C’est arrivé au Québec entre le 15 mai et le 21 mai 2016
Voir aussi : les événements qui ont eu lieu du 07 mai jusqu’au 14 mai 2016
15 mai 2016 : Un automobiliste de 36 ans a perdu la vie, dimanche, à la suite d’une sortie de route survenue quelques heures plus tôt à Granby, en Montérégie. Un citoyen a contacté les autorités vers 5 h pour signaler qu’un véhicule était immobilisé sur la chaussée de la rue Saint-Charles Sud. Une seule personne se trouvait à bord du véhicule. Les services d’urgences ont dû utiliser des pinces de désincarcération pour sortir la victime de sa voiture. Elle a été conduite dans un centre hospitalier. Son décès a été confirmé en milieu d’avant-midi par la police de Granby. La rue Saint-Charles Sud a été fermée afin de permettre aux enquêteurs d’essayer de comprendre les causes derrière cette sortie de route.
16 mai 2016 : Le père rédemptoriste Jean-Claude Bergeron a accueilli stoïquement la peine de quatre ans de prison que lui a imposée, lundi matin, le juge Jean-Pierre Dumais au palais de justice de Québec pour attentat à la pudeur et grossière indécence. Casquette beige à la main, tête penchée, regard dans le vide, sans émotion. Voilà de quoi avait l’air le surveillant du Séminaire Saint-Alphonse de Sainte-Anne-de-Beaupré qui a pris, lundi matin, le chemin du pénitencier. Sous le regard de ses victimes, l’agresseur de 76 ans a pris un petit sac contenant ses effets personnels pour passer de l’autre côté de la porte, soit celle menant à la détention. Bien que les procédures judiciaires aient mis plus de six ans pour connaître une fin, le magistrat a condensé sa décision en une trentaine de minutes, tout en utilisant des mots très durs envers l’accusé. «Vous aviez une situation privilégiée avec des proies sans défense à votre portée. Des étudiants qui, s’ils tentaient de parler, se faisaient expulser ou menacer d’expulsion. Vous étiez conscient de l’omerta qui régnait au Collège et vous en avez profité», a-t-il prononcé sur un ton sans appel. Rappelons qu’en décembre 2015, Bergeron a été trouvé coupable de neuf chefs d’attentat à la pudeur et d’un chef de grossière indécence sur sept victimes âgées à l’époque d’une douzaine d’années.
16 mai 2016 : Un mécanicien a subi de très graves blessures, lundi avant-midi, dans l’est de Montréal, lorsque l’autobus qu’il réparait lui est tombé dessus. La victime serait un mécanicien dont l’âge n’a pas été précisé par les autorités. Le drame s’est produit sur le boulevard Ray-Lawson, dans l’arrondissement d’Anjou. Les circonstances et la cause de l’accident de travail étaient toujours inconnues en début d’après-midi. Selon les services d’urgence, le travailleur aurait subi de très graves blessures au haut du corps, notamment à la tête. Il se trouvait à l’hôpital dans un état critique.
16 mai 2016 : L’ex-maire de Montréal Michael Applebaum n’en peut plus d’attendre son procès caché chez lui. Estimant que les délais sont rendus exagérés, il ne réclame rien de moins que l’arrêt des procédures. «Combien de temps dois-je attendre avant de prouver mon innocence? Les gens me regardent, ils disent des choses, je ne peux pas aller au restaurant. J’ai le droit d’avoir une vie!», a lancé l’ex-maire accusé de corruption. C’est que les délais s’étirent dans cette affaire de corruption qui se serait déroulée de 2006 à 2011, alors qu’Applebaum était maire de l’arrondissement Côte-des-Neiges. L’accusé de 53 ans a été arrêté en juin 2013, mais son procès ne débutera pas avant septembre 2017. «Je suis prêt à subir mon procès demain, j’étais prêt à y aller il y a des années, a lancé Applebaum en versant quelques larmes. Je suis toujours à attendre d’être entendu pour prouver mon innocence.» Pour prouver qu’il a subi de nombreux préjudices à cause des délais judiciaires, le maire déchu a longuement parlé de son emploi d’agent immobilier. «C’est extrêmement difficile, j’étais maire, je suis connu de la majorité du monde, a-t-il dit en anglais. Et là, c’est dur de gagner la confiance des clients. Je suis dans une situation où je suis toujours jugé. J’essaye de gagner ma vie, et c’est difficile.»
