Le chemin vers la guérison passe par la douleur. Nous devons ressentir la douleur de la perte – nous ne pouvons pas l’éviter, la contourner, la surmonter ou l’esquiver. Les tranquillisants ou l’alcool n’éliminent pas la douleur ; ils ne font que la masquer ou offrir une échappatoire temporaire. Tout ce qui nous pousse à éviter ou à réprimer la douleur ne fait que retarder l’acceptation de notre perte.