Ligne du temps : 1650-1699

.Ligne du temps : Le Québec (La Nouvelle-France) au XVIIe siècle (première moitié du siècle)

La Nouvelle-France entre 1650-1700.

Voir aussi : Ligne du temps – Première moitié du XVIIe siècle au Québec

26 juillet 1651 : Deux cents Iroquois attaquent l’Hôtel-Dieu de Jeanne Mance, à Montréal. L’attaque commence vers 6 heures du matin et dure jusqu’à 18 h 00. Plusieurs colons périssent. Denis Archambault meurt, lorsque la pièce de canon à laquelle il s’apprêtait à mettre le feu lui explose en plein visage.

1651 : Le père Jacques Buteux se rend aux chutes de Shawinigan et de la Grand-Mère et explore ses terres.

1652 : À Québec, une représentation du Cid, de Corneille, a lieu.

1653 : Les Iroquois déciment le peuple des Oueskarinis, de souche algonquin, qui vivait dans l’Outaouais. Cela arrive près du Petit lac Nominingue, situé au nord-ouest de la vallée de la rivière Rouge.

1 janvier 1653 : Le roi Charles I de l’Angleterre concède des armoiries à Terre-Neuve (Newfoundland) et proclame son statut de la colonie.

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La suite des événements : Nouvelle-France entre 1650-1700

22 septembre 1653 : Arrivée en Nouvelle-France de Marguerite Bourgeoys. Elle fonde une école de filles et en fait construire une autre pour les enfants des colons. Au fait, à son arrivée à Montréal, elle ne trouve pas d’enfants d’âge scolaire à cause de la forte mortalité infantile. Plus tard, on lui confiera les Filles du Roy. Marguerite Bourgeoys ouvrira pour elles la Maison Saint-Gabriel sur la pointe Saint-Charles.

22 septembre 1653 : Paul de Maisonneuve revient de France avec cent soldats engagés pour défendre Montréal contre les Iroquois.

Janvier 1654 : Inondation à Montréal, due à des températures chaudes. Le registre des sépultures de Ville-Marie indique qu’on avait dû enterrer un mort dans le jardin, le cimetière étant submergé.

1654 : Décès en France de Madame Hélène Boullé de Champlain, veuve de Samuel de Champlain.

1657 : Arrivée des Sulpiciens à Montréal, leur fief.

25 février 1657 : Naissance, à Ville Marie (Montréal) d’Agathe de Saint-Père-Le Gardeur de Repentigny, première femme d’affaires de la Nouvelle-France.

1658 : Nomination de Pierre Voyer d’Argenson au poste du gouverneur de la Nouvelle-France.

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Nouvelle-France entre 1650-1700

1658 : Marguerite Bourgeoys fonde la Congrégation de Notre-Dame.

1658 : Le roi nomme Paul Chomedey de Maisonneuve gouverneur de l’île de Montréal.

1659 : Pierre-Esprit Radisson et Médard Chouart Des Groseillers (son beau-frère) se rendent jusqu’au Wisconsin et sont les premiers blancs à entrer en contact avec les Sioux.

1er mai 1660 : Adam Dollard des Ormeaux et ses compagnons sauvent Montréal d’une attaque iroquoise. Cela au prix de leurs vies à Long-Sault. Les 17 Français font front à une armée d’Iroquois qui compte au moins 300 guerriers. Les défenseurs se barricadent dans une palissade abandonnée. Les Iroquois les assiègent pendant une semaine. Huit des Français, dont Dollard des Ormeaux, tombent en combat. Neuf des survivants tombent prisonniers. Les Iroquois les torturent à mort.

