
C’est arrivé au Québec entre le 15 septembre et le 21 septembre 2016
Voir aussi : Les événements qui ont eu lieu entre le 8 septembre et le 14 septembre 2016
15 septembre 2016 : Les forces de l’ordre refusent de laisser la mafia montréalaise se réorganiser et intensifient la pression sur elle: cinq résidences appartenant à des individus liés au monde interlope italien ont été visées par des perquisitions, jeudi, dans la grande région de Montréal. Parmi les cinq adresses visitées par les policiers, on retrouve deux résidences de Laval. La première, sur la rue Basinet, est le domicile de Steve Ovadia, un homme de main de Stefano Sollecito, leader intérimaire de la mafia qui a été arrêté en novembre dernier. En milieu d’après-midi, tandis que les policiers fouillaient l’intérieur de son domicile, Ovadia est passé devant chez lui à bord de son véhicule utilitaire sport. En voyant les véhicules de police devant sa résidence, il a décidé de poursuivre son chemin, mais il a rapidement été rattrapé par un patrouilleur. L’homme de 43 ans a été arrêté sur-le-champ. Il devait être interrogé au cours de la soirée par les enquêteurs. L’autre endroit visé par une perquisition est un logement situé sur la rue Maheux, où demeure Charles Chouchani, qui travaillerait pour Ovadia. La récente vague d’attentats au cocktail Molotov contre des cafés italiens à Montréal aurait précipité cette opération qui devait avoir lieu à une date ultérieure. Selon une source, «les tentatives de meurtre et la recrudescence d’incendies concernant ce qui reste du clan de Vito Rizzuto ont fait en sorte qu’on ne pouvait pas se permettre d’attendre plus longtemps». Selon d’autres sources bien informées, les perquisitions, qui s’effectuent dans le cadre d’une enquête en cours, visent à rassurer la population. Les services de police veulent montrer qu’ils ne laisseront pas la mafia se réinstaller sans rien faire. Rappelons que trois cafés italiens liés au clan du défunt parrain Vito Rizzuto ont été visés par des incendiaires depuis le début du mois de septembre. Sur l’une des scènes de crime, un mystérieux message a été trouvé et laisse croire qu’on tente d’exterminer ce qui reste du clan sicilien. Le clan Rizzuto est actuellement très affaibli en raison de l’arrestation récente de certains de ses plus influents membres et de l’assassinat de quelques grosses pointures au sein de ses rangs.
15 septembre 2016 : Visé par une tentative d’incendie criminel la nuit dernière, le restaurant Liège, qui a pignon sur rue dans le quartier Parc-Extension à Montréal, appartient au frère d’un haut gradé de la police de Montréal. Le propriétaire de ce restaurant situé sur la rue Liège Ouest, à l’angle de l’avenue Wiseman s’appelle Haralambos Labos, surnommé «Bobby», qui est le frère de Costa Labos, inspecteur – chef aux affaires internes du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), d’après ce qu’a appris TVA Nouvelles. Numéro un des enquêtes spéciales du SPVM, Costa Labos fait l’objet d’une enquête criminelle menée par la Sûreté du Québec (SQ), par souci de transparence, dans une autre affaire. L’inspecteur – chef Labos est soupçonné d’avoir menti afin d’obtenir un mandat de perquisition au domicile du policier Roger Larivière. Les doutes qui pèsent sur ce haut gradé sont assez sérieux pour que le ministère de la Sécurité publique ait ordonné à la section des Normes professionnelles de la SQ de mener une enquête criminelle. La tentative d’incendie criminel au restaurant Liège a eu lieu vers 3h50. Des employés se trouvaient toujours à l’intérieur du commerce et ont réussi eux-mêmes à éteindre les flammes, a indiqué André Leclerc, porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
16 septembre 2016 : Un incendie dans un édifice à logements de trois étages à Longueuil a causé l’évacuation d’une trentaine de personnes vendredi soir. Les pompiers ont été appelés vers 21 h 40 pour un feu qui s’est déclaré dans le sous-sol d’un immeuble d’une quinzaine de logements de la rue Vianney. Lorsque les services d’urgence sont arrivés sur les lieux, les flammes avaient atteint le premier étage, a indiqué le chef de division Michel Huguerot. Les pompiers ont immédiatement procédé à l’évacuation d’une trentaine de résidents. Personne n’a été blessé. Vers 22 h 30, les pompiers prenaient finalement le dessus sur l’incendie qui s’était propagé jusqu’au toit par les murs. Toutefois, le feu ne s’est attaqué qu’à une moitié de l’immeuble. «Il est possible que la moitié des résidents puissent rentrer chez eux ce soir», a dit M. Huguerot, précisant toutefois que les pompiers devaient d’abord effectuer des vérifications dans l’édifice avant que le sort des évacués soit déterminé. Un autobus a été appelé sur les lieux pour transporter les évacués qui devaient être pris en charge par les autorités pour une période indéterminée.
