Travail à l’étranger pour les Québécois
Plusieurs jeunes du Québec aimeraient aller donner un coup de main aux communautés d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Asie.
Ces gestes de solidarité demandent cependant une très bonne planification et une certaine formation. C’est pourquoi les organisations de coopération internationale demandent à leur tour une formation qui permettra à ces travailleurs de mieux saisir les implications du travail humanitaire.
L’action des bénévoles doit servir à assurer lu succès de l’organisme qui s’occupe de l’aide aux autres pays. La formation spécialisée aide à comprendre la conception du développement des pays.
Il existe plusieurs organisations œuvrant dans le développement international, mais la formation est assez semblable d’un organisme à l’autre, parce que le mode de vie des communautés ne change pas. Mais l’impression de l’existence d’une grandes récurrence dans les thèmes est trompeuse. Chacun des thèmes est traité par l’organisme correspondant en fonction de sa mission spécifique de chaque organisme et de sa façon de concevoir ses activités.
La formation obligatoire des travailleurs internationaux n’est pas longue. Elle comprend des cours théoriques, des simulations, des situations artificiellement créées de stress et autres aspects. Tous ces exercices permettent aux jeunes de mieux concevoir le futur travail.
Il est impossible de tout prévoir, mais les élèves reçoivent un certain nombre d’outils nécessaires grâce auxquels ils pourront mieux gérer les situations et faire face au choc culturel.
Finalement, il faut dire que l’expérience de travail à l’étranger est un plus et un atout dans le futur. Les recruteurs sont d’avis que les gens qui ont travaillé dans les conditions stressantes, dans les situations difficiles, quand il est impossible de réussir sans apprendre à travailler en équipe, sont les meilleurs candidats dans le marche du travail.
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