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Nouvelle-France entre 1650-1700

6 mai 1660 : Mgr de Laval prononce l’excommunication ipso facto contre quiconque donnerait des boissons enivrantes aux Indiens. Momentanément, cette mesure mit fin aux désordres. Mais, peu à peu, on recommença à traiter. En effet, cela même si l’autorité civile, représentée par le gouverneur de Voyer d’Argenson, punissait sévèrement les trafiquants.. On toujours interdisait la traite de l’eau-de-vie en Nouvelle-France. Mais, depuis l’arrivée de Mgr de Laval, l’Église et l’État avaient uni leurs efforts pour mettre fin à cette pratique commerciale.

fortifications Nouvelle-France entre 1650-1700
Fortifications en Nouvelle-France. Photo : © GrandQuebec.com (prise lors d’un voyage dans le temps).

La suite des événements en Nouvelle-France entre 1650-1700

Mai 1660 : Décès, à Ville-Marie (Montréal), de Louis d’Ailleboust de Coulonge et d’Argentenay, ancien gouverneur intérimaire de Ville-Marie (gouverneur en l’absence de Paul de Maisonneuve, entre 1645 et 1647).

1661 : Départ de Pierre Voyer d’Argenson au poste du gouverneur de la Nouvelle-France de 1658.

1661: Naissance à Ville-Marie (Montréal) de Pierre Le Moyne d’Iberville, le plus grand guerrier de la Nouvelle-France.

7 octobre 1661 : Exécuté à Québec Daniel Vuil pour avoir traité illégalement de l’eau-de-vie avec les Indiens. On l’emprisonne à Québec en février 1661 et ce « prisonnier hérétique relaps, blasphémateur et profanateur des Sacrements » déclencha une querelle « entre les puissances », c’est-à-dire, entre les autorités civiles et religieuses. Il semblerait que l’on libéra Vuil peu après le mois de février, mais il se peut il resta en prison jusqu’au jour de son exécution. Mais ce fut incontestablement « pour avoir traité de l’eau-de-vie aux sauvages » qu’il fut « arquebusé ». On servit ce châtiment exemplaire le 11 du même mois à un autre trafiquant nommé La Violette.

11 octobre 1661 : Exécution d’un trafiquant de l’eau-de-vie nommé La Violette (v. le 7 octobre 1661). L’État dut vraisemblablement recourir à ces mesures extrêmes par suite de l’impénitence de La Violette, puisque Pierre Aigron, dit Lamothe, excommunié nommément en avril 1661 pour le même crime, mais revenu à de meilleurs sentiments, ne semble par avoir eu de difficultés avec la justice civile.

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Nouvelle-France entre 1650-1700

Printemps 1663 : Un terrible tremblement de terre secoue le pays pendant un mois. Des montagnes tombent à l’eau et des cours de plusieurs rivières changent.

1663 : Louis XIV annule le contrat de la Compagnie des Cent Associés. La Compagnie a manqué à son compromis d’assurer le peuplement de la colonie et y faire déménager jusqu’à 500 personnes par année. Le roi prend donc directement contrôle de la Nouvelle-France, l’élève au statut de la province française et y établie un gouvernement royal, constitué d’un gouverneur, d’un intendant et du Conseil Souverain (qui remplace le Conseil de Québec, créé en 1647). Jean-Baptiste Colbert, est chargé de voir au bon fonctionnement de la colonie par l’entremise du Ministère de la Marine.

1663 : Arrivée des filles du roi. Ces orphelines sans aucun lot choisirent la Nouvelle-France pour y trouver mari. La majorité de ces femmes s’établit à Québec. D’un total d’environ 750-800 femmes, la moitié se mariera au cours de prochains mois.

27 janvier 1663 : La Milice de la Sainte-Famille est fondée par Paul de Maisonneuve, pour défendre Ville-Marie.

26 mars 1663 : François de Laval, futur premier évêque de Québec, fonde le Séminaire de Québec pour former des prêtres canadiens.

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Nouvelle-France entre 1650-1700

29 mai 1663 : Jacques Gourdeau le Sieur de Beaulieu, résidant de l’île d’Orléans, est cruellement assassiné par Nicolas Duval, un de ses serviteurs, qui, pour cacher les traces de son crime, incendie la maison de son maître. Le meurtrier, après avoir subi son procès, sera condamné à être fouetté et ensuite fusillé sur la potence.

