Voyage à Gaspé

Destination touristique : Voyage à Gaspé

Il y en a qui disent que la ville de Gaspé, située à l’extrême est de la péninsule de Gaspé, souffre de gigantisme. En effet, la ville de Gaspé se déploie sur un vaste territoire de plus de 1 440 kilomètres carrés.

Comme destination touristique, la ville est un choix véritablement très intéressant.

D’abord, citons le Parc national du Canada Forillon qui appartient à la municipalité et se situe à l’intérieur des limites de la ville de Gaspé.

Puis, plus de 130 kilomètres de littoral baignent les berges de Gaspé, ce qui en fait une destination de choix aussi pour les amateurs de voile. Les marinas de Gaspé et de Rivière-au-Renard sont très accueillantes et sont dotées de tous les services et installations nécessaires aux voyageurs. Notons que la ville de Gaspé s’enorgueillit de posséder la deuxième plus grande baie naturelle au monde. Trois rivières à saumon (la Dartmouth, la Saint-Jean et la York) invitent les pêcheurs et de nombreux lacs parsèment son territoire.

On y retrouve des installations sportives, des pistes cyclables et de randonnée pédestre. Pour les sports d’hiver, Gaspé dispose d’un excellent centre de ski alpin et de deux magnifiques centres de ski de fond.

Le Parc de la Gaspésie est situé à deux heures de route du centre-ville de Gaspé.

Plusieurs autres attraits touristiques s’y trouvent, tels le Musée de la Gaspésie, le Moulin des Plourde, le Centre d’interprétation des pêches, la Cathédrale du Christ-Roi, le Centre culturel Le Griffon, le Centre d’interprétation du cuivre de Murdochville, le Lieu historique national du Manoir LeBoutillier, le Monument historique national du Phare de Cap-des-Rosiers, le Site du phare de Pointe-à-la-Renommée et le Site d’interprétation Micmac de Gespeg. On peut parcourir également le Circuit patrimonial Jacques-Cartier ou pratiquer l’agrotourisme dans les fermes avoisinantes.

Littoral de la Gaspésie

Le littoral de la Gaspésie fait 750 kilomètres. La ZIP Baie-des-Chaleurs explique : « Le littoral de la Gaspésie est en constante évolution et se modifie continuellement en fonction des conditions océanographiques (marées, vagues, glace), terrestres (glissement de terrain) et météorologiques (précipitations, vent, gel-dégel). Les diverses actions accomplies par les utilisateurs de ces milieux (résidents, plaisanciers, pêcheurs, etc.) ont aussi des effets sur le littoral.

À lire et à déguster, ce « carnet du littoral » qu’est La Gaspésie de Métis à Miguasha, carnet du littoral (2012) de l’aquarelliste Jacques Martineau. Il y dessine le littoral, ses grèves, ses envolées d’oiseaux marins, ses falaises de roches stratifiées, ses anses et ses galets, ses déferlantes, ses petits ports.

Cap Blanc

Éminence qui surplombe la baie de Gaspé, à quelques kilomètres de Douglastown, à l’extrémité sud de la péninsule gaspésienne, le cap Blanc fait partie de la ville de Gaspé. Le nom s’explique par la couleur généralement gris pale des sédiments, calcaires et schistes, qui constituent les assises rocheuses locales et que les géologues appellent précisément formation du Cap Blanc. Le toponyme figure sur les cartes de Bayfield (1832), Russell (1861) et Hamel (1879). Les variantes White Head, Cap White et Leggo Head ont été utilisées pour identifier cette entité topographique.

Rocher Percé
Rocher Percé. Photographie de GrandQuebec.com.

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