8 – 14 janvier 2016

C’est arrivé au Québec entre le 8 janvier et le 14 janvier 2016

Voir aussi : les événements qui ont eu lieu du 1er janvier jusqu’au 7 janvier 2016

8 janvier 2016 : Un proche ami de Patrick Breton, décédé tragiquement après avoir été écrasé sous une lourde machine de jeu dans un bar de Charlesbourg, a été arrêté. Libéré sous promesse de comparaitre, le jeune de 20 ans pourrait être accusé de négligence criminelle causant la mort. Le drame prend une autre tournure pour la bande d’amis qui s’était réunie pour faire la fête à La P’tite Grenouille de Charlesbourg, dans la nuit de mercredi à jeudi. Selon les informations obtenues par «Le Journal», le jeune qui se serait agrippé sur le jeu de quelque 400 livres lorsque ce dernier aurait basculé sur la victime de 19 ans a été formellement arrêté. La police demande l’aide de témoins présents au bar la P’tite Grenouille de Charlesbourg tôt jeudi matin afin de comprendre ce qui a coûté la vie à Patrick Breton. Grièvement blessé à la tête, Patrick Breton n’aurait eu aucune chance. La tragédie a causé une onde de choc chez ses copains, qui affirmaient perdre un «frère». C’est que la victime faisait partie d’une bande soudée et forte, qui se tenait depuis le secondaire.

8 janvier 2016 : Quelques jours après l’incendie ayant forcé trois personnes à sauter du quatrième étage d’un immeuble en flammes, à Québec, TVA Nouvelles a mis la main sur l’enregistrement du service des incendies. Une bande audio qui nous permet d’entendre clairement les pompiers signaler un problème avec leur échelle. « Je suis bloqué. Elle veut plus tourner », entend-on. Plus tard, lors de l’intervention, signe que le problème n’est toujours pas résolu, on entend quelqu’un demander: « Est-ce que le mécano est appelé? ». La famille touchée songe d’ailleurs à entamer une poursuite judiciaire contre la Ville. « Ils n’ont pas des feux chaque heure… Qu’ils les entretiennent, leurs camions », affirme le frère de Nathalie Chicoine, blessée lors de l’incendie. « On s’attend à ce qu’une échelle se déploie et ce n’est pas la faute des victimes si elle ne se déploie pas. Il y a nécessairement une faute, il y a des dommages et la Ville devra répondre de sa faute », confie pour sa part Me Guy Bertrand. L’enfant qui a été forcé de sauter de l’immeuble à logements en flammes se porte bien alors que l’homme et la femme ont subi plusieurs fractures et sont toujours hospitalisés. Par ailleurs, l’enquête se poursuit au sujet de cette affaire. On procède notamment à l’inspection du camion dont l’échelle n’a pu être déployée.

9 janvier 2016 : Une explosion survenue en soirée samedi a déclenché un incendie qui a ravagé une résidence en rénovation de la municipalité de L’Épiphanie, dans Lanaudière. Vers 20 h 40, trois citoyens ont appelé simultanément au 9-1-1 pour dire qu’ils avaient entendu une déflagration sur la rue Tremblay. À leur arrivée, les pompiers ont trouvé la résidence complètement embrasée, a indiqué le directeur adjoint du service de sécurité incendie de Repentigny, Marc Rocheleau. Plus d’une vingtaine de pompiers ont été mobilisés, notamment de Repentigny, mais aussi de Terrebonne et de la MRC de Montcalm. Malgré leurs efforts, la maison est une perte totale. Comme la maison était en rénovation, personne ne se trouvait sur les lieux au moment de l’embrasement. En début de nuit, les pompiers commençaient à analyser les décombres afin d’identifier ce qui a pu causer l’explosion. Selon M. Rocheleau, il est encore trop tôt pour dire s’il peut s’agir d’un événement criminel.