Le Journal des Jésuites raconte ainsi cet horrible crime : « Le même jour (29 mai 1663) sur les 9 ou 10 heures du soir, fut brûlé en sa propose maison de l’isle d’Orléans le sieur de Beaulieu avec un sien valet, par accident du feu… Il se trouva que le feu qui avait pris à la maison du sieur de Beaulieu n’était pas par accident mais par méchanceté d’’un valet, après avoir tué son maître et un autre valet son camarade ; il fut convaincu et condamné à avoir le poing coupé, pendu et brûlé, et Monsieur le Gouverneur se contenta de la mort à la potence, après avoir été fouetté par le bourreau il fut fusillé le 8 de Juin 1663.

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17 octobre 1663 : Élection du premier maire de Québec Jean-Baptiste Legardeur de Repentigny.

Mai 1664 : Louis XIV crée la Compagnie des Indes occidentales qui doit veiller à la conversion des Amérindiens, assurer le commerce sur la côte ouest de l’Afrique, sur la côte est de l’Amérique du Sud, au Canada, en Acadie et à Terre-Neuve. Sa charte sera révoquée en 1675 parce que la compagnie ne réussira pas à accomplir ses promesses.

1665 : Jean Talon devient intendant de la Nouvelle-France. Sous sa gouverne la colonie connaîtra une période de grande croissance.

1665 : Louis XIV envoie le régiment Carignan-Salières en Nouvelle-France pour contrer l’incessante menace iroquoise qui met la colonie au bord de l’exile. Au total, le contingent est composé de 1300 soldats et officiers.

30 juin 1665 : Alexandre de Prouville, marquis de Tracy, débarque à Québec à la tête de son régiment,  En fait, les renforts de soldats sont attendus depuis que l’émissaire de la colonie, Pierre Boucher, a été reçu par Louis XVI en 1662.

fresque historique Nouvelle-France entre 1650-1700
Une fresque historique. Photo : © Grandquebec.com.

Et la suite de la ligne du temps – la N

1666 : La population de la Nouvelle-France atteint 3200 personnes, dont 2400 sont résidents de Québec. Ville-Marie (Montréal) compte moins de 600 habitants. À Trois-Rivières, vivent environ 100 personnes. Le reste est éparpillé sur tout le territoire de la colonie (coureurs des bois, missionnaires, chasseurs et quelques familles isolées).

28 août 1667 : La paix est signée entre la colonie et la Confédération des Cinq nations iroquoises (la paix définitive ne sera signée qu’en 1701).

1668 : Jean Talon démissionne et c’est Claude de Boutroue d’Aubigny qui prend la relève jusqu’en 1670.

1669 : Le Jésuite Claude Allouez est le premier Européen à atteindre le lac Michigan.

1669 : Louis XIV ordonne que tous les hommes valides de la Nouvelle-France âgés de 16 à 60 ans doivent dorénavant faire le service militaire obligatoire. Chaque paroisse aura sa compagnie de miliciens pour se défendre contre les attaques iroquoises.

1670 : Jean Talon est réaffecté comme intendant de la Nouvelle-France.

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2 mai 1670 : Sous la recommandation de Pierre-Esprit Radisson et Médard Chouart Des Groseillers, une charte royale britannique établit la Hudson’s Bay Company (Compagnie de la Baie d’Hudson).

1672 : Jean Talon quitte définitivement la colonie pour des raisons de mauvaise santé.

12 mars 1672 : La rue Notre-Dame, à Montréal est baptisée de ce nom, pour obtenir la protection de la Vierge Marie, patronne de la ville.

7 avril 1672 : Louis Buade de Frontenac est nommé gouverneur général de la Nouvelle-France. Il le restera jusqu’à son décès en 1698, avec une interruption entre 1682 et 1689.

