C’est arrivé au Québec entre le 22 août et le 28 août 2016
Voir aussi : Les événements qui ont eu lieu entre le 15 août et le 21 août 2016
22 août 2016 : L’ex-maire de Montréal accusé de fraude Michael Applebaum se dit prêt à subir son procès, mais ça ne l’a pas empêché de demander à nouveau un arrêt des procédures ce lundi. «Je suis prêt à subir mon procès demain, j’étais prêt à y aller il y a des années», avait lancé le maire déchu il y a quelques mois, lorsqu’il s’était plaint des délais pour être entendu. Applebaum, 53 ans, avait finalement obtenu une date rapprochée. Plutôt qu’en 2017, le procès aura lieu en novembre. Tout semblait donc être réglé jusqu’à lundi, où l’accusé a invoqué un nouveau motif pour éviter d’être jugé. «C’est un problème de communication de preuve que l’on pense défaillante», a expliqué Me Pierre Teasdale de la défense, ce lundi au palais de justice. L’avocat a expliqué qu’il réclamait à la Couronne certaines notes concernant des communications avec un témoin considéré crucial. Or, ces notes n’existent pas, puisque les communications en question correspondraient à des appels de courtoisie. La poursuite a expliqué qu’il pouvait s’agir d’appel pour vérifier si le témoin avait bien reçu une assignation à la cour, par exemple. La défense, de son côté, a invoqué le droit à une défense pleine et entière pour justifier sa demande d’arrêt des procédures. Il n’est toutefois pas certain que l’avocat de Michael Applebaum puisse plaider sa cause ce lundi. Il pourrait par contre se pencher sur une demande parallèle, soit celle pour obtenir de la preuve supplémentaire en prévision du procès au mois de novembre. Rappelons que les accusations contre Applebaum remontent à une période entre 2006 et 2011, alors qu’il était maire de l’arrondissement Côte-des-Neiges. L’accusé a été arrêté en juin 2013 pour être accusé de fraude, de corruption et d’abus de confiance. Depuis sa mise en accusation, Applebaum travaille comme agent immobilier, bien que ses démêlés judiciaires ne l’aident pas dans son nouvel emploi. «C’est extrêmement difficile, j’étais maire, je suis connu de la majorité du monde, a-t-il témoigné dans le passer. Et là, c’est dur de gagner la confiance des clients. Je suis dans une situation où je suis toujours jugé. J’essaie de gagner ma vie, et c’est difficile.»
22 août 2016 : Un arbre est tombé sur le toit d’une voiture de la marque Acura stationnée sur la rue Hutchison, dans l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Les dégâts sont impressionnants : l’arrière du toit a été complètement écrasé et les vitres ont éclaté. Personne ne se trouvait à l’intérieur du véhicule lors de l’accident. Cette chute d’arbre empêchait lundi matin le passage des voitures sur la rue Hutchison, entre les rues Prince-Arthur et Milton.
22 août 2016 : Une femme de 24 ans circulant à bicyclette a été tuée cet après-midi par un camion dans Rosemont, à Montréal. L’accident est survenu vers 14 h, à l’intersection du boulevard Rosemont Est et de la rue D’Iberville, a indiqué le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). La cycliste et le camion se trouvaient immobilisés à un feu rouge sur la rue D’Iberville en direction nord. Au feu vert, la cycliste, qui ne portait pas de casque, a été happée par le poids lourd qui voulait tourner à droite sur le boulevard Rosemont. «Son décès a été constaté sur les lieux», a précisé Caroline Chèvrefils, porte-parole du SPVM. Le conducteur du camion, un homme de 45 ans, n’a pas été blessé. Peu avant l’heure de pointe, un quadrilatère a été complètement fermé pour permettre aux enquêteurs du SPVM de faire leur travail.
