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Monuments d’Ottawa

Monuments d’Ottawa

Monuments et statues d’Ottawa

Ottawa est un endroit merveilleux à visiter, passionnant et dynamique pour y vivre.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, à la demande du premier ministre William Lyon Mackenzie King, l’architecte français Jacques Gréber se voit confier le mandat d’élaborer un plan directeur pour la ville d’Ottawa.

Gréber recommande d’aménager une ville ravissante et verte, avec de vastes parcs, boisés et belles promenades. Ce plan, auquel se sont ajoutés beaucoup d’éléments depuis, a contribué à façonner la ville telle qu’on la voit aujourd’hui, avec son architecture splendide et ses monuments répartis dans toute la ville et entretenus avec soin.

Plusieurs statues et monuments mettant en vedette des événements d’envergure nationale s’y trouvent, tous représentant un pan d’histoire du pays. Nous vous proposons quelques photos de ces monuments à découvrir ou à redécouvrir :

monument aux valeureux

Monument aux Valeureux ( Valiants Memorial). Ce monument commémore quatorze personnalités de l’histoire militaire du Canada. Érigée autour de l’Escalier des Sapeurs, l’œuvre comprend neuf bustes et cinq statues, tous de grandeur nature, réalisés par les artistes Marlene Hilton Moore et John McEwen. Ce monument est situé au coin nord-est de la Place de la Confédération, à côté du Monument commémoratif de guerre du Canada. Le mur de l’escalier est décoré d’une citation de L’Énéide de Virgile : Nulla dies umquam memori vos eximet aevo (Rien ne vous effacera jamais de la mémoire du temps). Le monument a été inauguré par la gouverneure générale du Canada Michaëlle Jean le 5 novembre 2006. Photo : © GrandQuebec.com.

 

arthur currie

Arthur Currie (1875-1933), premier commandant national du corps expéditionnaire canadien au cours de la Première Guerre mondiale. Sous ses ordres, les soldats canadiens remportèrent nombre de batailles importantes, dont la bataille du canal du Nord, la bataille de Vimy, la deuxième bataille d’Ypres et la bataille d’Amiens. Photo : © GrandQuebec.com.

 

monument artillerie

Ce monument commémoratif a été érigé dans le Parc Major’s Hill d’Ottawa par le Régiment royal de l’Artillerie canadienne et inauguré par Son Excellence le major-général Georges P. Vanier, D.S.O. C.M. C.D., Gouverneur général du Canada, le 21 septembre 1959. Il a été inauguré à ce nouvel emplacement le très honorable Antoni Lamer, C.P. D.D. LL.D. D.U., Juge en chef du Canada, le 24 mai 1998. Photo : © GrandQuebec.com.

 

guerre de corée

Ce monument situé au centre-ville commémore le service de plus de 30 000 Canadiens engagés dans la guerre de Corée de 1950 à 1953, et dans le maintien de la paix jusqu’en 1957. Les noms de 516 Canadiens qui ont donné leur vie pour la paix et la liberté y sont inscrits. Le monument représente un soldat canadien volontaire et deux enfants coréens. La fillette porte un bouquet de feuilles d’érable, symbolisant le Canada, et le garçon, un bouquet de feuilles d’érable et d’althéas, la fleur nationale de la Corée. Un monument identique se trouve au cimetière des Nations Unies, à Busan, en Corée, où sont enterrés 378 Canadiens. Ce monument a été conçu par un ancien combattant canadien de la guerre de Corée, Vincent R. Courtenay. Il a été réalisé par l’artiste coréen Yoo, Young Mun en 2002. Photo : © GrandQuebec.com.

