Reine piégée

Les Bleu Poudre piègent la reine

Good Lord ! Voilà que les infâmes Bleu Poudre remettent ça et s’en prennent à Sa Majesté la reine Elizabeth II !

Hier, le 26 octobre 1995, le groupe d’humoristes, qui sévit sur les ondes de la station montréalaise CKOI FM vient d’ajouter un autre trophée à sa collection: celui de la reine du Canada et d’Angleterre.

Un des membres du groupe s’est fait passer pour un attaché du premier ministre Jean Chrétien et, prétextant l’urgence nationale au Canada à quelques jours du référendum sur la souveraineté du Québec, a réussi à obtenir un rendez-vous téléphonique avec la reine.

Hier, à 17h05, heure de Londres, le faux M. Chrétien — Pierre Brassard — appelle à Buckingham Palace. On le met en communication avec la reine.

D’une voix pleine d’enthousiasme, la souveraine répond : « Ah ! Prime Minister ! »

La conversation s’engage en anglais. Chrétien – Brassard dit que la situation est « vraiment critique » au Canada. Une intervention de la part de la reine en faveur de l’unité canadienne pourrait sauver la mise…

« Je serais ravie de faire tout ce que je pourrai pour aider », dit la reine.

Après quelques blagues « bleupoudresques », la conversation se termine sur un au revoir.

Une curieuse histoire qui nous vient de 1930. Elisabeth s’amuse

La fille du duc et de la duchesse d’York, la petite princesse Elisabeth, est l’enfant gâtée de toute l’Angleterre. Elle vient d’atteindre l’âge Important de quatre ans. Et dès maintenant elle fait chaque jour dans l’existence des
découvertes qui l’enchantent.

Comme les autres petits enfants, les princesses adorent échapper parfois à toute surveillance. Il se trouva donc, l’autre matin, que la petite princesse Elisabeth sortit toute seule, comme une grande personnes, par une porte de derrière et se promena, le long du palais de Buckingham.

Elle allait, assurant ces petons au vent sa tête blonde et frisée. Elle passa devant une guérite. La sentinelle présenta les armes. Tiens! voilé qui est curieux.

Mais la fillette n’est pas sûre que ce ne soit pas là une coïncidence, Est-ce bien pour elle cet amusant exercice? Al! en voilà un jeu amusant! Ce soldat qui salue! Est-ce qu’il le referait encore une fois? Voyons! Il le refit. Quel bonheur! Le bébé princesse passe et repasse, la sentinelle salue et resalue.

Vingt minutes plus tard survient un officier qui faisait sa ronde. Il trouve une petite fille follement heureuse… et, à vrai dire, n’en pouvait pus. Vite on se mit à la recherche de la bonne qui emmena rapidement l’inconscient tyran.

Pour en apprendre plus :

Kate
Princess Kate. Sera-t-elle le but d’un autre jeu de prankers? Photo – GrandQuebec.com.

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