23 août 2016 : Confronté à une ordonnance d’interdiction préventive en matière d’arme à feu à la suite d’une rupture amoureuse, l’ancien membre des Forces canadiennes connu sous le surnom Wali estime que justice a été rendue puisque le juge a refusé de maintenir l’ordonnance. Le 10 juin dernier, les policiers de la Sûreté du Québec ont été appelés à intervenir, en début de soirée, dans une résidence pour désordre conjugal. À cet endroit, l’ancienne conjointe de Wali a mentionné que celui qui a, par le passé, combattu volontairement le groupe État islamique aux côtés de l’armée kurde avait «pris son pistolet, enlevé le chargeur» pour ensuite «mettre les balles dans le chargeur». Toutefois, du même souffle, elle avait spécifié que jamais il ne l’avait pointé sur elle et, sans porter plainte, elle a fait savoir qu’elle désirait que les trois armes à utilisation restreinte, propriété de Wali, lui soient «simplement enlevées». Après un premier passage à la cour où Wali avait témoigné, le juge René de la Sablonnière avait demandé à voir un certificat médical de l’ancien tireur d’élite, démontrant que sa santé mentale n’avait pas été affectée par ses missions à l’étranger, et il avait également demandé à ce que l’ancienne conjointe de Wali soit présente pour «établir la crédibilité des deux parties»
23 août 2016 : Richard Henry Bain vient d’être déclaré coupable du meurtre non prémédité du technicien Denis Blanchette, lors de la fusillade mortelle au Métropolis, le 4 septembre 2012. «Coupable», a lancé le président du jury, après 11 jours de délibérations. Ce verdict a automatiquement valu à l’accusé de 65 ans une condamnation à la prison à vie. Il reste toutefois à déterminer combien de temps il devra purger avant d’être admissible à une libération conditionnelle. La durée peut varier entre 10 ans et 25 ans. Le jury n’a pas retenu la thèse de la défense, voulant que l’accusé n’était pas criminellement responsable lorsqu’il s’était présenté au Métropolis afin «d’empêcher Pauline Marois de faire son discours» de victoire lors de cette soirée électorale provinciale. Armé d’un fusil semi-automatique, Bain avait tiré un coup, tuant le technicien et blessant son collègue Dave Courage. L’arme s’était ensuite enrayée et Bain a rapidement été arrêté. «Les Anglais sont réveillent (sic)», avait crié l’accusé, vêtu d’une robe de chambre et d’un bonnet de bain.
23 août 2016 : Une crèmerie de Laval a été la cible d’un incendie suspect, mardi matin, possiblement provoqué par un cocktail Molotov. Un peu après 00 h 30, les pompiers ont été appelés à se rendre à la Crèmerie St-François située sur le boulevard Lévesque Est, dans le quartier Saint-François. À leur arrivée, les flammes et la fumée étaient apparentes, a indiqué Jean-Sébastien Roch, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de la Ville de Laval. Les flammes se sont propagées à la toiture et les pompiers ont dû détruire certaines sections du toit pour maîtriser l’incendie. Celui-ci a été contrôlé environ une heure plus tard. La crèmerie est une perte totale. Le restaurant adjacent a été lourdement endommagé. Le dossier a été transféré au Service de police de Laval (SPL). «Les policiers ont constaté qu’il pourrait s’agir d’un cocktail Molotov», a indiqué M. Roch. Il a précisé qu’un trou dans la porte d’entrée de la crèmerie était visible et que le feu a pris dans la partie avant du commerce. Le lieutenant Benoît Martel de la police de Laval a indiqué que c’est l’enquête qui déterminera hors de tout doute s’il s’agit bel et bien d’un cocktail Molotov. Des enquêteurs devaient se rendre sur place au cours de la journée de mardi. Un périmètre de sécurité a été établi sur les lieux. Aucune arrestation n’a eu lieu en lien avec ce dossier. Personne n’a été blessé durant l’incendie.