 

défense de hong kong

Le role des Canadiens dans la défense de Hong Kong. À la fin de 1941, 1975 Canadiens débarquèrent à Hong Kong pour renforcer la garnison. À la suite de l’attaque japonaise du 8 décembre 1941, démunis, ils se battirent avec courage et détermination. Beaucoup se distinguèrent au feu, dont le sergent-majeur de compagnie John Robert Osborn, premier Canadien à se mériter la Croix de Victoria lors de la Seconde Guerre mondiale. Au cours de cette bataille de 17 jours, 290 hommes furent tués. Après la reddition, 267 autres périrent victimes d’une longue et dure captivité. Le rôle des Canadiens dans la défense de Hong Kong témoigne avec éloquence de leur impérissable honneur. Photo : © GrandQuebec.com.

 

monument commémoratif

Monument commémoratif d’Ottawa. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les capacités offensives et défensives de la puissance aérienne se sont accrues. Au début de la guerre, il y avait une pénurie d’avions et de pilotes qualifiés. Comme le Royaume-Uni était trop vulnérable, des centres d’entraînement furent établis ailleurs. Plus de 137 000 membres d’équipages aériens du Commonwealth suivirent leur entraînement sur des bases situées en Amérique du Nord. Ils contribuèrent grandement à la victoire des Alliés tandis que de civils et des membres des forces aériennes acheminaient des avions et du ravitaillement au Royaume-Uni à partir du Canada et des États-Unis. Le Monument commémoratif d’Ottawa fut dévoilé par la Reine Elizabeth II en 1959. Il commémore quelque 800 hommes et femmes qui ont donné leur vie au cours de leur service ou de leur entraînement dans les Forces aériennes du Commonwealth au Canada, aux Antilles et aux États-Unis, et qui n’ont aucune sépulture connue. Leurs noms sont placés en fonction de l’année du décès, du service et du grade. La Commonwealth War graves Commission est responsable de l’entretien de sépultures et de monuments commémoratifs qui sont répartis dans quelque 150 pays du monde et perpétuent le souvenir d’environ 1 700 000 membres des forces du Commonwealth, sans égard à leur confession, qui sont morts au cours de deux guerres mondiales. Photo : © GrandQuebec.com.

araignée

Maman, l’araignée géante, œuvre emblématique de Louise Bourgeois (1911-2010). Œuvre d’art contemporain, l’arachnide monumental se confronte au musée des Beaux-Arts du Canada. Photo : © GrandQuebec.com.

œuvr

On n’a pas trouvé le nom de cette œuvre, mais c’est joli… Boulevard de la Confédération. Photo : © GrandQuebec.com.

 

monument maintien de la paix

Le monument au maintien de la paix est dédié aux casques bleus canadiens morts et vivants. Cet imposant monument est situé sur la promenade Sussex, à l’angle de la rue Saint-Patrick, au Sud du musée des beaux-arts ainsi qu’au Nord de l’ambassade des États-Unis à Ottawa et du Major’s Hill Park. Le monument, nommé «Réconciliation», met en scène trois gardiens de la paix – deux hommes et une femme – debout sur des arêtes en pierre émergeant des décombres, résultat de la guerre, et convergeant vers un sommet qui symbolise la résolution du conflit. Aux pieds du monument se trouve les paroles du 2 novembre 1956 dites par le premier ministre Lester Pearson ainsi que sa traduction française : Nous devons agir non seulement afin de mettre fin à la guerre mais aussi pour rétablir la paix… Mon gouvernement serait heureux de recommander la participation canadienne à une force internationale des Nations Unies. En 1995, le monument a été représenté sur le 1$ canadien faisant ainsi suite à l’utilisation du monument commémoratif de guerre du Canada sur le dollar canadien de 1994. Photo : © Grandquebec.com.