17 mai 2016 : Les enquêteurs de la Sûreté du Québec vont tenter de comprendre pourquoi et comment un corps a été retrouvé sur le bord du fleuve Saint-Laurent, à la hauteur de Varennes, mardi. Vers 16 h, les policiers de la Régie intermunicipale de police Richelieu-Saint-Laurent ont été appelés pour un corps, possiblement celui d’un homme, retrouvé sur le bord du fleuve. Aucune information sur l’âge approximatif de la victime n’a été divulguée. L’enquête a été transférée ensuite à la Sûreté du Québec, qui ne disposait toutefois que de peu d’information en milieu de soirée. «Les enquêteurs de la Sûreté du Québec sont en direction», a indiqué la sergente Audrey-Anne Bilodeau de la SQ.
18 mai 2016 : Un motocycliste dans la trentaine a perdu la vie dans un accident survenu sur la bretelle de sortie au kilomètre 110 de l’autoroute 40, à la hauteur de L’Assomption, mercredi. Pour une raison inconnue pour l’instant, l’homme a perdu le contrôle de contrôle de son engin vers 18 h 15, a indiqué la porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ), Audrey-Anne Bilodeau. Dans un état critique suite à l’embardée, la victime a été transportée dans un centre hospitalier et son décès a finalement été constaté en soirée. Des reconstitutionnistes ont été dépêchés sur place pour faire la lumière sur cet accident.
18 mai 2016 : Une vingtaine de policiers du métro et une dizaine d’agents affectés à la circulation au centre-ville de Montréal travaillent depuis mercredi avec des caméras corporelles. Ce projet pilote du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) se déroulera jusqu’à l’hiver 2017. Dans le cadre d’une première phase, les policiers seront équipés de caméras seulement dans des lieux publics. Dès septembre, certains agents de postes de quartiers seront équipés à leur tour de caméras, dans le cadre de la seconde phase du projet. À la fin du projet-pilote, les caméras seront retirées le temps de déposer un rapport et de mener une consultation publique. Si le projet est concluant, toutes les unités du SPVM pourraient être graduellement équipées de caméras à compter du début de l’année 2018. «Je suis de ceux qui sont d’accord avec l’implantation des caméras. Des fois, les policiers sont laissés à eux-mêmes et c’est bien d’avoir les deux côtés de la médaille», croit le maire Denis Coderre. Le projet pilote coûtera 1,7 million $ en 2016. L’ensemble des enregistrements sera conservé pendant trois ans, trois mois et trois jours, sauf lorsque des crimes majeurs seront filmés. Les enregistrements seront alors conservés indéfiniment. Par respect de la dignité et de la vie privée, les agents ne filmeront pas toutes leurs interventions. Les caméras seront activées lorsque les policiers croient que l’intégrité physique ou la vie des personnes est menacée et lorsqu’ils amorcent un entretien à des fins d’enquête. Ils devront fermer leur caméra lorsqu’ils sont susceptibles de filmer des situations portant atteinte à la dignité ou la vulnérabilité des citoyens. «Quand on parle de vie privée, il s’agit d’une situation délicate. Les policiers sont formés à ce sujet-là. Mais pour l’instant, la Phase 1 se fera dans des lieux publics. On pourra ensuite s’ajuster dans le cadre de la Phase 2, lorsque des lieux privés seront impliqués», explique Philippe Pichet, le directeur du SPVM. Le policier ne devra pas tenir compte de l’objection des témoins à se faire filmer dans le cadre de la Phase 1, puisque les interventions se dérouleront dans des lieux publics. Ceux qui se feront filmer pourront avoir accès à leurs enregistrements en faisant une demande d’accès à l’information.
