Comptable agréé

Depuis 2012, ce texte n’a qu’une valeur historique, voir notre billet Comptable.

Comptable agréé

Les études des dernières années ont démontré qu’au Québec, les opportunités d’emplois pour le comptables agréés (CA) sont vastes et les perspectives d’emploi plus qu’enviables.

Par exemple, selon l’Ordre des comptables agréés du Québec – OCAQ, en 2006, près de 99.5 % des nouveaux diplômés de la dernière année se sont dénichés un emploi dans le domaine.

Il faut noter que cette profession est la seule à garantir à ses candidats un stage rémunéré lors de la dernière année de leurs études.

Au Québec, on peut attendre un salaire annuel moyen de 105 000 $ dans le domaine, ce qui pourrait en convaincre plus d’un de faire carrière dans le métier.

Aujourd’hui, à la fin de la formation, les comptables agréés ont la possibilité de pratiquer leur profession dans plusieurs champs d’exercice. Des possibilités existent dans les petites et grandes entreprises, dans les organismes publics, dans les cabinets comptables, dans les institutions d’enseignement, dans le milieu des affaires.

Pour obtenir son titre de Comptable Agréé, l’étudiant doit terminer le baccalauréat en comptabilité. Ensuite il doit acquérir de l’expérience pratique et compléter un programme de formation professionnelle.

L’avenir est donc prometteur pour les prochains Comptables Agréés du Québec.

Barrême

Bertrand-François Barrême, dont le nom (avec un seul r de nos jours) est demeuré synonyme de calculateur émérite (cet homme, dit-on, est un barème) et sert à désigner, d’autre part, des livres de comptes tout faits destinés à permettre des opérations de calcul rapides, était un enfant de Lyon, où il naquit en 1640.

Il professa les mathématiques à Paris. Son enseignement et ses publications lui valurent le titre de professeur du roi en mathématiques, puis celui d’expert pour les comptes et calculs de la Chambre des Comptes à Paris.

Pour le plupart dédiées à Colbert eut le protégeait, rééditées plusieurs fois, tant du vivent de Barrême qu’après sa mort, les principales œuvres de cet arithméticien ont été: les Comptes faits du grand commerce (1670; l’Arithmétique ou le livre pour apprendre l’arithmétique soi-même (1677); le Livre nécessaire à tous les comptables (1674); la Géométrie servant à l’arpentage (1673); le Grand Banquier (1681); le Livres de comptes faits (1682), qui s’appela, le premier, “barrême”, puis « barèmes”, (guide barème”, dit-on aussi de nos jours); le Cahier curieux de Barrême arithméticien.

Barrême mourut à Paris en 1703, après avoir rendu de grands services à ln vie des affaires de son temps et de ceux qui suivirent.

Défilé
Un défilé à Montréal. Photo de GrandQuebec.com.

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