9 janvier 2016 : Malgré le temps chaud, une douzaine de personnes taquinaient le poisson samedi après-midi sur une section glacée du fleuve Saint-Laurent, à la limite des villes de Saint-Lambert et Brossard. Une mince couche d’eau recouvrait la glace et une pluie tombait sur le petit bras du fleuve au bout du boulevard Simard, entre la rive et l’île de la Couvée située dans la Voie maritime. Le mercure atteignait 4 °C. À quelques centaines de mètres de chaque côté de la zone gelée, le fleuve n’est pas recouvert par la glace. Ce dimanche, on attend une température de 4 °C et plusieurs millimètres de pluie. Chaque année, au Québec, on dénombre une dizaine de noyades en saison hivernale, des motoneigistes, des fondeurs, des randonneurs, mais aussi des pêcheurs. Pour être en sécurité l’hiver sur un cours d’eau, il faut environ 10 cm (4 po) de glace pour une personne, 12 cm (5 po) pour une motoneige et une vingtaine de centimètres (8 po) pour une voiture.

Toronto en janvier
Vue panoramique sur Toronto, un jour du mois de janvier. Photo – GrandQuebec.com.

10 janvier 2016 : Un homme a perdu la vie dimanche matin à Gatineau après avoir été happé par un automobiliste qui a pris la fuite avant d’être arrêté par la suite. Quelques minutes après 9 h, l’automobiliste a percuté le piéton sur le boulevard de Lucerne, près de l’intersection avec la rue Pine. Le conducteur n’est pas resté sur place après l’impact. La victime, dont on ignore l’âge, a été transportée à un centre hospitalier de Hull, où son décès a été constaté. Grâce à des informations fournies par des témoins, les policiers ont retrouvé le conducteur, un homme de 29 ans, peu de temps après. Ils ont alors procédé à son arrestation, a expliqué le sergent Pascal Pagé, de la police de Gatineau. Le résident de Cantley sera rencontré par les enquêteurs dans la journée afin de comprendre les circonstances de l’accident et déterminer quelles accusations pourront être déposées contre lui. Plusieurs témoins doivent aussi être interrogés par les policiers. Rien ne porte à croire que l’alcool ou la drogue ont joué un rôle dans l’événement, a indiqué le sergent Pagé. Le boulevard de Lucerne a été fermé en avant-midi entre l’avenue Frank-Robinson et la rue des Grands-Châteaux afin de laisser le champ libre au technicien en reconstitution de scène d’accident qui a analysé la scène. Il s’agit de la première collision mortelle de 2016 sur le territoire de Gatineau.

10 janvier 2016 : Un homme âgé a été gravement blessé lorsqu’il a chuté du toit de sa résidence qu’il déneigeait dimanche matin à Saint-Joseph-de-Coleraine, une municipalité située à une quinzaine de kilomètres de Thetford Mines. L’accident est survenu vers 10 h 45 sur la rue Cadorette. Selon les dernières informations, on craindrait pour la vie du septuagénaire, a mentionné la porte-parole de la Sûreté du Québec, Audrey-Anne Bilodeau. Selon les informations recueillies sur place par les policiers, il semble que l’homme déneigeait son toit lorsqu’il est tombé. La Régie du bâtiment du Québec recommande de déneiger la toiture de sa résidence à partir du sol, avec une pelle télescopique. L’organisme souligne qu’il s’agit d’«une opération risquée autant pour les personnes qui sont sur le toit que pour celles qui circulent aux alentours». Il faut aussi faire preuve de prudence en raison de la proximité d’installations électriques. La Régie conseille de faire affaire avec une entreprise spécialisée dans ce type d’opération afin de réduire les risques.