19 mai 2016 : Après une enquête de près d’un an et demi, les policiers ont épinglé mercredi matin, à Acton Vale, les auteurs présumés des meurtres d’un propriétaire et de la gérante d’un bar de danseuses de Saint-Hyacinthe. Les suspects, âgés de 34 et 37 ans, devaient comparaître jeudi, au palais de justice de Saint-Hyacinthe, sous des accusations de meurtre. Leur identité n’a pas encore été révélée par les autorités. Les deux hommes sont soupçonnés d’avoir assassiné Martin Bélair et Nancy Beaulieu au début du mois de janvier 2015. Les corps de l’homme de 37 ans et de la femme de 41 ans ont été découverts enfouis sous la neige, dans la boîte d’une camionnette, à Mascouche. Martin Bélair, de L’Épiphanie, et Nancy Beaulieu, de Granby, avaient mystérieusement disparu quatre jours avant la découverte de leur cadavre. Les victimes formaient un couple, mais ils se montraient toutefois très discrets sur leur relation. Martin Bélair avait rompu avec sa conjointe quelques jours seulement avant d’être porté disparu, tandis que Nancy Beaulieu, âgée de 41 ans, avait mis un terme à sa relation précédente six mois plus tôt. Il y a deux semaines, deux résidences d’Acton Vale avaient été fouillées de fond en comble par les enquêteurs des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec, assistés des techniciens en identité judiciaire. Les deux endroits, l’un situé sur la rue Lemay et l’autre sur la route 116, étaient vraisemblablement les domiciles respectifs des deux présumés meurtriers. À ce jour, le motif de ce double meurtre demeure inconnu.
19 mai 2016 : Deux semaines après la sauvage agression d’un homme qu’on avait confondu pour un policier, à Montréal-Nord, la victime a accordé une entrevue à TVA Nouvelles. Le citoyen, qui souhaite garder l’anonymat pour des raisons de sécurité, est celui que des individus ont tabassé il y a deux semaines, près d’un dépanneur de la rue Pascal. «En ouvrant la porte, j’ai vu une personne arriver avec un poing américain, qui est venue pour me frapper», a-t-il raconté. «Celui qui croyait que j’étais policier, il m’a exhibé sur son estomac, sur sa bedaine, poursuit la victime. Il a levé son chandail, il m’a pointé avec son doigt une crosse de révolver… voulant dire que, la prochaine fois, on ne me manquera pas.» «Une personne m’a fixé… de race noire, m’a fixé assez longuement, a-t-il ajouté. Je l’ai regardé. Et là, il m’a dit: « Tu n’as pas affaire ici, toi. You’re a cop. » Je n’ai pas eu le temps nécessairement… de réagir sur les trois ou quatre autres individus, qui m’ont frappé assez solidement aussi. Je trouve que ç’a été une agression physique très, très violente. Ce qui m’a sauvé, moi, je dirais, c’est peut-être ma formation d’arts martiaux.» Aujourd’hui, les blessures physiques et marques au visage sont presque guéries, mais les séquelles psychologiques ne sont pas sur le point de s’effacer. S’il parle pour la première fois, c’est parce qu’il souhaite des changements dans son quartier. D’ailleurs, il s’adresse directement au maire de Montréal, Denis Coderre, l’incitant à prendre des mesures avec le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) pour mettre un frein aux gangs de rue, qui bénéficient, selon lui, d’une trop grande liberté. «Parler à la population, faire une déclaration suite à mon agression, qui est quand même déplorable, vu que c’était comme policier et que je ne suis pas policier, a souligné le citoyen. Là, ma femme, les gens ont peur de sortir le soir, ont peur d’aller dans les parcs. Je ne veux pas, quand même, que ce soit une répression totale.»
