, une station de contrôle des Forces aériennes canadiennes s’y est installée. Cette station a fermé ses portes dans les années 1990.

Aujourd’hui, des centaines de vacanciers viennent à Opasatika, en été comme en hiver, pour pêcher, chasser, faire des randonnées en motoneige ou en quad. Le lac Opasatika est très populaire parmi les amateurs de pêche blanche.

Le canton d’Opasatika est situé sur l’autoroute ontarienne n°11.

Village cri de Peawanuck

Peawanuck est un village cri situé dans le nord de la province de l’Ontario, à la confluence des rivières Winisk et Shamattawa, près de la baie d’Hudson. Le village de Peawanuck ne regroupe que 200 résidents.

Peawanuck a été fondé en 1988, deux ans après la grande inondation qui a détruit le village cri de Winisk. Le Conseil de bande a décidé de déménager 30 kilomètres plus loin pour éviter de nouvelles inondations. Les résidents de Winisk s’établissent alors à l’emplacement d’une ancienne base militaire et change le nom du village qui est baptisé Peawanuck.

Historiquement, les Cris de cette région étaient des chasseurs. Depuis le XVIIIe siècle, un poste de traite des fourrures y était installé et la communauté de Winisk s’est formée autour de ce poste.

Aujourd’hui, cette petite communauté est la porte d’entrée du parc provincial de l’Ours Polaire (Polar Bear Provincial Park). Les touristes qui viennent visiter ce parc constituent une importante source de revenus pour le village. Mais ils ne sont malheureusement pas très nombreux car Peawanuck n’est accessible que par une route de gravier ouverte seulement en été. Quand la route n’est plus utilisable, c’est l’aérodrome de Peawanuck qui dessert la communauté.

Cependant, des motoneigistes commencent à découvrir la région qui est aussi visitée par des chasseurs d’oies et par des adeptes du tourisme d’aventure.

Ville de Penetanguishene

La ville de Penetanguishene se situe dans la province de l’Ontario et fait partie du comté de Simcoe, sur la pointe sud-est de la Baie Georgienne.Cette ville, dont le nom est souvent abrégé en Penetang, fut incorporée en février 1882. Elle regroupe environ 10 mille habitants.

Notons que la ville de Penetanguishene est un ville bilingue dont une partie de la population parle le français. Son nom vient d’une expression de la langue Ojibwa qui signifie “lieu de sables blancs et de dunes”,

Ce territoire était fréquenté par des Hurons depuis de nombreux siècles. Le premier Européen à s’y établir fut le prêtre jésuite Étienne Brûlé venu évangéliser les indiens entre 1610 et 1614.

Beaucoup plus tard, en 1793, John Graves Simcoe décide d’y fonder une base navale afin de protéger la région d’une possible invasion américaine. Cette base, achevée vers 1817, a fermé ses portes après des ententes militaires conclues avec les voisins du sud vers le milieu du XIXe siècle.

C’est dans les années 1840 que plusieurs familles du Québec, notamment de la Vallée du Saint-Laurent, viennent y habiter, attirés par les terres fertiles et bon marché. La communauté francophone était alors représentée principalement par les habitants d’une petite colonie située sur l’Île Drummon. On parle toujours le français à Penetanguishene et c’est l’une des trois villes ontariennes où la population francophones surpasse la moyenne provinciale de 4,5%, les deux autres étant Welland et Lakeshore. La radio CFRH-FM, émet en français.

Parmi les attraits de la ville, on peut citer le site historique de la base navale et militaire de Discovery Harbour où les visiteurs peuvent découvrir deux navires de la période de la guerre de 1812, soit le HMS Bee et le HMS Tecumseth.

Penetanguishene et la ville de Parry Sound sont des points de départ judicieux pour explorer la Baie Georgienne et ses 30 mille îles.

Le Festival des Lumières, célébré annuellement en novembre, au début des longues célébrations de Noël, et le Winterama, un festival hivernal annuel qui se tient en février, font partie des divers événements qui se tiennent à Penetanguishene.

Remarquons que l’équipe locale de hockey junior des Penetang Kings est bien connue au Canada.

Ville de Petrolia

Petrolia, une ville d’environ 6 mille résidents, se trouve en Ontario, dans le comté de Lambton, à proximité du lac Huron et de la rivière St-Clair.

On peut deviner à partir de son nom que la ville entretient des rapports étroits avec l’industrie du pétrole canadien. En effet, c’est ici que l’industrie du pétrole de l’Amérique du Nord est née en 1857, quand M. James Miller Williams, résident de Hamilton, y installe des machines pour distiller le pétrole que l’on trouve en abondance dans le lieu connu sous le nom d’Oil Springs, tout près de la Petrolia d’aujourd’hui. Au cours de l’été 1858, il y découvre des gisements souterrains et en commence l’extraction. C’est à partir de ce moment que le pétrole est produit au Canada au niveau industriel. Vers le début des années 1860, on y produit déjà jusqu’à 5 millions de barils (790,000 m3) par année.

Au XIXe siècle, c’est à partir de Petrolia que les experts de l’industrie de pétrole voyagent à travers le Canada et les États-Unis pour y implanter leurs techniques.

Plus tard, au XXe siècle, des centaines d’experts de Petrolia ont enseigné les secrets de la production de pétrole dans environ 100 pays à travers le monde. Ils ont travaillé dans le désert de Gobi, en Iran, en Indonésie, en Australie, en Russie… Jusqu’à nos jours, on surnomme les résidents de Petrolia les “hard oilers”, soit les “pétro-durs”, en hommage aux mérites et à la ténacité des habitants de cette ville.