11 janvier 2016 : Une ancienne employée du restaurant Le Barillet de l’arrondissement de Jonquière, à Saguenay, risque trois ans de pénitencier pour avoir subtilisé près de 150 000 $ à son employeur de l’époque. Le propriétaire de l’établissement a le sentiment d’avoir été trahi. Il a dû assumer personnellement les pertes de son entreprise qui célébrera son 50e anniversaire dans quelques mois. Il a craint de devoir fermer les portes de son établissement. «Quand on a su la vérité, ç’a été comme une bombe auprès du personnel» raconte Michel Tremblay. La femme de 36 ans travaillait au Barillet depuis 15 ans, dont 13 à titre d’adjointe administrative lorsqu’elle a commis la fraude. «Ça avait rapport avec les machines à poker, explique l’avocat de la défense, Me Jean-Marc Fradette. Il y a des relevés dans ces appareils-là et par les relevés, on peut mettre moins d’argent dans les machines, mais faire figurer qu’il y en a plus dans la machine.» La poursuite réclame de 30 à 36 mois de pénitencier; la défense, de 10 à 16 mois de prison. Me Fradette aurait voulu que la peine soit purgée dans la collectivité pour sa cliente, mais de récentes modifications au Code criminel ne le permettent plus dans des cas de fraude de plus de cinq mille dollars.

11 janvier 2016 : Le revêtement des murs de deux édifices de l’arrondissement de Ville-Marie, à Montréal, s’est effondré dans la nuit de dimanche à lundi, mais heureusement personne n’a été blessé. Selon la police, c’est le résultat des forts vents qui ont soufflé durant la nuit, mais il pourrait aussi s’agir du dégel de dimanche suivi d’un refroidissement rapide. Vers 23 h 30, une partie en hauteur d’une façade en brique d’un triplex situé à l’angle des rues Dorion et Ontario s’est écroulée. Selon André Leclerc, porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), personne n’a été blessé, mais une voiture stationnée a été endommagée. Le périmètre a été sécurisé et «le reste du mur du bâtiment ne risque pas de s’effondrer», a spécifié M. Leclerc. Puis, vers 1 h 40, la police a dû intervenir sur la rue Saint-Mathieu, près de la rue Sherbrooke, pour une situation similaire. Cette fois, il s’agit d’un mur d’un haut immeuble à logements qui s’est partiellement effondré. Une forte quantité de briques est tombée sur environ six étages de cet immeuble qui en compte une quinzaine. Au plus fort des pannes, vers 3 h, près de 57 000 clients d’Hydro-Québec étaient privés d’électricité en raison de pannes provoquées par les forts vents. Ce nombre a diminué pour s’établir à 51 500 vers 7 h, puis à 26 500 à 10h. À 13 h, 10 730 foyers n’avaient pas encore retrouvé le courant. La région du Bas-Saint-Laurent, de la Montérégie et des Laurentides ont été les plus touchées. Hydro-Québec a indiqué sur son site internet que 120 équipes ont travaillé toute la nuit et allaient poursuivre leurs efforts durant la journée; 125 nouvelles équipes leur ont prêté main-forte à partir de 6 h.

12 janvier 2016 : Une infirmière s’étant empressée de flamber en restos, voyage et vêtements 86 000 $ déposés par erreur dans son compte bancaire s’en est sortie sans casier judiciaire, même si elle a été déclarée coupable de vol. «Je suis incapable de dire que la suggestion des avocats est complètement déraisonnable, je vais donc l’accepter», a commenté la juge Hélène Morin mardi dans le dossier de Calinie Nivyabandi, après avoir longuement réfléchi pour savoir si oui ou non l’accusée méritait une telle clémence. Mais pour bénéficier de cette absolution qui lui évite d’avoir un antécédent criminel, l’infirmière de 43 ans devra toutefois montrer patte blanche pendant toute une année, pendant laquelle elle devra effectuer 180 heures de travaux communautaires. Nivyabandi devra aussi continuer les remboursements de 37 000 $ des 86 000 $ qu’elle a subtilisés à sa Caisse populaire du secteur Cartierville, à Montréal. L’affaire a commencé en juillet 2011, quand Nivyabandi s’était présentée au comptoir de l’institution financière. La femme a demandé des billets de 100 $ US, mais la préposée avait plutôt fait une «erreur d’inattention» et avait déposé 150 000 $ dans le compte. Or, au lieu de signaler l’erreur, Nivyabandi a multiplié les retraits, variant de 2500 $ à 25 000 $, jusqu’à ce que la Caisse populaire se rende compte de l’erreur et bloque son compte. La femme de 43 ans a elle-même admis à un enquêteur de l’institution s’être «gâtée beaucoup» à la suite de la bourde de la Caisse populaire, notamment en voyageant à Niagara Falls, en se payant des sorties restos et en s’achetant des vêtements. Lors du procès, elle a toutefois clamé qu’elle croyait avoir reçu l’argent en héritage d’un oncle inconnu, ce que le juge du procès avait qualifié de «foutaise». La peine imposée mardi était une suggestion commune de Me William Roy de la défense et de Me Lucie Martineau de la Couronne. Lors des représentations sur la peine, les parties avaient proposé l’absolution, pour que l’infirmière puisse continuer à travailler dans le milieu de la santé.