23 août 2016 : Une personne a été grièvement blessée mardi matin sur la Côte-Nord lorsque plusieurs véhicules se sont percutés aux abords d’un chantier routier. La collision est survenue vers 6h30 sur la route 138, à Colombier, un peu au nord de Forestville. Selon la Sûreté du Québec (SQ), cinq véhicules qui circulaient dans la même direction sont entrés en collision lorsqu’ils devaient s’arrêter au feu de circulation à l’entrée du chantier. Il semble que le dernier automobiliste n’aurait pas vu que les voitures devant lui ralentissaient. Plusieurs des véhicules ont pris feu au moment de l’accident et les pompiers ont mis un moment à contrôler l’incendie. Une personne a été grièvement blessée, mais sa vie n’était pas en danger. La SQ a mentionné que la route devrait être fermée «une bonne partie de la journée», le temps que les techniciens en reconstitution se rendent sur place pour faire leur travail. L’hypothèse envisagée est que le premier conducteur qui a percuté la voiture devant lui pourrait avoir été ébloui par le soleil.
24 août 2016 : Les services d’urgence ont été mobilisés en début de soirée mercredi à la recherche d’un homme tombé dans l’eau du fleuve entre les ponts Champlain et Victoria, mais il semble qu’il y a eu méprise et que personne n’était en danger. Le service d’incendie de Longueuil a précisé qu’un appel a été reçu à la centrale 911, vers 20 h 40. Une dame disait avoir vu un homme qui se débattait dans l’eau. Les pompiers de Longueuil ont alors amorcé une opération de recherche et sauvetage et une embarcation a été mise à l’eau afin de tenter de repérer l’individu. Des équipes terrestres ont aussi participé aux efforts afin d’aider à localiser la victime dans la voie maritime du Saint-Laurent. Les opérations ont été interrompues un peu plus tard et l’hypothèse retenue par les secours est une méprise de la personne qui a appelé la centrale. Au lieu d’un homme qui se débattait, il semble que ce sont plutôt des kayakistes qui se trouvaient dans ce secteur et qui pagayaient. Le mouvement des pagaies dans l’eau a pu ressembler à un homme en détresse.
24 août 2016 : Plus 1000 litres d’hydroxyde de sodium ont été déversés à l’extérieur de l’hôpital de l’Enfant-Jesus de Québec, tandis qu’une faible quantité s’est retrouvée à l’intérieur, mercredi matin. Ce produit s’est déversé vers 11h près de la buanderie de Partagec à l’arrière de l’hôpital. Environ 25 litres d’hydroxyde de sodium, aussi appelé soude caustique, se sont également déversés dans les locaux de Partagec. Les pompiers ont nettoyé la substance chimique à l’intérieur en l’arrosant, tandis que les égouts ont absorbé ce qui s’était répandu à l’extérieur. «Il n’y a pas eu de contamination. Il n’y a eu aucun dommage à l’environnement», a mentionné la porte-parole des pompiers de Québec, France Voiselle. Elle souligne que personne n’a été blessé ou incommodé. Une quarantaine d’employés du CHU, ainsi qu’une soixantaine de travailleurs de Partagec ont toutefois dû être évacués. L’incident est dû à une erreur lors du transbordement de l’hydroxyde de sodium. «Il y a eu un problème technique lors de l’opération», a mentionné France Voiselle. Les employés ont pu regagner leur poste de travail vers 13 h 30
24 août 2016 : Un homme tenant des propos menaçants a été arrêté mercredi par la police de Montréal à l’école secondaire Père-Marquette, située à l’angle des rues Marquette et Bellechasse dans l’arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie à Montréal. Le suspect, un homme de 46 ans, a été arrêté vers 12 h 45. Il portait sur lui un sac à dos, laissé sur place et considéré comme un colis suspect. Devant la menace, les employés de l’école ont dû évacuer l’établissement. «C’est une école secondaire fermée pour le moment. Il n’y avait aucun élève à l’intérieur, seulement des employés», avait précisé André Leclerc, porte-parole de la police de Montréal. Personne n’a été blessé dans cet incident et une fouille préventive avait aussi été menée dans l’école et dans les environs, afin de s’assurer qu’il n’y avait aucun autre colis. Le Groupe tactique d’intervention (GTI) a été dépêché sur les lieux et un robot a été utilisé afin de neutraliser le colis qui s’est avéré inoffensif. La scène a été libérée et le périmètre de sécurité a été levé vers 19 h seulement. Des accusations pourraient être déposées éventuellement contre l’individu qui a causé tout ce déploiement.