16 septembre 2016 : L’Agence du revenu du Canada a mené mercredi une perquisition qui visait un citoyen et son entreprise située sur le territoire de Wendake. «Nous pouvons confirmer qu’il y a eu une perquisition», a simplement mentionné Julie Pronovost, porte-parole régionale pour l’Agence du revenu du Canada (ARC). Les agents ont visité l’homme d’affaires Bernard Sioui, qui dirige les entreprises du même nom. Ce dernier n’est visé par aucune accusation pour l’instant. Impossible de savoir exactement ce que les enquêteurs cherchaient à cet endroit. L’ARC peut notamment intervenir pour faire respecter la Loi de l’impôt et la Loi sur l’accise. Par ailleurs, la réserve indienne huronne-wendate de Wendake n’est pas un organisme public assujetti à la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics. Joint par téléphone, Bernard Sioui a dirigé Le Journal vers le grand chef Konrad Sioui ou son avocat.
16 septembre 2016 : L’entreprise Distribution John & Dino, spécialisée dans la distribution de produits alimentaires dans l’arrondissement de Saint-Léonard à Montréal, a été visée tard jeudi par une tentative d’incendie criminel. Les pompiers ont été appelés à se rendre sur les lieux un peu avant minuit. À leur arrivée au bâtiment situé sur la rue Magloire, près de Lafrenaie, ils ont constaté qu’une vitre avant du commerce avait été fracassée. À l’intérieur, ils ont retrouvé des traces d’accélérant, a indiqué Daniel Lacoursière, porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). L’incendie a été presque totalement éteint par les gicleurs du commerce. Les pompiers se sont chargés du reste. Les dommages sont limités. L’enquête a été transférée au SPVM. Des enquêteurs devaient se rendre sur place au cours de la journée de vendredi pour analyser la scène. Personne n’a été blessé. Le SPVM ne détenait aucun suspect dans cette affaire. Distribution John & Dino a déjà été la propriété d’Agostino Cuntrera, un chef de clan de la mafia assassiné à l’été 2010 en face de cette même entreprise. Son fils, Liborio, a été arrêté en mai dernier lors d’une opération de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) pour démanteler un réseau de trafic de cocaïne.
17 septembre 2016 : Une jeune femme a perdu la vie dans un violent accident de la route survenu sur l’autoroute 50, près de Grenville, dans les Laurentides. Son véhicule, qui circulait en direction de l’ouest sur cette route à double voie, a dévié de sa trajectoire pour une raison encore inconnue, vers 7 h samedi matin, selon la Sûreté du Québec (SQ). «Il a percuté de plein fouet une voiture qui arrivait en face et qui circulait en direction de l’est», a détaillé Daniel Thibaudeau, porte-parole de la SQ, évoquant un impact «à haute vitesse». La jeune femme est décédée sur les lieux. Un homme et une femme, présents dans le deuxième véhicule ont été gravement blessés. Ils ont été conduits au centre hospitalier. On craint pour la vie de la femme qui était au volant. L’autoroute 50 a été fermée dans le secteur pour permettre aux enquêteurs de déterminer les causes du drame.
17 septembre 2016 : Un homme a été blessé par arme blanche, au parc Bellerive, dans l’arrondissement de Mercier – Hochelaga-Maisonneuve. Deux suspects ont été arrêtés. La victime âgée de 20 ans se trouvait avec sa conjointe dans le parc Bellerive, au niveau de la rue Notre-Dame et de l’avenue Mercier, lorsqu’une altercation aurait éclaté avec deux ou trois autres individus. «Le conflit aurait dégénéré et au moins l’un des suspects aurait blessé la victime avec une arme blanche au haut du corps», a rapporté Daniel Lacoursière, porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal. Les suspects ont alors pris la fuite. Les policiers sont intervenus rapidement et ont réussi à arrêter l’un des suspects. Quelques instants plus tard, grâce à l’unité canine, une deuxième personne a été appréhendée. Ils ont été conduits au centre opérationnel où ils seront interrogés par les enquêteurs qui ignorent encore les circonstances du drame. La victime a été conduite au centre hospitalier. Samedi matin, on ne craignait pas pour sa vie.
