Lévis touristique

Lévis – destination touristique au Québec

Voyage à Lévis : La ville de Lévis est liée à Québec par les ponts de Québec et Pierre-Laporte ainsi que par le service des traversiers.

La ville de Lévis a été à l’origine de la Nouvelle-France, fondée depuis plus de trois cents et elle offre des attraits touristiques majeurs sur toute l’étendue de son territoire.

Le Vieux – Lévis concentre une forte proportion de bâtiments anciens et d’intérêt patrimonial.

Milieu urbain en soi, Lévis offre aussi de grands paysages: le Parcours des Anses est une piste de 15 kilomètres de long, située en bordure du fleuve Saint-Laurent. Le Parc des Chutes–de–la-Chaudière constitue un milieu exceptionnel aménagé sur les rives de la rivière Chaudière, à proximité des ponts.

À Lévis, l’agrotourisme est aussi présente, particulièrement dans l’ouest du territoire, où les fermiers accueillent les visiteurs le long du Chemin de la Fraîcheur.

Plusieurs activités culturelles et sportives sont organisées à Lévis : l’on peut se balader dans le Vieux – Lévis à la chandelle, s’envoler à bord d’une montgolfière lors du Festivent et participer aux compétitions telles que le Marathon des Deux – Rives.

Lévis fait du tourisme son levier économique. La ville possède un énorme potentiel de développement comme destination d’affaires et de congrès.

Voyage à Lévis : Lieu-dit Harlaka

Nom donné à un lieu-dit situé dans la partie est du territoire de Lévis, en face de Québec, ce toponyme d’origine amérindienne désignait, à l’instar de Taniata et de Sarosto ou Sorosto, un établissement appartenant aux Abénaquis qui ont fréquenté la rive sud du Saint-Laurent jusqu’au milieu du XVIIIe siècle. Il serait hasardeux de vouloir retracer l’étymologie du mot Harlaka, déformé par divers contacts linguistiques, et, par conséquent, de lui conférer une signification.

Un missionnaire a cependant émis l’hypothèse que ce terme pouvait signifier à qui a pu arriver, faisant allusion au fait que ce territoire de chasse, éloigné de la rivière Chaudière, appartiendrait à celui qui l’atteindrait. Cet amérindianyme a servi sous le Régime français à nommer d’abord une concession de la seigneurie de Lauzon, la concession d’Arlaca, puis un rang et un chemin de trait-carré. Une Relation anonyme du siège de Québec de 1759 note que « Le 1er Juillet, M. de Lery arriva à Québec où il pénétra par les bois. Il avait descendu le chemin d’Arlaca, un peu au dessus de la pointe de Lévy. »

Le nom de lieu a par la suite été utilisé, au début du XXe siècle, pour identifier une station, puis un carrefour de voie ferrée. La jonction Arlaca que l’abbé Honorius Provost date d’après 1884. Elle figure donc sur des documents cartographiques probablement à compter de 1914 sous la graphie Harlaka. Finalement, la forme Harlaka est relevée chez James White (1916). Aussi sur une carte du ministère de la Défense de 1950, indiquant l’ancienne gare de l’endroit. La présence du « h » initial demeure inexpliquée.

ville de levis
Ville de Lévis vue depuis la rive nord du Saint-Laurent. Photo : © GrandQuebec.com.
traversier de Lévis Voyage à Lévis
Traversier de Lévis. Photo : © E. et V. Petrovskiy.

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