1673 : Envoyés par l’intendant Jean Talon pour découvrir un passage vers la Mer du Sud, Louis Jolliet et Jacques Marquette explorent le bassin des rivières Mississippi et Missouri, ainsi que la région de l’Ohio (ils sont partis le 17 mai 1673 de Montréal et ils rentreront en Nouvelle-France vers la fin juillet de la même année).

1674 : Érection du diocèse de Québec. François de Montmorency de Laval devient son premier évêque.

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Août 1675 : Arrivée en Nouvelle-France de Jacques Duchesneau de la Doussinière et d’Ambault, nouvel intendant de la Colonie.

1676 : Décès de Paul de Maisonneuve à Paris. On inhume alors sa dépouille dans l’église Saint-Étienne-du-Mont.

1682 : René Robert Cavelier de La Salle atteint l’embouchure du Mississippi. Il baptise par la suite la région Louisiane en l’honneur du roi de France.

4 août 1682 : Le premier grand incendie de l’histoire du Québec. Le feu rase donc cinquante-trois maisons, toutes situées dans la basse-ville de Québec. Trente-neuf ans plus tard, cette fois à Montréal, les flammes détruiront aussi 126 maisons. En fait, pendant les célébrations de la Fête-Dieu, un arquebusier installé sur le toit de la chapelle de l’Hôtel-Dieu mit le feu à l’hôpital.

1685 : La Nouvelle-France compte 10 275 habitants (il n’y avait que 3200 âmes en 1665).

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1685 : La monnaie de carte fait sa première apparition en Nouvelle-France en raison du manque de l’argent. On utilisera donc la monnaie de carte jusqu’en 1686. Ensuite, elle sera remise en circulation entre 1689 et 1714.

1686 : Établissement des « petites écoles » en face du Séminaire de Québec.

1687 : Une épidémie de typhus tue environ 150 personnes en Nouvelle-France.

1688 : Ordonnance de l’intendant de la Nouvelle-France concernant les grandes propriétés, la construction, la largeur des rues, et les réserves militaires de la colonie.

1689 – 1697 : La France et l’Angleterre en guerre depuis 1689 (la guerre de la Ligue d’Augsbourg, l’empereur, les princes allemands, Espagne et Suède, alliés aux Provinces-Unies, à l’Angleterre et à la Savoie), de nombreuses attaques des Iroquois envers les Français de la Nouvelle-France font de nombreux massacres un peu partout.

1689 : Construction à Québec d’un corps de garde près de la place du Marché.

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5 août 1689 : Massacre de Lachine : 1500 guerriers iroquois, sous les ordres des Anglais, débarquent à Lachine, sur l’île de Montréal. Ils brûlent la plupart des 77 maisons du village. Ils tuent des dizaines de personnes. (Le nombre varie de 24 jusqu’à 200). En fait, ils en capturent environ 100 autres. Dont la moitié seront torturés et brûlés en Iroquoisie.

Janvier 1690 : Pour venger la massacre de Lachine, qu’on attribue aux instigations des Anglais, le gouverneur Frontenac met sur pied trois expéditions punitives. Notamment à Montréal, Trois-Rivières et Québec. Cela dans le but de fondre par trois endroits à la fois sur les ennemis.

28 janvier 1690 : Part la seconde expédition punitive contre les Anglais, celle de Trois-Rivières. Le groupe se compose de 25 Canadiens et d’autant des Amérindiens. François Hertel en a le commandement. Après une pénible marche de deux mois par les vallées des rivières Saint-François et Connecticut, l’expédition parvient au bourg de Salmon Falls.

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Nouvelle-France entre 1650-1700

27 mars 1690 : L’expédition de François Hertel (v. le 28 janvier) attaque  le village de Salmon-Falls. Une maison fortifiée défend ce village. Ainsi que deux forts de pieux. Les Français et les Amérindiens prennent les fortifications de vive force. Environ 30 Anglais périssent. Les Français font 54 prisonniers. Ils mettent le feu aux maisons et se retirent. Vers le soir, un groupe d’environ 150 Anglais de Portsmouth se présentent pour couper la retraite. Le combat eut lieu le long d’une petite rivière (la rivière Wooster).