17 septembre 2016 : Un feu s’est déclaré tôt ce matin, vers 1 h, dans une résidence pour personnes âgées à Sainte-Sophie, dans les Laurentides. S’il n’y a eu aucun blessé, les dégâts sont en revanche importants. Le feu serait parti d’un garage situé à proximité de la résidence pour personnes âgées, rue Sainte-Marie. «Nous sommes en plein centre-ville alors les bâtiments sont très rapprochés», a avancé Pascal Grenier, directeur adjoint du service sécurité incendie de Sainte-Sophie. «Nous sommes intervenus rapidement pour emmener deux personnes en ambulance incommodée par la fumée, mais il n’y a pas eu de blessé », a-t-il poursuivi. 32 personnes se trouvaient dans le bâtiment qui a subi des dommages importants. Elles ont été prises en charge par la Croix-Rouge et les employés de la ville. Les enquêteurs doivent encore déterminer les causes du départ de feu.
18 septembre 2016 : Une bagarre impliquant une cinquantaine de personnes a éclaté vers 3 h 20, au Bar O’Gascon de Terrebonne. Une personne a été blessée par arme blanche au cours de cette dispute. Un différend entre deux individus serait à l’origine de cet attroupement qui a dégénéré. On ignore pour le moment les raisons précises de cette querelle, au cours de laquelle un homme de 33 ans a été atteint par une arme blanche. À l’arrivée des policiers, l’homme était ensanglanté et a été transporté à l’hôpital avec une blessure au visage, mais on ne craint pas pour sa vie. Un homme de 28 ans a été rencontré en lien avec cet événement, mais il a été libéré inconditionnellement en avant-midi puisque la victime a refusé de porter plainte dans ce dossier.
18 septembre 2016 : La radio haïtienne CPAM 1610 AM a une nouvelle fois été victime d’un incendie criminel tôt dimanche. Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a reçu un appel des pompiers vers 3 h 30 dimanche matin, pour un incendie qui s’est déclaré au 3390 boulevard Crémazie, à proximité de l’intersection avec la 13e Avenue, dans l’arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. «Un objet aurait été lancé à travers la fenêtre de la porte et sur place, on a repéré une forte odeur de produit inflammable, possiblement de l’essence», a détaillé le porte-parole du SPVM. Les dégâts semblent mineurs, car les pompiers sont rapidement intervenus. Aucun suspect ni témoin n’a été entendu et l’enquête a été transférée à la section des incendies criminels du SPVM. Déjà en juillet 2012, la station de radio avait été lourdement endommagée par un incendie d’origine criminelle. Le directeur avait à l’époque évoqué les menaces téléphoniques qu’il avait reçues après le retour en Haïti de Jean-Claude Duvalier, l’ancien dictateur. Plus récemment, la voiture d’un animateur avait été la cible d’une attaque au cocktail molotov. La station cible majoritairement la communauté haïtienne, mais aussi les communautés latino-américaines (35 % de la programmation) et africaines de langue française (15 % de la programmation).
18 septembre 2016 : Un bébé de trois mois a été découvert inanimé lundi soir dans un appartement d’un immeuble du secteur Charlesbourg, à Québec. Les services d’urgence ont été demandés vers 17 h 45 au 307, 47e Rue Ouest. L’appel de détresse signalait la présence d’un enfant inconscient. Des manœuvres de réanimation ont été pratiquées, mais à son arrivée à l’hôpital, la petite victime de sexe masculin se trouvait toujours en arrêt cardiorespiratoire. Les policiers attendaient toujours en soirée une mise à jour concernant son état de santé. En raison de l’âge de l’enfant, le protocole d’enquête suit son cours. Pour le moment, rien ne semble suspect dans cette triste affaire. L’hypothèse de la mort subite du nourrisson est analysée, mais rien n’a toutefois été confirmé. En état de panique, deux autres personnes de la même famille ont aussi été transportées au centre hospitalier.
