Culture Rave
Montréal est une ville moderne et souvent avant-gardiste. Ainsi, la culture ou la contre culture des parties rave, qui a débute dans les années quatre-vingt à Londres, y est bien plus développé qu’ailleurs. Ces soirées, ou plutôt nuits interminables, dansantes font rage à Montréal depuis bientôt des décennies. Chaque année, plusieurs de ces parties rave prennent place dans la métropole.
Il y a le Bal en Blanc, qui est le plus souvent tenu en avril au Palais des Congrès. Naturellement, tout les invités sont priés de se vêtir de blanc, et il y a toujours un concours pour déterminer le meilleur costume. Il y a aussi Oasis, Cream, Celebration et le Black&Blue.
En 2006, le Black & Blue, qui attire chaque année des milliers de touristes du monde entier, a fait bien des remous. Cette année, contrairement aux années précédentes, le gouvernement fédéral aurait refusé la subvention annuelle qui était octroyée aux organisateurs du Black&Blue.
Le gouvernement conservateur a refusé de financer l’événement, ce qui a provoque le mécontentement chez les organisateurs et la surprise chez certains citoyens choqués qu’un tel projet puisse bénéficier d’une subvention gouvernementale.
La même année 2006, le Black&Blue, tenu au stade Olympique de Montréal, a attiré plus de 7000 personnes. Certains des DJs invites étaient de Montréal et de Québec, mais d’autres venaient de Madrid et de Paris. Évidemment, en plus de ces partys rave, il y a aussi des discothèques rave, appelées les afterhours, notamment le Aria, le Sona, le Stereo, le Red Light et le Circus.
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