24 août 2016 : Un Québécois a été condamné à un an de prison pour avoir tenté d’amener illégalement plus de 280 000 pilules aux États-Unis en janvier dernier. Le verdict, tombé lundi, comprend aussi une année de probation à sa sortie de prison, a rapporté la chaîne WPTZ, citant le département de la justice américaine. Cédrick Bourgault-Morin, 22 ans, a été arrêté le 13 janvier dernier au Vermont alors qu’il tentait de passer en contrebande aux États-Unis 82 kg (182 livres) d’Alprazolam, une substance connue sous le nom de Xanax. Il s’agit d’un médicament, disponible sous ordonnance seulement, utilisé pour le soulagement à court terme des symptômes de l’anxiété excessive, pour le traitement du trouble anxieux généralisé ou du trouble panique. Le Québécois se trouvait sur la voie ferrée qui mène de la frontière canado-américaine au village de North Troy, au Vermont. Le jeune contrebandier a été appréhendé au moment où il commençait à cacher un traîneau et ses quelque 300 sacs de plastique contenant les pilules dans la neige. Leur valeur est estimée à environ 1,6 million $.
25 août 2016 : Un homme a été la cible d’au moins un projectile d’arme à feu, jeudi en fin de journée, dans l’arrondissement LaSalle, à Montréal. L’incident s’est produit vers 17 h 50 près des rues Jean-Brillon et Patrice. Un homme de 37 ans, connu des policiers, a été atteint au bas du corps. Il a été transporté dans un centre hospitalier, mais ses blessures ne mettent pas sa vie en danger. Lorsque les policiers sont arrivés sur les lieux, le ou les suspects avaient déjà pris la fuite. Le service de l’identité judiciaire, les enquêteurs et un maître-chien ont été dépêchés sur les lieux. Le Service de police de Montréal confirme que la victime a été blessée par balle, mais avait encore peu de détails sur la séquence des événements. Un périmètre de sécurité a été érigé le temps de colliger des informations qui permettront de faire progresser l’enquête.
26 août 2016 : Cinq mineurs ont été arrêtés dans la nuit de jeudi à vendredi à la suite d’un vol qualifié et d’une agression armée survenus dans l’arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, à Montréal. Vers 21 h 15, des citoyens ont contacté le 911 pour signaler qu’un individu venait de se faire attaquer par plusieurs jeunes près des rues Hochelaga et de Chambly. À leur arrivée, les policiers ont localisé la victime, un homme de 29 ans, gisant au sol. Il avait été battu et poignardé au bas du corps, a indiqué Abdullah Emran, porte-parole de la police de Montréal. Il a été transporté à l’hôpital, mais l’on ne craindrait pas pour sa vie. Au cours de la nuit, cinq suspects ont été arrêtés. Il s’agit de cinq adolescents, dont trois sont âgés de 15 ans, un de 16 ans et un autre de 17 ans. Ils étaient toujours détenus vendredi matin, en attente d’être interrogés par les enquêteurs. «Les chefs d’accusation ne sont pas sortis encore, mais il s’agirait de vol qualifié sur une personne et d’agression armée», a précisé M. Emran. Les policiers ont établi un périmètre de sécurité dans le secteur pour analyser l’endroit. La scène a été levée au cours de la nuit.