20 mai 2016 : Une collision entre deux véhicules vendredi soir sur le rang de la Chute, à Upton, en Montérégie, a fait trois blessés graves, dont un qui est entre la vie et la mort. L’homme dont on craint pour la vie était dans un de deux véhicules avec une femme qui, elle, a subi des blessures importantes. Dans l’autre véhicule, un homme qui était seul à bord a aussi subi des blessures importantes, mais on ne craint pas pour sa vie. «Il s’agit d’une collision latérale, mais les circonstances sont encore inconnues», a mentionné Christine Coulombe, de la Sûreté du Québec, ajoutant qu’un enquêteur en collision avait été dépêché sur les lieux. L’accident est survenu vers 19 h 30.
21 mai 2016 : L’ancien maire de Boisbriand Robert Poirier devra passer les 18 prochains mois derrière les barreaux. Reconnu coupable de fraude, de complot et d’abus de confiance après avoir été arrêté par l’UPAC, il avait admis pour la première fois ses torts plus tôt cette semaine. Robert Poirier qui a dirigé Boisbriand de 2000 à 2005 avait été arrêté en 2011 lors d’une méga-opération. Vendredi, il a pris le chemin des cellules après la décision du juge de la Cour du Québec Normand Bonin. Aux dires du magistrat, l’accusé était à la tête d’un système de collusion et de corruption dans l’octroi de contrats municipaux à Boisbriand. Le juge est arrivé à cette décision à la suite des suggestions des deux parties: la Couronne demandait 30 mois alors que la défense plaidait pour une peine à purger dans la collectivité. Robert Poirier avait mis en place un stratagème selon lequel trois firmes de génie se partageaient les contrats. La Ville de Boisbriand estime avoir perdu de cette façon des millions de dollars. Selon la Couronne, la décision du juge Bonin envoie un message clair. «Il a imposé une peine d’emprisonnement ferme, a expliqué Brigitte Bélair, procureure de la Couronne. Ce qu’il a considéré, essentiellement, c’est que le message de dissuasion doit être clair et sans équivoque. Dans ce contexte-là, l’emprisonnement avec sursis était donc exclu. La peine de 18 mois tient compte du fait, également, que M. Poirier était aux premières loges, et c’est le terme qu’il a utilisé, aux premières loges du stratagème qui a contribué au maintien d’une culture de collusion et de corruption à Boisbriand.» L’ex-maire Poirier a minimisé ses gestes, les justifiant en disant qu’il s’agissait d’une autre époque avec d’autres mœurs. Le fait qu’il n’ait pas proposé de remboursement a également joué en sa défaveur. Après le prononcé de la sentence, vendredi, l’actuelle mairesse de Boisbriand, Marlene Cordato, n’a pas été tendre à l’endroit de M. Poirier dans ses commentaires. «En tout respect pour le système de justice, il appartient au juge d’imposer la sentence et d’en déterminer la sévérité, a dit la mairesse dans un communiqué de presse. Pour moi, tromper la population à titre d’élu est le pire crime qui puisse être commis en démocratie. Les crimes de Robert Poirier sont inacceptables. Être un élu, c’est un privilège qui comporte des obligations d’honnêteté et d’imputabilité.» Mme Cordato a souligné que les stratagèmes utilisés ont coûté des millions de dollars en trop lors de l’attribution de contrats à des entreprises collusionnaires et elle a rappelé que la Ville a entrepris des procédures en décembre dernier pour récupérer une partie des sommes volées. «Des mises en demeure totalisant 10,6 millions $ ont été signifiées aux firmes et collusionnaires qui ont avoué leur culpabilité ou qui ont été condamnés par les tribunaux pour leurs actes répréhensibles, peut-on lire dans le communiqué de la mairesse. «L’ex-entrepreneur Lino Zambito et sa firme Les Constructions Infrabec inc., les anciens maires Robert Poirier et Sylvie St-Jean, la firme d’ingénieurs Roche, Groupe-Conseil (qui vient de changer de nom pour Norda Stelo) ainsi que son ex-vice-présidente, France Michaud, ont été visés par les actions de recouvrement de la Ville.» «Maintenant que le volet criminel de ces actes a été confirmé, leurs auteurs doivent faire amende honorable et rembourser les sommes volées aux citoyens», a ajouté Mme Cordato.