Le bataillon Mackenzie-Papineau (les Mac-Paps), monument aux volontaires canadiens des Brigades internationales en Espagne (1936-1939). Des Canadiens, au nombre de 1546, laisseront leur famille, leur emploi et leur pays pour aider le peuple espagnol à défendre la démocratie contre la montée du fascisme dans les années 1930. Au sein des légendaires Brigades internationales, composées de volontaires originaires de cinquante-trois pays, les Canadiens étaient regroupés dans le Bataillon Mackenzie-Papineau, du nom des chefs des rébellions de 1837 contre l’injustice dans le Haut-Canada et le Bas-Canada. Le bataillon eut de lourdes pertes, mais nombre de survivants poursuivirent le combat en se joignant aux forces armées canadiennes lors de la Deuxième Guerre mondiale. Dans leur lutte prométhéenne pour la liberté, la démocratie et la justice sociale, les Mac-Paps défendirent courageusement leurs idéaux sans penser à la gloire ou à la récompense. Ce monument a été érigé grâce aux dons généreux du peuple canadien à l’Association des vétérans et des amis du Bataillon Mackenzie-Papineau. Photo : © Grandquebec.com.
Le bataillon Mackenzie-Papineau (les Mac-Paps), monument aux volontaires canadiens des Brigades internationales en Espagne (1936-1939). Des Canadiens, au nombre de 1546, laisseront leur famille, leur emploi et leur pays pour aider le peuple espagnol à défendre la démocratie contre la montée du fascisme dans les années 1930. Au sein des légendaires Brigades internationales, composées de volontaires originaires de cinquante-trois pays, les Canadiens étaient regroupés dans le Bataillon Mackenzie-Papineau, du nom des chefs des rébellions de 1837 contre l’injustice dans le Haut-Canada et le Bas-Canada. Le bataillon eut de lourdes pertes, mais nombre de survivants poursuivirent le combat en se joignant aux forces armées canadiennes lors de la Deuxième Guerre mondiale. Dans leur lutte prométhéenne pour la liberté, la démocratie et la justice sociale, les Mac-Paps défendirent courageusement leurs idéaux sans penser à la gloire ou à la récompense. Ce monument a été érigé grâce aux dons généreux du peuple canadien à l’Association des vétérans et des amis du Bataillon Mackenzie-Papineau. Photo : © Grandquebec.com.
Monument aux anciens combattants autochtones du Canada et aux autochtones morts au combat. Conçu par l’artiste Noel Lloyd Piany, ce monument qui représente tous les peuples autochtones du Canada, soit les Indiens, les Métis et les Inuits, se veut un profond et perpétuel hommage à la contribution de tous les Canadiens autochtones aux efforts de guerre. Plus de dix mille Autochtones subirent de dures épreuves en participant à la Première et à la Deuxième Guerre mondiale ainsi qu’à la guerre de Corée. Ils servirent avec honneur et distinction dans tous les services et à tous les rangs, depuis celui de soldat à celui de brigadier. Ils livrèrent combat outre-mer pour défendre la souveraineté et la liberté des nations alliées, et ils appuyèrent cette cause au pays. Enfin, dans les opérations de maintien de la paix à l’étranger, ils continuent de faire preuve du même dévouement. À l'occasion de la Journée nationale des Autochtones, ce monument national a été érigé le 21 juin 2001. Photo : © Grandquebec.com.
Monument aux anciens combattants autochtones du Canada et aux autochtones morts au combat. Conçu par l’artiste Noel Lloyd Piany, ce monument qui représente tous les peuples autochtones du Canada, soit les Indiens, les Métis et les Inuits, se veut un profond et perpétuel hommage à la contribution de tous les Canadiens autochtones aux efforts de guerre. Plus de dix mille Autochtones subirent de dures épreuves en participant à la Première et à la Deuxième Guerre mondiale ainsi qu’à la guerre de Corée. Ils servirent avec honneur et distinction dans tous les services et à tous les rangs, depuis celui de soldat à celui de brigadier. Ils livrèrent combat outre-mer pour défendre la souveraineté et la liberté des nations alliées, et ils appuyèrent cette cause au pays. Enfin, dans les opérations de maintien de la paix à l’étranger, ils continuent de faire preuve du même dévouement. À l’occasion de la Journée nationale des Autochtones, ce monument national a été érigé le 21 juin 2001. Photo : © Grandquebec.com.