27 août 2016 : L’arnaque «grands-parents» fait beaucoup de dommages chez les personnes âgées, et rarement les victimes ont l’occasion de confronter les malfaiteurs. Mme Raymonde – qui préfère ne pas dévoiler son nom complet -, âgée de 83 ans, a été l’une des victimes de cette fameuse fraude «grands-parents», une arnaque qui lui a coûté 9000 $. Cette semaine, au Palais de justice de Montréal, elle est allée dans la salle de cour où l’homme accusé de l’avoir arnaquée comparaissait avec ses présumés complices. Elle et une quinzaine d’autres victimes étaient accompagnées du Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC) et des policiers de Montréal. «J’ai vu toutes les personnes qui avaient été arnaquées. Quand je les ai vues au Palais de justice avant-hier, j’ai eu pitié pour ces gens-là, toutes de vieilles personnes», mentionne-t-elle. Mme Raymonde souhaitait confronter, à sa manière, celui qui l’a appelée. «J’étais contente de le voir. Je l’ai fixé, il m’a fixée, puis je l’ai fixé encore. Longtemps. J’avais envie de dire: « Tu m’as eue une fois, tu ne m’auras pas une deuxième fois. Je ne vais pas baisser les yeux devant toi, ce n’est pas vrai. »» Jenny Charest, du CAVAC, rappelle l’importance pour les victimes de voir leurs fraudeurs. «En fait, c’est important parce que celles qui voulaient y aller voulaient avoir toute l’information, avoir les détails entourant l’enquête, entourant l’affaire et en même temps pouvoir voir ces personnes-là. Elles n’ont pas nécessairement vu tous les accusés. C’est une façon aussi de reprendre du pouvoir. Pour les victimes, quand elles vont à la cour et que c’était un choix, c’est une façon d’agir et non pas seulement subir.» Un simple appel reçu l’été dernier a complètement bouleversé sa vie. Un habile manipulateur qui s’est fait passer pour son fils en détresse. «Il disait: « Non, maman, ne panique pas, ne panique pas. J’ai eu un accident d’automobile. Je vais te raconter. J’avais bu un peu, puis finalement, ils m’ont amené au poste. Je suis prisonnier, puis là j’ai de la difficulté. Est-ce que tu vas payer, maman? » J’ai dit oui, que j’allais tout payer.» Les accusés seraient à la tête d’un réseau qui a fait plus de 500 victimes âgées de 51 à 96 ans au Québec. Une arnaque qui leur aurait rapporté 2,5 millions $. Celui que les policiers désignent comme étant la tête dirigeante, Patrick Dinucci, a été arrêté grâce à la GRC et Interpol en Italie. Il est en attente d’extradition pour subir son procès à Montréal. «Ce sont des experts. Je vous le dis, j’aurais donné ma maison s’il me l’avait demandé, dit-elle. Au fond, avec le recul, je sais bien que mon garçon, il n’avait pas besoin de mes sous. Il était capable de se libérer lui-même. Mais tu es tellement pris dans une bulle. Tu ne peux rien faire.» Les responsables du projet espèrent que cette réalisation va inciter d’autres personnes âgées à dénoncer les abus et fraudes dont elles sont victimes.
27 août 2016 : Deux accidents distincts impliquant des cyclistes et des véhicules motorisés se sont produits samedi matin, dans l’arrondissement de Rosemont-La Petite Patrie. Les deux cyclistes ont été transportés à l’hôpital. Le premier accident impliquait une cycliste de 25 ans qui a été heurtée vers 8 h, au croisement du boulevard Saint-Laurent et de l’avenue Mozart. Elle a été frappée par un camion balayeur, alors que celui-ci procédait au nettoyage des rues. La jeune femme a été blessée au bas du corps, mais on ne craint pas pour sa vie, a indiqué le Service de police de la Ville de Montréal. L’intersection a été fermée à la circulation pour permettre aux enquêteurs de déterminer les causes de l’accident. La deuxième collision est survenue à peine 30 minutes plus tard, au coin de la 15e Avenue et de la rue Saint-Zotique Est, dans le même arrondissement. Un automobile et un cycliste se sont arrêtés pour faire l’arrêt obligatoire. Selon le SPVM, l’automobiliste aurait dû céder le passage au cycliste, ce qu’il n’a pas fait. Le cycliste a subi des blessures mineures, mais il a tout de même été transporté au centre hospitalier.
