Étrange cas d’une boîte de sirop d’érable

L’étrange cas d’une boîte de sirop d’érable (Aventures de Sherlock Holmes au Québec)

C’était une froide matinée d’hiver à Québec. La neige recouvrait les rues et les toits des maisons, créant un paysage féerique. Sherlock Holmes et le Dr. Watson avaient été invités par un vieil ami, l’inspecteur Jean-Pierre Tremblay, à passer quelques jours dans cette belle province canadienne. Ils ne s’attendaient pas à ce que leur séjour prenne une tournure aussi mystérieuse.

Tout commença lorsqu’une boîte de sirop d’érable fut livrée à leur hôtel. La boîte, bien que simple en apparence, portait une inscription étrange : « Pour ceux qui cherchent, la vérité est douce. » Intrigué, Holmes examina la boîte sous tous les angles, cherchant des indices.

« Watson, il y a quelque chose de particulier dans cette boîte, » dit Holmes en scrutant attentivement l’inscription. « Je pense que nous avons affaire à un message codé. »

Watson, toujours prêt à suivre son ami dans ses enquêtes, acquiesça. « Que suggérez-vous, Holmes ? »

« Nous devons trouver l’origine de cette boîte. Il est probable qu’elle provienne d’une érablière locale. Allons voir l’inspecteur Tremblay, il pourra peut-être nous aider. »

*

L’inspecteur Tremblay les accueillit chaleureusement à son bureau. « Ah, mes amis anglais ! Que puis-je faire pour vous aujourd’hui ? »

Holmes lui montra la boîte et expliqua la situation. Tremblay fronça les sourcils. « C’est étrange, en effet. Il y a plusieurs érablières autour de la ville. Nous devrions commencer par celle de la famille Bouchard. En fait, on les connaît grâce à leur sirop d’érable de qualité. »

Arrivés à l’érablière Bouchard, ils furent accueillis par Marie Bouchard, la propriétaire. Elle les conduisit à l’atelier où le sirop était produit. Holmes examina les lieux avec minutie, cherchant des indices.

« Madame Bouchard, avez-vous récemment envoyé une boîte de sirop d’érable à l’hôtel Ritz-Carlton ? » demanda Holmes.

Marie sembla perplexe. « Non, monsieur Holmes. Nous n’envoyons jamais de sirop sans commande préalable. Cela dit, il y a eu des activités inhabituelles ces derniers temps. On a vu des étrangers rôdant autour de l’érablière. »

Holmes hocha la tête. « Merci, madame Bouchard. Nous allons enquêter davantage. »

*

De retour à leur hôtel, Holmes et Watson discutèrent des événements. « Il est clair que cette boîte est un message, » dit Holmes. « Mais de qui et pourquoi ? »

Le lendemain, ils reçurent une lettre anonyme glissée sous leur porte. Elle contenait une énigme : « Cherchez là où le sucre devient or, et vous trouverez la clé de ce mystère. »

Holmes sourit. « Watson, nous devons retourner à l’érablière. Je pense que nous avons manqué quelque chose d’important. »

À l’érablière, ils fouillèrent chaque recoin jusqu’à ce qu’ils découvrent une trappe dissimulée sous un tas de bois. En dessous, un passage secret menait à une petite pièce remplie de documents et de cartes.

« Regardez, Watson ! Ces documents révèlent un complot pour voler la recette secrète du sirop d’érable de la famille Bouchard, » s’exclama Holmes. « Et cette carte indique l’emplacement d’une cachette où les voleurs prévoient de se rencontrer. »

Avec l’aide de l’inspecteur Tremblay, Holmes et Watson tendirent une embuscade aux voleurs. Ils furent arrêtés et la recette secrète fut sauvée.

« Encore une fois, Holmes, vous avez résolu un mystère complexe, » dit Watson en souriant.

Holmes hocha la tête modestement. « C’était un cas fascinant, Watson. Et maintenant, je pense que nous méritons tous une bonne tasse de thé avec un peu de ce délicieux sirop d’érable. »

(Une histoire du recueil « Sherlock Holmes au Québec ». Auteur : Copilot).

Voir aussi :

La ferme du sirop d’érable de Marie Bouchard. Illustration de Copilot.

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