13 janvier 2016 : Quatre Canadiennes ont été arrêtées à Albany, dans l’État de New York, aux États-Unis, en lien avec une affaire de fraude visant des personnes âgées, souvent surnommé «arnaque des grands-parents». Elles font face à des accusations de vol qualifié et de possession de biens volés, a annoncé la police de l’État de New York. Les arnaqueurs tentaient de se faire passer pour le petit-fils ou la petite-fille des victimes en faisant croire qu’il ou elle avait été arrêté et en demandant de l’argent pour payer une caution afin de leur extorquer des fonds. Alors qu’un complice téléphonait ou envoyait un courriel aux personnes ciblées, un autre jouait le rôle d’un officier de police pour donner les informations afin d’acheminer l’argent. Les présumés criminels allaient jusqu’à conseiller les victimes de ne donner aucune information à d’autres personnes qui pourraient les contacter sur le sujet, alléguant qu’ils seraient des arnaqueurs. La police d’État, en collaboration avec d’autres institutions judiciaires américaines, a procédé à l’arrestation des femmes originaires de Laval, au Québec, lorsqu’ils se sont rendus à Albany pour cueillir de l’argent volé dans une succursale d’UPS, les 6 et 7 janvier dernier. Christina Antonkakis (29 ans) et Sophia Mikelakis (57 ans) font face à des accusations de possession de biens volés et de vol qualifié. Nora Apkarian (42 ans) et Anahid Apkarian (61 ans) ont, elles, échappé aux accusations de vol qualifié. L’enquête poursuit son cours dans cette affaire. En plus de la police d’État, le Bureau d’inspection des services postaux américains, le secrétaire à la Sécurité intérieur et la police de la Ville de Manands participent à cette enquête.

13 janvier 2016 : La Sûreté du Québec a arrêté quatre personnes, à Chambly, Greenfield Park et dans le secteur de Saint-Hubert, à Longueuil, pour une fraude estimée à près de 15 millions $ concernant des garderies privées subventionnées. Par le biais de prête-noms, les suspects mettaient la main sur des garderies en contournant les règles du ministère de la Famille dans le but de toucher des subventions auxquelles ils n’ont pas droit, a expliqué la SQ par communiqué. «La Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance (LSGÉE) stipule qu’un titulaire de permis de garderie peut bénéficier d’au plus 300 places subventionnées pour un total maximal de 5 permis de garderies dont les places sont subventionnées», a affirmé la SQ qui croit que les suspects contournaient ces règles grâce à des prête-noms. Une garderie de l’arrondissement de Beauport à Québec a aussi été visée par les policiers. Un porte-parole de la Sûreté du Québec a confirmé que la garderie La Forêt enchantée fait partie de cette opération. Des allégations de fraude dans cette garderie avaient d’ailleurs été évoquées en novembre dernier par le Journal de Québec. Les personnes arrêtées feront face à des accusations de fraude, de complot de fraude et de recyclage des produits de la criminalité. Elles devraient comparaître jeudi au palais de justice de Longueuil. Ayant débuté en 2014, l’enquête a été menée conjointement avec le ministère de la Famille.