Monument de Thayendanegea (connu aussi sous le nom chrétien de Joseph Brant). Né vers 1742 dans la vallée de l'Ohio, grandi à Canajoharie Castle dans la vallée de la Mohawk (État de New-York). À l'âge de 13 ans, Brant participe à l'invasion de la Nouvelle-France par le forces du Royaume de Grande-Bretagne et leur alliés mohawks.  Aux côtés de l'empire britannique pendant la guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique, il convainc quatre des plus importantes tribus iroquoise de s’allier aux troupes britanniques et Loyalistes. Brant participe à la bataille d’Oriskany en 1777 et mène ensuite la guérilla contre les colons américains installés dans les États de Pennsylvanie et de New-York. Cette campagne connaît un tel succès que George Washington envoie une petite armée commandée par les généraux Clinton et Sullivan, en 1779, pour dévaster le pays iroquois. Les Mohawks sont exilés au Canada à la fin de la guerre et Brant s’attelle à la traduction du livre de prières anglican en langue Mohawk. Il mourra à Burlington, en Ontario, le 24 novembre 1807. Ce monument fait partie du Monument aux Valeureux. Photo : © Grandquebec.com.
Monument de Thayendanegea (connu aussi sous le nom chrétien de Joseph Brant). Né vers 1742 dans la vallée de l’Ohio, grandi à Canajoharie Castle dans la vallée de la Mohawk (État de New-York). À l’âge de 13 ans, Brant participe à l’invasion de la Nouvelle-France par le forces du Royaume de Grande-Bretagne et leur alliés mohawks.  Aux côtés de l’empire britannique pendant la guerre d’indépendance des États-Unis d’Amérique, il convainc quatre des plus importantes tribus iroquoise de s’allier aux troupes britanniques et Loyalistes. Brant participe à la bataille d’Oriskany en 1777 et mène ensuite la guérilla contre les colons américains installés dans les États de Pennsylvanie et de New-York. Cette campagne connaît un tel succès que George Washington envoie une petite armée commandée par les généraux Clinton et Sullivan, en 1779, pour dévaster le pays iroquois. Les Mohawks sont exilés au Canada à la fin de la guerre et Brant s’attelle à la traduction du livre de prières anglican en langue Mohawk. Il mourra à Burlington, en Ontario, le 24 novembre 1807. Ce monument fait partie du Monument aux Valeureux. Photo : © Grandquebec.com.
Monument de Pierre Le Moyne d'Iberville et d’Ardillières (1661-1706), navigateur, commerçant, militaire et explorateur. Il est connu pour avoir lutté efficacement contre l'armée anglaise durant une grande partie de sa vie, en plus d'avoir fondé des forts et exploré l'Amérique. Il est le fondateur de la colonie de la Louisiane, et des villes de Biloxi et de Mobile. Photo : © Grandquebec.com.
Monument de Pierre Le Moyne d’Iberville et d’Ardillières (1661-1706), navigateur, commerçant, militaire et explorateur. Il est connu pour avoir lutté efficacement contre l’armée anglaise durant une grande partie de sa vie, en plus d’avoir fondé des forts et exploré l’Amérique. Il est le fondateur de la colonie de la Louisiane, et des villes de Biloxi et de Mobile. Photo : © Grandquebec.com.
Monument de Simon Bolivar (1783-1830). Installé à l’intersection de la rue Besserer l’avenue Dalhousie, réalisé par Martin Toledo. La plaque commémorative dit : Ce monument est un don du gouvernement du Venezuela sous la présidence du Dr. Jaime Lusinchi. Il a été présenté par le ministre de l’intérieur le Dr. José Angle Giliberto qui l’a dévoilé en son nom au mois d’octobre 1988. Photo : © GrandQuebec.com.
