Vous ne le saviez pas !

À la recherche des connaissances perdues

À la recherche des connaissances perdues

À la recherche des connaissances perdues

Article paru dans le journal La Presse le 7 octobre 1968

Sciences et techniques actuelles appartenaient-elles déjà aux civilisations qui nous procédèrent? C’est la question que l’on peut se poser en découvrant, grâce à l’archéologie, de stupéfiants vestiges de connaissances perdues et qui appartiennent, ce pendant, à un prodigieux passé.

C’est au Pérou qu’ont été trouvés des ornements coulés dans le platine; or, la fonte du platine nécessite une température de l’ordre de 1,7300, résultat que l’on ne peut obtenir qu’en utilisant des techniques comparables aux nôtres!… En Chine, le tombeau de Tsao Tchou (265-316) devait révéler la présence d’objets dont la composition est la suivante: 10 p. 100 de cuivre, 4 p. 100 de magnésium, 85 p. 100 d’aluminium, ce dernier métal ne pouvant être obtenu que par électrolyse. Est-il donc admissible que les Chinois, 1,600 ans auparavant, faisaient appel a un tel procédé? D’après une thèse que confirment aujourd’hui de nombreuses découvertes non moins stupéfiantes, nous devons raisonnablement penser que nos ancêtres d’avant le dernier déluge universel, étaient parvenu a un degré de connaissance analogue au nôtre. Le savoir ne fut légué qu’à quelques initiés, prêtres et personnages légendaires assimilés à des demi-dieux, seule explication valable des lueurs entrevues aujourd’hui concernant les sciences que possédaient, avant notre ère, les peuples précolombiens, les Egyptiens, les Sumériens, les Chinois et les Indiens.

Les « machines volantes »…

… Légendes celtes et sanscrites font allusion aux machines volantes et les descriptions qui nous sont parvenues de ces fabuleux engins sont de nature a nous intriguer grandement.

Ainsi, le Ramayana, notamment, nous indique: « Rama s’est assis dans un char volant et s’est préparé au voyage « . Ce « char », se déplaçant de façon autonome, s’.levait dans le ciel avec un bruit de tonnerre, comparable a celui de nos machines quand elles franchissent le mur du son. laissant derrière lui une traînée de feu… Certains textes indiens précisent que ces chars volants étaient propulsés par la désintégration du mercure ». Le Samarangana-Soûtra fournit une description dont voici la traduction : « À l’intérieur de l’appareil se trouve un dispositif où l’on chauffe du mercure dans un chaudron de fer. Le chauffage est obtenu grâce à un feu spécial dirigé. Les quatre récipients à mercure permettent a celui-ci de produire un tourbillon de forces, Le chariot monte alors au ciel avec un bruit de tonnerre et ceux qui suivent sa course ont l’impression d’observer une perle géante ».

Les légendes celtes parlent d’animaux volants couverts d’une carapace de fer. qui ne avaient ni os ni squelette et ne réclamaient pas de nourriture ».

Au monastère de Pee en Yougoslavie, il existe des fresque représentant des appareils volants offrant d’étranges analogies avec nos modernes fusées et qui semblent propulsées par un moteur à explosion !

« Ces appareils volaient plus haut que le vent », lit-on en diverses légendes celtes, et les textes indiens révèlent « les habitants de la terre pouvaient s’élever dans les airs alors que les habitants des corps célestes s’en servaient pour descendre sur la terre ».

…Les relations entre les visiteurs extra-terrestres et notre planète trouvent, en ce dernier paragraphe, une singulière justification !

…Et la bombe atomique ?

Toujours dans les textes indiens – vieux de 3.000 ans – on découvre la description d’une « arme effrayante » qui évoque irrésistiblement la bombe atomique: « C’était, dit l’auteur de cette observation datant de trois millénaires, un obus étincelant qui brillait sans émettre de fumée. I! fut lancé sur l’ennemi et un épais brouillard enveloppa tout. Des tourbillons empoisonnés se déchaînèrent.