14 janvier 2016 : C’est avec une simple serviette qu’un patient de l’aile psychiatrique de l’hôpital Notre-Dame en aurait tué deux autres, a-t-on appris jeudi matin à l’ouverture de son procès au palais de justice de Montréal. «Les deux victimes [sont décédées] de la même façon, [des suites d’un] étranglement compatible avec un linge large», a lancé Me Geneviève Dagenais de la poursuite, en déclaration d’ouverture au procès d’Idelson Guerrier. L’homme de 35 ans avait été admis à l’hôpital de son plein gré pour ce qui semblait être une psychose toxique, a continué la Couronne aux jurés. C’était le 13 juin 2012. Trois jours plus tard, Gaétan Sénécal, 69 ans, était trouvé mort dans sa chambre. Selon la Couronne, personne à l’hôpital ne s’est inquiété. Le personnel croyait à une mort naturelle. Mais le même jour, Guerrier était vu dans une chambre adjacente à la sienne, avec une serviette à la main. «Il s’est fait dire de quitter les lieux, et il a dit s’être trompé de chambre», a expliqué Me Dagenais. Quatre jours plus tard, Claude Courtemanche, 77 ans, était lui aussi trouvé sans vie dans sa chambre. Encore une fois, personne ne s’est inquiété, selon la poursuite. C’est le lendemain, quand Guerrier a été vu à nouveau dans une chambre, couché sur une femme avec ses mains autour de son cou, que le personnel hospitalier a compris. «C’est là que le lien a été fait», a expliqué Me Dagenais. En tout, Guerrier fait face à six accusations, soit deux de meurtres prémédités, ainsi que deux tentatives de meurtre et deux d’agressions armées. Juste après la déclaration d’ouverture de la Couronne, une policière a commencé son témoignage. Elle a expliqué être intervenue chez la mère de Guerrier à Montréal-Nord le 13 juin 2012, à la demande d’une femme et de l’accusé «Il a dit qu’il était un grand consommateur de marijuana, mais qu’il était en sevrage, a témoigné Nathalie Lefebvre. Il m’a dit qu’il se sentait suivi et épié». Guerrier était calme, et il a volontairement quitté les lieux en ambulance à la fin de l’intervention policière, qui s’est faite sans anicroche. Guerrier est représenté par Me François Bérichon et Me Luc Trempe. Le procès, présidé par la juge Hélène Di Salvo, devrait durer trois mois.

14 janvier 2016 : La police de Montréal a demandé la collaboration du public pour épingler un multirécidiviste en matière de fraude. Plusieurs personnes auraient pu avoir été fraudées par Nelson Plourde, 37 ans, après avoir été abordées près des stations de métro Frontenac et Joliette, sur la ligne verte du métro de Montréal. Selon la police, l’homme approcherait les passants en leur disant connaître une faille dans le système bancaire, avant de les convaincre qu’ils pourraient en profiter. Grâce à ce stratagème, le suspect gagne la confiance de ses victimes pour leur soutirer de l’argent. Nelson Plourde n’en est pas à ses premiers démêlés avec la justice. En 2010, il avait été arrêté après avoir fraudé près d’une quarantaine de victimes. Il a depuis été libéré. Le suspect mesure 1,75 m (5 pi et 9 po), pèse 77 kg (170 lb) et a les cheveux bruns rasés. Les autorités demandent à quiconque qui l’aperçoit de communiquer immédiatement au 911, ou à Info-Crime, au 514 393-1133.

plage à bahamas
Nassau, Bahamas, le 14 janvier 2016. Photo : Megan Jorgensen, une coéquipière de l’équipe GrandQuebec.com.

Les sources de nouvelles parues cette semaine :

  • fr.canoe.ca/infos
  • Radio-Canada
  • Journal de Montréal
  • Journal de Québec
  • Cyberpresse

Laisser un commentaire