Monument de Simon Bolivar (1783-1830). Installé à l’intersection de la rue Besserer l’avenue Dalhousie, réalisé par Martin Toledo. La plaque commémorative dit : Ce monument est un don du gouvernement du Venezuela sous la présidence du Dr. Jaime Lusinchi. Il a été présenté par le ministre de l’intérieur le Dr. José Angle Giliberto qui l’a dévoilé en son nom au mois d’octobre 1988. Photo : © GrandQuebec.com.
Érigé par la population pour commémorer l’acte d’héroïsme de Henry Albert Harper M. A. En tentant de sauver la vie de Mlle Bessie Blair, il fut emporté avec elle dans les eaux de la rivière Outaouais. C’était le 6 décembre 1901. Il avait 28 ans. Photo : © GrandQuebec.com.
Érigé par la population pour commémorer l’acte d’héroïsme de Henry Albert Harper M. A. En tentant de sauver la vie de Mlle Bessie Blair, il fut emporté avec elle dans les eaux de la rivière Outaouais. C’était le 6 décembre 1901. Il avait 28 ans. Photo : © GrandQuebec.com.
1971. Kwakiutl Totem. Don de la population autochtone de la Colombie-Britannique pour commémorer le centenaire de l’Union de cette province au Canada, le 20 juillet 1871. Sculpté à Victoria (Colombie-Britannique) par M. Henry Hunt de la Bande indienne de Kwawkewith sous l’égide du First Citizens’ Fund et du British Columbia Centenial ’71 Committee. Photo : © GrandQuebec.com.
Kwakiutl Totem. Don de la population autochtone de la Colombie-Britannique pour commémorer le centenaire de l’Union de cette province au Canada, le 20 juillet 1871. Sculpté à Victoria (Colombie-Britannique) par M. Henry Hunt de la Bande indienne de Kwawkewith sous l’égide du First Citizens’ Fund et du British Columbia Centenial ’71 Committee. Photo : © GrandQuebec.com.
Monument dédié à Terry Fox (Terrance Stanley Fox, né le 28 juillet 1958 - décédé le 28 juin 1981, à 22 ans). Ce monument reproduit Terry Fox pendant son marathon de l'espoir. Il était un athlète canadien et un militant pour la recherche dédiée au traitement du cancer. Il devint célèbre pour son « Marathon de l'espoir », un périple transcanadien qu'il entreprit afin de lever des fonds pour la recherche contre le cancer et il courut ce marathon malgré une jambe artificielle. Photo : © GrandQuebec.com.
Monument dédié à Terry Fox (Terrance Stanley Fox, né le 28 juillet 1958 – décédé le 28 juin 1981, à 22 ans). Ce monument reproduit Terry Fox pendant son marathon de l’espoir. Il était un athlète canadien et un militant pour la recherche dédiée au traitement du cancer. Il devint célèbre pour son « Marathon de l’espoir », un périple transcanadien qu’il entreprit afin de lever des fonds pour la recherche contre le cancer et il courut ce marathon malgré une jambe artificielle. Photo : © GrandQuebec.com.
Monument de Joseph Thomas Duhamel, deuxième évêque d’Ottawa (1874-1886) et le 1er archevêque d’Ottawa (1886-1909), en face de la Basilique de Notre-Dame-d'Ottawa. Photo : © GrandQuebec.com.
Monument de Joseph Thomas Duhamel, deuxième évêque d’Ottawa (1874-1886) et le 1er archevêque d’Ottawa (1886-1909), en face de la Basilique de Notre-Dame-d’Ottawa. Photo : © GrandQuebec.com.
L'Ours mangeur du saumon. Photo : © GrandQuebec.com.
L’Ours mangeur du saumon. Photo : © GrandQuebec.com.
Les trois sentinelles, 2003 (fonte de 2010, édition 3/3), bronze. Don de Michael Audain et Yoshiko Karasawa, Vancouver, 2011. James Hart. Old Masset (né en Colombie-Britannique, 1952). Photo : © Grandquebec.com.
Les trois sentinelles, 2003 (fonte de 2010, édition 3/3), bronze. Don de Michael Audain et Yoshiko Karasawa, Vancouver, 2011. James Hart. Old Masset (né en Colombie-Britannique, 1952). Photo : © Grandquebec.com.

Monument de Samuel de Champlain à Ottawa. Photo : © GrandQuebec.com.

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