Troubles anxieux et TCC (texte traduit par Megan Jorgensen vers la fin du XXe siècle)
Troubles anxieux et TCC : La répétition régulière des informations est essentielle pour mémoriser solidement, soulignant une caractéristique intime de l’apprentissage. Ce principe pourrait également offrir des éclairages sur les troubles mentaux courants comme les troubles anxieux ou les phobies.
Les phobies touchent de nombreuses personnes et sont liées à une tendance cérébrale excessive à l’association simultanée des stimuli. Cette connexion exagérée peut entraîner des réponses négatives automatiques renforçant l’anxiété chez les personnes atteintes de phobies.
Aaron Beck et Albert Ellis ont développé au XXe siècle la thérapie cognitive comportementale (TCC) contre les troubles anxieux. Le principe fondamental de la TCC est que vos pensées influencent directement vos ressentis et états émotionnels.
Dans le cas d’une phobie des chiens, des pensées négatives déclenchent automatiquement de l’anxiété en présence d’un chien. Pour réduire cette anxiété, la TCC vise à combattre ces pensées négatives appelées « pensées erronées » ou biais cognitifs.
La répétition régulière des informations est essentielle pour mémoriser solidement, soulignant une caractéristique intime de l’apprentissage. Ce principe pourrait également offrir des éclairages sur les troubles mentaux courants comme les troubles anxieux ou les phobies.
Les phobies touchent de nombreuses personnes et sont liées à une tendance cérébrale excessive à l’association simultanée des stimuli. Cette connexion exagérée peut entraîner des réponses négatives automatiques renforçant l’anxiété chez les personnes atteintes de phobies.
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Aaron Beck et Albert Ellis ont développé au XXe siècle la thérapie cognitive comportementale (TCC) contre les troubles anxieux. Le principe fondamental de la TCC est que vos pensées influencent directement vos ressentis et états émotionnels.
Dans le cas d’une phobie des chiens, des pensées négatives déclenchent automatiquement de l’anxiété en présence d’un chien. Pour réduire cette anxiété, la TCC vise à combattre ces pensées négatives appelées « pensées erronées » ou biais cognitifs.
La thérapie vous apprend à envisager des perspectives moins autodestructrices sur les chiens ou d’autres sujets. La TCC ne vous demande pas de bloquer les sentiments de peur, car ils sont profondément ancrés. Elle vous incite plutôt à adopter constamment des alternatives dans votre façon de percevoir les sujets aversifs. Faire de cette nouvelle habitude une routine est essentiel pour réduire les impacts des pensées erronées.
En défiant régulièrement ces pensées, elles finissent par disparaître, tout comme l’anxiété elle-même selon les recherches. Lorsque pratiquée par un thérapeute qualifié, la TCC devient une arme puissante contre les troubles anxieux. Les recherches montrent son efficacité parmi les thérapies existantes pour l’anxiété et d’autres troubles mentaux.
La TCC aide aussi pour la dépression, les troubles bipolaires et même certains types de schizophrénie. Les comportements humains complexes sont influencés par l’interaction entre la génétique et l’environnement, bien que leurs contributions précises restent floues.
(Tiré de Your Best Brain, Course Guidebook, par le professeur John J. Medina.)
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