Hertel chargea les Anglais lorsqu’ils s’engagèrent avec assurance sur un pont étroit qu’il fallait passer pour atteindre les Français. Dix-huit Anglais tombèrent morts ou blessés. En conséquence le reste tournèrent le dos. La Fresnière, le fils aîné de Hertel, reçoit une blessure et Joseph Crevier, sont neveu, resta parmi les morts.

La suite

16 octobre 1690 : Début du siège de Québec par les Anglais, sous les ordres de l’amiral Phipps. Phipps dépêche un envoyé auprès de Louis de Frontenac, gouverneur de la Nouvelle-France et  commandant des troupes françaises. Phipps exige qu’il se rende sur l’heure. Frontenac rétorque avec cette phrase célèbre. Je n’ai point de réponse à faire a votre général que par la bouche de mes canons et à coups de fusil. Les Anglais tentent de bombarder la ville et débarquer. Cependant on les finalement bat. Par la suite ils négocient l’échange de prisonniers et lèvent l’ancre, le 24 octobre 1690.

1692 : Les Récollets s’installent à Montréal, rue Notre-Dame, à l’ouest de la rue Saint-Pierre.

Aussi en 1692 : Les Jésuites reviennent à Montréal et s’installent rue Notre-Dame, à l’est de la rue Saint-Gabriel.

1692 : Deuxième recensement en Nouvelle-France. La population de la colonie est de 9431 habitants

1692 : Âgée de 14 ans, Madeleine de Verchères soutient courageusement avec deux vieux soldats et quelques censitaires une attaque iroquoise sur le fort de Verchères.

1663 – 1696

Nouvelle-France entre 1650-1700

1693 : Construction à Montréal d’un fort sur le coteau du moulin, à l’est de la rue Bonsecours.

1694 : Les Frères hospitaliers de la Croixet de Saint-Joseph (Frères Charon) sous la direction de François Charon de La Barre construisent l’Hôpital général à la pointe à Callières. L’Hôpital général reçoit des lettres patentes qui formalisent son établissement.

1695 : Reconstruction de l’Hôtel-Dieu de Québec.

1695 : Construction du second corps de garde sur la place du Marché de Québec. On aménage en magasins du roi et en boulangerie l’ancien corps de garde.

1696 : Le marché français pour la fourrure de castor étant saturé, on interdit la traite dans les pays d’en haut.

1697 – 1699

20 juillet 1697 : Fin de la guerre de la ligue d’Augsbourg par le traité de Ryswick entre la France d’une part et l’Angleterre, les Pays-Bas et l’Espagne d’autre part. La France reconnaît Guillaume III comme roi d’Angleterre. Le roi restitue toutes les conquêtes territoriales de la France et de l’Angleterre.  Notamment les postes de traite de la Compagnie de la Baie d’Hudson que Pierre le Moyne d’Iberville avait saisis entre 1686 et 1697. La Nouvelle-France travaille désormais à négocier la paix avec les Iroquois.

28 novembre 1698 : Décès, à Québec, de Louis Buade de Frontenac.

20 avril 1699 : Louis XIV nomme le Louis-Hector de Calière gouverneur de la Nouvelle-France.

1699 : Prolongement de la palissade de Montréal vers l’est afin d’inclure, entre autres, le couvent des jésuites dans l’espace protégé par l’enceinte.

1699 : Une épidémie de variole tue plus de 100 personnes en Nouvelle-France.

Nouvelle-France entre 1650-1700.

1 réflexion au sujet de « Ligne du temps : 1650-1699 »

  1. 1692 : Deuxième recensement en Nouvelle-France. La population de la colonie est de 9431 habitants.

    1685 : La Nouvelle-France compte 10 275 habitants (il n’y avait que 3200 âmes en 1665).

    Il y a icitte une erreur quelque part…

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