19 septembre 2016 : Le plaidoyer de culpabilité de Pedro-Antonio Ovalle-Leon, accusé de conduite avec les facultés affaiblies causant la mort, n’aidera pas au deuil de la mère d’une des victimes, «fâchée» d’apprendre que le chauffard était un véritable «fusil chargé» au volant de son camion le soir du drame. Alors que le procès pour conduites avec les facultés affaiblies causant la mort et des lésions devait commencer lundi matin au palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce, c’est plutôt un plaidoyer de culpabilité que le travailleur guatémaltèque a enregistré. «Si», a faiblement répondu l’accusé en espagnol, les yeux au sol, lorsque la juge Rena Edmond lui a demandé s’il reconnaissait son crime. Le 22 août 2015 à Scott, en Beauce, Pedro-Antonio Ovalle-Leon a percuté de plein fouet une voiture dans laquelle se trouvaient quatre jeunes. Louis-David Fournier et Dereck Bolduc-Coulombe, âgés de 19 ans, sont décédés alors que deux autres passagers ont été gravement blessés. Le récit détaillé des événements montre à quel point le chauffard était une véritable bombe à retardement le soir du drame. En possession de méthamphétamines et avec un taux d’alcoolémie frôlant le double de la limite permise, l’homme de 32 ans roulait à plus de 100 km/h dans le village de Scott. Plusieurs témoins ont corroboré avoir vu la Mercedes Sprint faire des manœuvres dangereuses avant l’impact. «Dans les instants avant la collision, il y a eu un impact d’évité par la vigilance du conducteur, ainsi qu’une conduite à haute vitesse et en sens inverse», a relaté la procureure Audrey Roy-Cloutier. Au moment de l’impact sur la route 171, la voiture de l’accusé circulait à 130 km/h alors que celle des victimes roulait à 64 km/h. L’impact s’est produit sur la ligne médiane après que Louis-David Fournier eut tenté d’éviter le camion qui était dans sa voie. Soulagée d’avoir évité un procès, la mère de Dereck, Vicky Coulombe, a été «estomaquée» d’entendre ce récit pour la première fois. «Je suis fâchée! 160 milligrammes dans le sang, c’est quasiment un gun chargé qu’on a dans les mains», a-t-elle dit.
19 septembre 2016 : Des accusations de tentative de meurtre, séquestration et d’avoir voulu vaincre la résistance en essayant d’étrangler une joggeuse dans le parc national du mont Saint-Bruno ont été déposées lundi contre Yves Roy, un résident de Sainte-Julie de 46 ans. Le Service de police de l’agglomération de Longueuil (SPAL) a précisé avoir procédé à l’arrestation du suspect vendredi soir, vers 18 h, près de son domicile. Cet homme est soupçonné d’être à l’origine de la violente agression d’une joggeuse survenue le 2 septembre dernier. Des informations reçues du public ont permis aux policiers de procéder à une arrestation, deux semaines jour pour jour après l’attaque sauvage d’une femme dans la cinquantaine. À la suite de la diffusion d’un portrait-robot, les autorités avaient reçu plus de 400 informations de la part de citoyens. «L’une de ces informations, la 204e reçue, ciblait Yves Roy. Une personne dans son entourage avait remarqué un changement dans son comportement dans les jours ayant suivi l’agression et plus particulièrement à la suite de la diffusion du portrait-robot», a précisé le Service de police de Longueuil. Le jour de l’agression, qui s’est produite en plein jour dans le sentier du lac des Bouleaux, la joggeuse aurait été plaquée au sol par le suspect. L’homme, qui n’était pas armé, a usé de sa force physique pour frapper sa victime à plusieurs reprises et a tenté de l’étrangler. La dame s’est débattue et a pu se défaire de l’emprise du suspect. Elle a subi des fractures aux côtes, à la cheville et s’en tire avec de nombreuses ecchymoses. D’autres promeneurs, alertés par ses cris, étaient venus à son secours, mais l’agresseur avait pris la fuite. Yves Roy aurait des antécédents criminels qui remonteraient à plusieurs années. Il avait été transporté à l’hôpital Pierre-Boucher de Longueuil peu de temps après son arrestation en raison d’un problème médical. L’homme pourrait être relié à d’autres actes similaires. Des crimes, non résolus à ce jour, seront révisés. Il a aussi été précisé qu’un échantillon d’ADN a été prélevé et avait pu être relié à un élément de preuve sur la scène de crime du mont Saint-Bruno.
20 septembre 2016 : Reynald Côté, tristement baptisé «le monstre de Magog» habite désormais à Sherbrooke. Il a avisé les corps policiers de son changement de domicile au cours des derniers jours. qui a abusé et agressé sexuellement sa fille pendant près de 17 ans a trouvé un nouveau lieu de résidence non loin d’une école primaire. Bien que ce dernier ait purgé sa peine et qu’il a recouvré sa liberté, la méfiance citoyenne demeure, comme en témoigne une citoyenne. «C’est dangereux parce qu’on ne sait pas ce qui se passe dans sa tête. J’aurais préféré qu’il demeure loin d’ici», a confié une dame. «On ne peut pas dire qu’on n’est pas inquiet, mais j’espère qu’il va rester tranquille», a confié une autre personne. Reynald Cote a maintes fois fait la manchette pour les agressions commises à l’endroit de sa fille. Il avait été condamné à 14 ans de prison. En janvier dernier, alors qu’il était en liberté, Reynald Côté avait de nouveau été arrêté par la Régie de Police Memphrémagog après avoir offert des bonbons à une fillette de 9 ans. La police de Sherbrooke s’engage à prendre les moyens nécessaires pour sécuriser les citoyens. Elle invite tout de même les citoyens à informer les autorités s’ils sont témoins d’agissements inadéquats de la part de l’individu, comme l’explique le porte-parole du SPS, Philippe Dubois, «Il faut rester vigilant. Si le moindre petit événement se produit, il faut communiquer avec le service police de Sherbrooke, c’est très important».