Malgré un net ralentissement de la production vers les années 1900, plusieurs puits de pétrole sont toujours en opérations.

Cependant, Petrolia est aussi une ville agrémentée de nombreux parcs, jardins et espaces verts.

Le Musée de la découverte de Petrolia (Petrolia Discovery museum) retrace l’histoire de la ville et des champs de pétrole. Le bâtiment du site national historique de Victoria Hall, érigé en 1888, fut une prison, une station de pompiers, et même un opéra, il fait partie de l’héritage de la ville.

Ville de Sault-Sainte-Marie

Sault-Sainte-Marie est une ville ontarienne située sur la rivière St. Marys, à la jonction entre les lacs Supérieur et Huron, en face de l’État américain du Michigan.

Sault (ou the Soo), comme on l’appelle familièrement, est la troisième ville en importance dans cette partie de l’Ontario, après Sudbury et Thunder Bay. Sault-Sainte-Marie, qui regroupe plus de 75 mille résidents, est le centre administratif du district d’Algoma. Il faut signaler qu’une ville du même nom est située dans l’état de Michigan, en face de la ville canadienne. Elles sont reliées par le pont International.

Avant l’arrivée des colons français, les lieux étaient habités par des tribus Ojibwa qui se rassemblaient en hiver près des saults. Étienne Brûlé parcourt l’endroit en 1623 et lui donne le nom de Sault Gaston, mais, en 1688, les Jésuites choisissent le nom de Sault-Sainte-Marie. Ils y installent une mission, dont l’emplacement se trouvait dans l’actuel centre-ville de la Sault-Sainte-Marie américaine.

À la fin du XVIIIe siècle, on creusa un canal entre les lacs Supérieur et Huron afin de contourner les rapides. Il passe aujourd’hui plus de bateaux par les écluses américaines de Sault-Sainte-Marie que par le canal de Panama.

Par ailleurs, en 1911, la ville devint célèbre du fait de la présence de Mme Angelina Napolitano, première femme canadienne à plaider son innocence et la légitime défense après le meurtre de son époux qui l’avait battue à maintes reprises.

En janvier 1990, le conseil municipal a approuvé une résolution sur la langue anglaise comme seule langue des services municipaux. Plusieurs villes ontariennes ont approuvé des résolutions semblables, mais Sault-Ste-Marie est la plus importante et il s’y trouve une petite communauté francophone. On remarque aussi que c’est l’une des rares villes ontariennes où les catholiques sont plus nombreux que les protestants.

Sur le plan économique, la principale entreprise de la région est l’Essar Steel Algoma (anciennement, Algoma Steel), qui emploie plus de 4000 personnes.

La ville est le siège du Centre patrimonial forestier canadien (Canadian Bushplane Heritage Centre) et on peut visiter le site historique du Canal de Sault-Sainte-Marie. Trois parcs provinciaux jouxtent le territoire de la ville, soit le parc provincial Pancake Bay, le parc provincial Batchawana Bay et le parc provincial du lac Supérieur.

Ville de Stratford

Il y a plusieurs villes du nom de Stratford sur la planète, à commencer par la célèbre Stratford-upon-Avon, en Angleterre, où est né William Shakespeare. Deux Stratford se trouvent au Canada, l’une est une petite ville du Québec, l’autre, beaucoup plus connue, est une ville ontarienne qui se dresse, comme sa grande sœur anglaise, le long d’une rivière baptisée Avon.

Stratford (en Ontario) compte plus de 32 mille résidents. La ville fut fondée en 1832.

Pendant longtemps, Stratford fut le centre de l’industrie du meuble en Ontario. Historiquement, la ville se démarque par la toute dernière grève ouvrière au Canada qui se termina par l’intervention de l’armée. Cela s’est passé en 1933, quand le parti communiste (Communist Worker’s Unity League) organisa une grève générale des travailleurs de l’industrie du meuble dans la ville.

Cependant, Stratford est connue avant tout pour son festival de théâtre qui s’y tient depuis 1953. Ce festival de renom se déroule chaque année dans quatre théâtres de la ville, soit au Festival Theatre, à l’Avon Theatre, au Tom Patterson Theatre et au Studio Theatre.

Mais bien d’autres festivals se tiennent dans la ville, parmi lesquels on distingue le Festival de musique Ovation (Ovation Music Festival) et le Festival de Musique d’Été (Stratford Summer Music Festival).

À lire également :

Qui habite cette maison ? – Je ne sais pas, – répondit l’homme. André lui mit dix réaux dans la main et ajouta: - Dis-le-moi tout de même. (Pierre Louÿs La Femme et le Pantin). Photographie de Megan Jorgensen.
Qui habite cette maison ? – Je ne sais pas, – répondit l’homme. André lui mit dix réaux dans la main et ajouta: – Dis-le-moi tout de même. (Pierre Louÿs La Femme et le Pantin). Photographie de Megan Jorgensen.

1 réflexion au sujet de « Villes et villages de l’Ontario »

  1. Bonjour, je suis à la recherche d’une communauté religieuse feminine française qui se serait trouvée à Caîpha en Ontario ;auriez-vous un site à m’indiquer sur ce sujet qui me permettrait de faire ces recherches ?
    Je remercie par avance celui ou celle qui saura me renseigner;
    Cordialement

    Répondre

Laisser un commentaire