Des nuages s’élancèrent à l’assaut du ciel avec un bruit épouvantable. Le soleil parut vaciller. Le monde entier fut brûlé par la chaleur de l’explosion comme par une effroyable fièvre. Des milliers de chars, des dizaines de milliers d’hommes et d’éléphants furent réduits en cendres »…

Plus tard, l’un des guerriers donne l’ordre à ses hommes de détruire l’une de ces armes qui n’avait pas été utilisée : « Extérieurement, elle ressemblait à une flèche métallique énorme qui évoquait un gigantesque message de mort. Le héros ordonna à ses hommes de le réduire en fine poussière”.

Précaution prise à la suite de cette destruction du dangereux engin : le « héros » enjoint à ses hommes d’aller se baigner dans la mer’’…

Des extra-terrestres d’une incomparable beauté…

D’innombrables légendes font allusion a ces visiteurs ou visiteuses du ciel, venus d’étoiles lointaines, lesquels, descendus sur la terre, ont été vus et décrits par de fervents admirateurs. Mais au temps de ces légendes, les extra-terrestres on parle d’une fine beauté surhumaine — et n’avaient rien de commun avec les hydrocéphales hideux que nos contemporains ont également vus et décrits… Voici, par exemple, une légende algonquine recueillie par un missionnaire du temps passe – l’abbé Domenech – et qu’il consigna dans son ouvrage « Voyage Pittoresque dans les déserts du Nouveau Monde » (1889) : « En jeune chasseur trouva un jour dans une prairie un sentier circulaire, sans aucune trace de pas aux environs.

Ce sentier uni et bien battu (une piste d’atterrissage?) semblait avoir été récemment fréquenté par plusieurs visiteurs. Surpris de ce qu’il voyait, le chasseur se cacha dans l’herbe et attendit”… Son attente n’est pas déçue; levant la tète, il aperçoit une tache blanche qui ressemblait à un léger flocon de vapeur. Le nuage se rapproche… Une musique délicieuse se fait entendre et, soudain, il voit atterrir doucement une grande nacelle en laquelle le jeune Indien émerveillé constate la présence de douze jeunes filles d’une saisissante beauté… I.es jeunes filles descendent de la nacelle et se mettent à danser sur la piste ronde.

Trois jours de suite, le jeune Indien assiste a ces gracieux ébats. L’une des douze jeunes filles lui inspire un tendre amour et il voudrait se saisir d’elle et l’entraîner dans sa tribu… Auprès de la piste ronde, le garçon a découvert un vieil arbre dont le tronc est creux et où les souris logent en grand nombre. Il n’emporté avec lui son « sac à médecine » et en tire « un charme puissant” qui lui permet de se transformer en souris . l.es jeunes filles arrivent et se mettent a danser comme elles l’ont fait les autres fois, mais celle que !e jeune Indien convoite s’inquiète soudain de la présence de l’arbre ou il se tient caché.

Elle le désigne a ses sœurs avec inquiétude, mais celles-ci ne font qu’en rire.. Cependant, elles s’approchent du vieux tronc vermoulu et d’un grand élan parviennent a la renverser.

Toutes les souris seraient tuées et seul, l’Indien qui a repris sa forme naturelle, est vivant… Alors, il se jette sur la fille du ciel qu’il a distinguée entre toutes et l’emporte.

À quelques temps de là, le jeune Indien est parvenu a se faire aimer. Il a épousé la ravissante extra-terrestre et il a d’elle un fils . Mais la fille céleste ne parvient pas a oublier son royaume de l’espace et elle profite, certain jour, de l’absence de son mari pour fabriquer une petite nacelle où elle prend place avec son enfant, des fleurs et des oiseaux, présents qu’elle désire offrir à sa mère l’Étoile.

La mère Étoile est charmée de revoir sa fille, mais elle lui dit « ton fils veut revoir son père ; descends donc sur la terre ci ramène-nous ton mari, et dis-lui de nous apporter des échantillons de tous les animaux de la terre… » La fille de l’Étoile vint rechercher son mari et l’Indien monta au ciel avec sa femme. Il y eut là-haut un grand festin « Ceux des convives qui prirent les pattes ou les queues des oiseaux terrestres que l’Indien avait apportés furent transformes en animaux… Alors, l’Indien se saisit d’une plume blanche et se métamorphosa en faucon avec sa femme e’ son enfant…

Une machine volante en construction. Peinture d'un peintre inconnu.
Une machine volante en construction. Peinture d’un peintre inconnu.

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