20 septembre 2016 : La Ville de Saint-Eustache a prévenu ses citoyens mardi soir qu’un python de 80 cm (environ 2 pieds) pourrait se trouver dans le secteur de la rue Landry. Le reptile de couleur orange et beige a été rapporté comme étant «disparu». Cet animal appartient à une espèce qui n’est pas venimeuse et dont la morsure n’est pas dangereuse, a précisé la municipalité. «Avec le début de la soirée qui approche et les températures plus douces, le serpent sera au ralenti et cherchera à se cacher», mentionne l’avis municipal. La Ville recommande néanmoins de ne pas tenter d’approcher le serpent et de communiquer plutôt avec le service de capture animalier ou encore avec la police. C’est le deuxième python en moins d’un mois qui est rapporté disparu au Québec. Un python de 4 pieds a été perdu le 25 août à Montréal dans l’arrondissement de Verdun, et n’a pas encore été localisé.
20 septembre 2016 : Un léger séisme de 2,6 sur l’échelle de Richter est survenu dans le Domaine-du-Boisé, à Terrebonne, au cours de la nuit de lundi à mardi, a indiqué Ressources naturelles Canada. Selon le ministère, le séisme, survenu vers 1 h 55 à 15 kilomètres de profondeur, aurait été «légèrement» ressenti sur l’île de Montréal et dans la région métropolitaine. Aucun dommage n’a été signalé.
21 septembre 2016 : Une passagère au téléphone s’éternisant pour monter dans l’autobus et un chauffeur qui lui demande d’accélérer le pas, il n’en fallait pas plus pour immobiliser un véhicule de la STM et déclencher un incident, rapidement devenu viral sur le web. «Vous pouvez envoyer quelqu’un ici pour qu’elle se calme les nerfs et qu’elle sorte de l’autobus», demande par téléphone un chauffeur de la Société de transport de Montréal (STM) à son centre opérationnel. «Je suis au coin de Frontenac et Hochelaga, en direction nord». Ce sont ces mots que l’on entend au début d’une vidéo de 6 minutes publiée mardi soir sur le groupe Facebook Spotted STM. Mercredi après-midi, soit moins de 24 heures après sa mise en ligne, la vidéo avait déjà été vue 45 000 fois et partagée à 385 reprises. D’après les images captées par la passagère, on devine que celle-ci était plutôt occupée par son téléphone lorsqu’elle montait dans l’autobus. Le chauffeur lui aurait alors demandé de se dépêcher pour qu’il puisse démarrer, la désignant au passage de «princesse». Un mot que la jeune femme n’a visiblement pas digéré puisque la discussion a dégénéré, au point où le chauffeur a arrêté son véhicule, en attendant l’arrivée d’un chef d’opération. Pendant ce temps, parmi la dizaine de passagers présents dans l’autobus, certains semblaient s’impatienter. En plus de faire le tour du web, des centaines de personnes ont commenté l’incident, prenant position pour l’une ou l’autre des parties. «Quand le chauffeur te dit de lâcher ton cellulaire pis d’avancer, tu t’exécutes. Fin de l’histoire», écrit Mélissa Fortier-Hogue. «C’est vraiment de la provocation de cette jeune fille, bravo pour le sang-froid du chauffeur», note Stéphanie Laplante, elle-même chauffeuse qui aimerait voir plus d’«expériences positives avec des chauffeurs». D’autres ont plutôt pris la défense de la passagère. Après avoir accepté notre demande d’entrevue, le Syndicat des chauffeurs d’autobus de la STM a par la suite refusé de commenter la situation. Ce changement de décision, expliqué par une «mauvaise communication» interne, est survenu après que le président du syndicat se soit exprimé sur les ondes du 98,5 FM. À la STM, on dit avoir pris connaissance de la vidéo et dit «tenter d’identifier le chauffeur pour connaître les circonstances de cet événement».

Expo Barbie à Montréal. Photographie : GrandQuebec.com.
Voici les sources que nous avons consultées pour ajouter ces nouvelles :
- fr.canoe.ca/infos
- Radio-Canada
- Journal de Montréal
- Journal de Québec
- Cyberpresse
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