27 août 2016 : Le Bureau des enquêtes indépendantes enquête sur les causes d’un drame survenu à Saint-Cyrille-de-Wendover, près de Drummondville. Un homme a été tué lors d’une intervention de la Sûreté du Québec, vendredi soir. À la suite d’un appel concernant une mésentente familiale vers 21 h 45 vendredi, deux policiers sont intervenus à Saint-Cyrille-de-Wendover et se seraient trouvés face à un homme de 41 ans, armé d’un couteau, rapporte un communiqué du Bureau des enquêtes indépendantes. «Après une courte discussion avec les policiers, l’homme se serait élancé vers eux toujours armé de son couteau», peut-on lire. L’homme aurait été atteint par au moins un coup de feu et serait décédé. Six enquêteurs ont été chargés de déterminer les causes de ce drame. Ils ont fait appel au Service de police de la Ville de Montréal pour les soutenir dans cette enquête. Le Bureau des enquêtes indépendantes, entré en activité le 27 juin 2016, a pour mission de faire enquête, à la demande du ministre de la Sécurité publique, dans tous les cas où une personne autre qu’un policier en service, décède, subit une blessure grave ou est blessée par une arme à feu utilisée par un policier lors d’une intervention policière ou durant sa détention par un corps de police.
28 août 2016 : Un organisme à but non lucratif qui travaille à sortir les personnes âgées de l’isolement a eu une bien mauvaise surprise dimanche: un de ses triporteurs a été volé au courant de la nuit, dans le quartier Pont-Viau, à Laval. Ce même triporteur avait été vandalisé la semaine dernière. Denis Desjardins de l’organisme Un vélo une ville, précise que l’organisme n’en veut pas à l’auteur du méfait, mais demande l’aide de la population afin de localiser le véhicule. «Nous, on travaille en réinsertion alors le but n’est pas de punir l’auteur du vol, mais de retrouver le triporteur», a indiqué M. Desjardins. La disparition du véhicule a quand même été signalée à la police de Laval. Dans un communiqué de presse publié en fin d’après-midi dimanche, Un vélo une ville a expliqué que sa mission «est de briser l’isolement des ainés en leur proposant des balades en triporteur et de soutenir la persévérance scolaire en proposant à un jeune d’avoir un emploi d’été et une bourse d’études à la fin de sa période de travail». Les triporteurs sont conduits par des jeunes décrocheurs et leur emploi d’été est adapté à leur situation. Dans le cas actuel, la jeune conductrice s’est présentée à l’endroit où était stationné le véhicule, mais ne l’a pas trouvé. «Actuellement notre conductrice a été affectée dans des résidences pour ainés du secteur afin de renforcer les liens intergénérationnels crées avec la population bénéficiaire du service, a précisé Un vélo une ville. Cependant, le service de balades en triporteur à destination des ainés est interrompu tant que nous n’aurons pas de nouvelles du triporteur.» «Nous trouvons regrettable qu’une telle situation puisse se produire, a déclaré Richard Turgeon, directeur général de l’organisme. Un vélo une ville est une entreprise d’économie sociale avec une mission concrète au sein de la communauté. Tant pour notre clientèle que pour la jeune, nous espérons que cette situation trouve une issue positive.» Toute personne ayant de l’information concernant le triporteur disparu peut communiquer avec le service de police de Laval ou avec Un vélo une ville au 438 397-9052.
28 août 2016 : Les plongeurs de la Sûreté du Québec ont retiré des eaux du lac Lamarre dans le secteur de Saint-Jean-des-Piles, à Shawinigan, en Mauricie, dimanche matin, le corps d’un homme de 51 ans porté disparu depuis samedi. L’homme a sombré dans le lac pendant qu’il se baignait. Les secours ont été appelés sur les lieux à 18 h 20 samedi. Les recherches pour le localiser avant la noirceur n’ont rien donné et avaient repris en matinée dimanche. Le corps a été retiré de l’eau vers 11 h dimanche matin, a indiqué la Sûreté du Québec. Il s’agit d’un homme de 51 ans originaire de l’Ontario qui était en vacances dans la région avec sa famille. Il pourrait avoir souffert d’un malaise avant de disparaître dans l’eau.

Voici les sources que nous avons consultées pour ajouter ces nouvelles :
- fr.canoe.ca/infos
- Radio-Canada
- Journal de Montréal
- Journal de Québec
- Cyberpresse