Vacances à la dernière minute

Comment réussir ses vacances à la dernière minute au Québec

Vous désirez vous offrir une pause bien méritée étant donné que la semaine de relâche arrive à grands pas ? Pas besoin de partir à l’autre bout du monde pour en profiter et décompresser. La province de Québec est pleine de surprises et de lieux captivants, que vous désiriez vous offrir un hébergement à Québec, ou même, en Gaspésie. Zoom sur quelques idées pour profiter de notre belle province en couple, seul ou en famille. Oui, l’hiver, c’est le fun !

Québec

En hiver, quoi de mieux que de s’offrir un sport typiquement d’ici : le patin. Que l’on soit débutant ou expert, la ville de Québec offre de beaux parcours pour s’adonner à cette activité. Pensons à la patinoire de la place D’Youville, ouverte de jour comme de soir, avec une ambiance des plus agréables, notamment grâce à l’architecture qui nous entoure : devant la porte Saint-Jean et le Capitole de Québec.

Gaspésie

Le fatbike, vous connaissez ? C’est un vélo aux roues surdimensionnées permettant d’arpenter autrement les sentiers en nature. Les plus aventureux peuvent s’offrir cette expérience au cœur des Chic-Chocs — lieu majestueux où la force de la nature est mise en évidence — avec, en option, un hébergement en forêt. Idéal pour les sportifs !

Saguenay–Lac-Saint-Jean

Lorsque la température le permet, la pêche à la glace est toujours une activité agréable à faire. Bien au chaud dans sa petite cabane (certaines sont d’ailleurs très bien aménagées) ou à l’extérieur, on en profite pour pêcher et décompresser, le tout au grand air !

On peut se rendre à Sainte-Rose-du-Nord, à l’auberge de jeunesse Aventure Rose-des-Vents, ou à La Baie, au Contact Nature Rivière-à-Mars.

Estrie

Quand on pense à ce coin du Québec, on peut s’imaginer en direction d’un spa en nature, car il y en a plusieurs dans cette région : Spa Eastman, Strom Spa Nordique, la Brume Spa au Lac-Brome, etc. Question de décompresser et de connecter à la nature, la visite d’un lieu de détente de type scandinave est tout indiquée. Ce qu’on y retrouve : de la nature — bien sûr ! —, des soins/massothérapie, ainsi que des bains aux cycles chauds et froids pour relâcher complètement le système nerveux.

D’autres idées de vacances à faire durant la semaine de relâche à partager avec nous ?

Municipalité de village d’Eastman

À 100 km au sud-est de Montréal et à environ 35 km au sud-ouest de Sherbrooke, la municipalité du village d’Eastman, fort pittoresque, s’épanouit dans une nature enchanteresse, sur le versant ouest du mont Orford.

Anciennement, les premiers colons arrivés là après la guerre de l’Indépendance américaine, au XVIIIe siècle, avaient dénommé l’endroit Bolton Forest – attribué à un bureau de poste dès 1865 – en raison de l’existence d’une vaste zone boisée et de la position des lieux dans le canton de Bolton. Dès 1870, le chemin de fer de la Waterloo and Magog Railway passait en ces lieux.

Territoire détaché de la municipalité de Bolton-Est, en 1888, la municipalité du village d’Eastman doit son nom, comme le bureau de poste établi en 1881, semble-t-il, à John Eastman, l’un des premiers pionniers du canton de Bolton qui obtint, avec quelques autres compatriotes, en 1797, une immense étendue de terrain dans le territoire cantonal. Contrairement à ce que Pierre-Georges Roy avance, les Eastmanois ne doivent par leur gentilé à une certaine Ezray Eastman, épouse de John Blinn qui aurait rendu de grands services à la communauté en temps d’élection, mais plus vraisemblablement à John Eastman.

Il n’est pas sans intérêt de signaler qu’en 1893 le syndic devait à la Eastman Lumber Co (propriété d’un descendant de John Eastman et peut-être à l’origine du nom municipal) une somme de 520$ pour la construction de l’église. Autour de 1867, un dénommé Dingman possédait le lot #1 du Neuvième Rang du canton de Bolton, territoire occupé aujourd’hui par tout le village d’Eastman. Ainsi, on désignait l’endroit comme Dingman Flats. Du côté religieux, la paroisse de Saint-Édouard, dont l’appellation évoque un roi d’Angleterre qui a régné de 1042 à 1066, saint Édouard le Confesseur, a été créée à la fin du XIXe siècle. C’est surtout pour rendre hommage au desservant de 1889 à 1890, Charles-Édouard Millette (1854-1908), que ce nom a été chois. Curé de Saint-Patrice, à Magog, de 1881 à sa mort, il avait vu la paroisse de Saint-Édouard en être détachée et canoniquement érigée en 1896.

Le tourisme occupe une place prépondérante dans l’économie locale, notamment depuis la création en 1970 d’un ensemble de résidences secondaires sur les rives du lac Orford, au pied du mont du même nom.

Voir aussi :

sport en hiver
Sport d’hiver au Québec.

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