Vous ne le saviez pas !

La recherche spatiale

La recherche spatiale

La recherche spatiale et l’humanité

La Terre peut sembler immense, mais ce n’est qu’un point minuscule dans le système solaire et beaucoup plus insignifiant à l’échelle de l’Univers. Mais comment l’Univers a-t-il commencé ? Comment a-t-il évolué et comment va-t-il disparaître (si on assume qu’il y aura une fine de notre univers chéri).

Qu’est-ce que se trouve au centre de la Voie Lactée, notre galaxie que nous habitons depuis le commencement de notre civilisation ?

En fait, l’idée que des lois de la nature gouvernement aussi bien le monde céleste que le monde terrestre remonte à Isaac Newton. Pourtant, la cosmologie moderne a réellement débuté avec Charles Darwin et Alfred Russel Wallace qui furent les premiers à donner une explication de l’existence de la vie sans avoir recours à de quelconques lois naturelles. Les principes établis par Darwin et Wallace valent non seulement pour les sciences relatives à la vie sur la planète Terre, mais pour la cosmologie.

Bref, les lois qui président à la naissance et à l’évolution de l’univers doivent être les mêmes que celles qui gouvernent la chimie, la physique, le mouvement des éléments et celui des particules.

Plus encore, l’univers n’est pas statique et il évolue avec le temps. En conséquence, la constante cosmologique se révèle superflue ou plutôt n’existe pas.

N’oublions pas que l’évolution de l’univers nous a dotés d’une résidence confortable et de la capacité d’étudier tout ce que nous entoure…

La découverte du Cosmos

Nous disposons déjà d’engins interstellaires lents, et nous pensons que l’espèce humaine peut envisager des vols interstellaires rapides.

Nous sommes certainement l’une des sociétés techniquement les plus arriérées de la Voie Lactée, notre galaxie chérie. Une civilisation encore plus arriérée n’aurait pas de radioastronomie du tout. On peut dire que si la pénible expérience des conflits entre différentes cultures, sur notre planète, se retrouvait à l’échelle galactique, nous devrions déjà, semble-t-il, avoir été détruits (après avoir reçu peut-être, en passant un témoignage d’admiration pour Bach, Vermeer et Shakespeare. Mais comme cela ne s’est pas produit, il se peut que les intention de civilisations avancées soient bienveillantes… Ou bien qu’en dépit de tout ce que l’on raconte sur les OVNIS et les astronautes de l’Antiquité, la civilisation terrienne n’ait pas encore été découverte par nos frères et sœurs du Cosmos.

D’un côté, nous supposons que, même si les civilisations techniques ayant appris à vivre avec elles-mêmes malgré la puissance destructrice de leurs armes ne représentent qu’une petite fraction, il devrait y avoir à présent dans la Galaxie un nombre énorme de civilisations avancées.

D’un autre côté, nous maintenons qu’il n’a jamais existé aucune preuve crédible de la présence sur la Terre de visiteurs extraterrestres. Même se déplaçant à un centième ou à un millième de la vitesse de la lumière, des êtres extraterrestres appartenant à des civilisations proches auraient pu nous rendre visite depuis le temps que l’humanité existe sur la Terre. Alors, pourquoi ne sont-ils pas venus ?

Plusieurs réponses sont possibles à cette question. Peut-être, sommes-nous les premiers; il faut bien qu’une civilisation soit la première à émerger dans l’histoire de notre Galaxie.

Peut-être, avons-nous tort de croire qu’au moins quelques civilisations ont su éviter l’autodestruction. Peut-être enfin un problème imprévu fait-il obstacle aux vols interstellaires. Il est possible qu’un problème imprévu fait-il obstacle aux vols interstellaires et il nous est impossible de voir lequel, à des vitesses moindres que celle de la lumière).

Peut-être, avons-nous tort de croire qu’au moins quelques civilisations ont su éviter l’autodestruction. Peut-être enfin un problème imprévu fait-il obstacle aux vols interstellaires. Il est possible qu’un problème imprévu fait-il obstacle aux vols interstellaires et il nous est impossible de voir lequel, à des vitesses moindres que celle de la lumière).

Ou bien de tels êtres sont réellement déjà venus, mais ils se tiennent cachés, obéissant à quelque Lex Galactica, à une éthique interdisant de s’ingérer dans les affaires d’une civilisation naissante. Oui, c’est exact, on peut imaginer que, curieux mais sans passion, ils nous observent, tout comme nous-mêmes surveillons une culture microbienne dans un milieu de gélose -, en se demandant si cette année encore nous saurons échapper à l’autodestruction.

De notre lignée, des esprits vont surgir qui nous regarderont, dans notre petitesse, afin de nous connaître mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. (H. G. Wells, The Discovery of the Future, Nature, 65, p. 326, 1902). Image : © Megan Jorgensen.
De notre lignée, des esprits vont surgir qui nous regarderont, dans notre petitesse, afin de nous connaître mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. (H. G. Wells, The Discovery of the Future, Nature, 65, p. 326, 1902). Image : © Megan Jorgensen.

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