21 mai 2016 : Insatisfaite de son changement de sexe, une femme de la Colombie-Britannique est recherchée à travers le Canada pour avoir incendié la clinique de Montréal où elle avait subi «la grande opération». Jayne Ellen Heideck, 42 ans, originaire de Kelowna, est désormais recherchée en vertu d’un mandat d’arrestation pancanadien. Elle est soupçonnée d’avoir volontairement allumé l’incendie qui a causé pour des centaines de milliers de dollars de dommages le 2 mai au Centre métropolitain de chirurgie, situé dans l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. Heideck se serait présentée dans l’enceinte de la clinique en milieu de soirée et aurait mis le feu à l’intérieur avant de s’enfuir. Le feu avait toutefois été rapidement éteint par une tête de gicleur et personne n’avait été blessé. À la base, les policiers craignaient qu’il s’agisse d’un crime à caractère haineux. Mais d’après nos sources, l’enquête aurait plutôt permis d’établir qu’il s’agirait d’un incendie ayant la vengeance comme toile de fond. En effet, selon nos informations, Jayne Ellen Heideck aurait été très insatisfaite de son opération subie à cette clinique spécialisée dans les chirurgies esthétiques. Il a été impossible de savoir précisément si Mme Heideck a subi une intervention chirurgicale pour devenir un homme ou l’inverse. Toutefois, les autorités ont assuré être «à la recherche d’une femme». Si les policiers réussissent à lui mettre la main au collet, Jayne Ellen Heideck devrait faire face à des accusations d’avoir allumé un incendie criminel causant un danger pour la vie humaine, d’introduction par effraction dans un dessein criminel, d’avoir allumé un incendie criminel par négligence, d’agression armée et de port d’arme dans un dessein dangereux.
21 mai 2016 : Un Montréalais récemment marié a été assassiné mercredi sur une plage des Seychelles, a rapporté samedi le réseau CTV. La victime serait Jimmy Denis, un homme de 35 ans, habitant dans l’Ouest-de-l’Île de Montréal. Il était aux Seychelles depuis qu’il s’est marié à Christine Gagliardi le 20 mars dernier. Sa famille était revenue à Montréal après le mariage, mais il était resté pour vendre des actifs qu’il détenait sur les îles. Il devait revenir à Montréal dans une semaine. Les autorités ont été alertées vers 23 h par une femme qui disait être sa cousine, selon Today in Seychelles, un quotidien local. Elle était avec Jimmy Denis sur la plage de Beau Vallon, le quartier où il vivait, lorsqu’il se serait absenté un moment. À son retour, il avait le visage ensanglanté et de la difficulté à respirer, a-t-elle raconté aux policiers. À leur arrivée sur les lieux, les policiers ont trouvé Jimmy Denis inanimé. Il aurait été attaqué par un autre homme à la suite d’une dispute. Plusieurs personnes auraient été témoins de la scène sans intervenir. Le motif du meurtre demeure néanmoins inconnu. La sœur de Jimmy Denis a confirmé à CTV que des membres de sa famille étaient en direction des Seychelles samedi afin de récupérer la dépouille de l’homme et qu’ils étaient en contact avec l’ambassade canadienne.

Voici les sources que nous avons consultées pour ces nouvelles :
- fr.canoe.ca/infos
- Radio-Canada
- Journal de Montréal
- Journal de Québec
- Cyberpresse