
C’est arrivé au Québec entre le 22 novembre et le 30 novembre 2015
Voir aussi : les événements qui ont eu lieu du 15 novembre jusqu’au 21 novembre 2015
22 novembre 2015 : Un homme en crise, suspecté d’avoir poignardé son ex-conjointe et son fils, a été arrêté ce soir, dans l’arrondissement de LaSalle, à Montréal. Alors qu’il lui était interdit d’entrer en contact avec son ex-femme, l’homme se serait introduit par infraction dans sa résidence de la rue de Beauport. Il aurait ensuite tenté de la tuer, puis aurait attaqué son fils de 20 ans, selon Jean-Pierre Brabant, porte-parole du Service de police de Montréal (SPVM). Les policiers sont intervenus au domicile vers 23 h 30, tout en sachant que le suspect pouvait encore être sur place. À leur arrivée, ils ont découvert la femme de 50 ans et son fils blessés par «un objet contondant» à l’intérieur du domicile et aperçu l’homme de 65 ans qui s’était réfugié dans la cour, selon le porte-parole du SPVM. En s’approchant de lui, les policiers ont réalisé qu’il s’automutilait à l’aide d’une arme blanche. « Nous avons tenté de verbaliser, de négocier avec lui, mais il était hors de lui et dangereux pour lui-même et les gens aux alentours », a indiqué Jean-Pierre Brabant. Ils ont finalement réussi à maîtriser le sexagénaire en ayant recours à une «arme d’impact», a indiqué le porte-parole du SPVM. Il s’agit d’une arme à projectiles de caoutchouc destinée à faire mal sans nécessairement blesser. Les trois individus ont été transportés à l’hôpital. Leur vie n’est pas en danger.
22 novembre 2015 : Une personne était dans un état critique dimanche, à la suite d’un incendie qui a lourdement endommagé un immeuble à logements de trois étages du centre-ville de Sherbrooke. L’incendie aurait éclaté vers 5 h 30 dans l’immeuble de neuf logements situé sur la rue Wellington. À leur arrivée, les pompiers ont complètement évacué l’endroit et les bâtiments adjacents. Sept personnes sont sorties d’elles-mêmes de l’immeuble en feu. Ils ont toutefois dû porter secours à une personne retrouvée inanimée dans le bâtiment, a indiqué Stéphane Simoneau, directeur par intérim du Service de protection contre les incendies de la Ville de Sherbrooke. Elle a été transportée d’urgence à l’hôpital dans un état critique, selon le directeur par intérim. Une trentaine de pompiers ont combattu le feu qui a ravagé la structure et atteint le toit de l’immeuble. Les dommages causés par l’incendie pourraient s’élever à 400 000 $.
23 novembre 2015 : Des voleurs qui ont dérobé des dizaines de milliers de dollars de bijoux avaient bien préparé leur geste, à Trois-Rivières. Ils ont d’abord fait un trou dans le mur d’une agence de voyages voisine de la bijouterie Donatien Dugré, pour y accéder par une salle de bain. À l’intérieur, ils avaient 30 secondes pour neutraliser le système d’alarme. Les voleurs ont éventré le coffre-fort et sont repartis avec son contenu.
23 novembre 2015 : Une piétonne de 86 ans a été victime d’un délit de fuite, mardi en fin d’après-midi, à l’angle de la rue de Salaberry et du boulevard des Sources, dans l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro, à Montréal. La dame a tenté de traverser l’intersection lorsqu’un véhicule qui circulait en direction ouest sur la rue de Salaberry l’a happée. Le conducteur fautif aurait ensuite pris la fuite en direction opposée. «La victime a subi des blessures à la bouche et à une jambe. Elle a été transportée à l’hôpital dans un état stable et on ne craint pas pour sa vie», a indiqué le sergent André Leclerc, porte-parole pour la police de Montréal. Un périmètre a été délimité, quelques témoins ont été rencontrés, mais les policiers n’ont pas été en mesure de fournir une description du conducteur ou de son véhicule. La police de Montréal avait d’ailleurs l’intention de retourner mercredi au même endroit, à la même heure, pour tenter de rencontrer davantage de témoins. Le corps policier a d’ailleurs invité les citoyens à faire part de toute information concernant ce cas de façon confidentielle à Info-Crime au 514 393-1133.
24 novembre 2015 : Le colis suspect retrouvé à l’Université Sherbrooke s’est avéré inoffensif, a annoncé l’établissement. « Il s’agissait d’une valise contenant de la farine utilisée dans le cadre d’une simulation pour un cours qui avait été oubliée par des étudiants, lundi » a indiqué Martin Carrier, porte-parole du Service de police de Sherbrooke (SPS). Le SPS a été appelé sur les lieux, vers 13 h 30 mardi. Les policiers ont ensuite procédé à l’évacuation de la Faculté des lettres et sciences humaines par mesure préventive. Les activités académiques et administratives ont été suspendues pour la journée. Elles reprendront leur cours normal à minuit.
24 novembre 2015 : Hydro-Québec vient d’intenter une poursuite en Cour supérieure de 28,6 millions $ contre Normand Dubé, homme d’affaires et pilote d’avion de Sainte-Anne-des-Plaines, connu souvent sous le nom de «pilote des stars». Il s’agit à notre connaissance de la plus importante poursuite de la société d’État contre un seul individu. Hydro-Québec soutient que Normand Dubé a causé délibérément des méfaits à l’égard «de ses installations de transport d’électricité» qui a provoqué les 4 et 5 décembre 2014, «une panne» électrique qui a touché 200 000 abonnés de la société d’État. Normand Dubé fait également face à des accusations criminelles, notamment avec cette panne, mais la poursuite au criminel est pour l’instant l’objet d’une ordonnance de confidentialité. Selon la poursuite civile, datée du 6 novembre, avant même d’être arrêté en juin 2015, Dubé aurait créé une fiducie (AGNR) afin d’échapper à ses créanciers, dont Hydro-Québec. La poursuite allègue qu’il y a transféré un lingot d’argent et sa résidence personnelle à Sainte-Anne-des-Plaines. La société d’État prétend qu’à la suite des pannes provoquées présumément par M. Dubé, Hydro-Québec a subi «d’importantes pertes et qu’elle a dû mettre en place des mesures d’urgence particulièrement coûteuses». Enfin, alors qu’en juin dernier sa remise en liberté avait été refusée par le juge François Beaudoin, Normand Dubé a été remis en liberté mardi dernier par le juge James Brunton, avec des conditions sévères, notamment de se rapporter aux policiers tous les jours. Un couvre-feu lui a été imposé. Il doit rester dans sa résidence après 21 heures. De plus, il n’a pas le droit de piloter un avion ou un hélicoptère.
25 novembre 2015 : C’est une gestion déficiente des travaux qui est responsable du décès par noyade d’un travailleur de la construction survenu en mars 2015 au chantier hydroélectrique de la Romaine, selon le rapport d’enquête de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) rendu public mercredi matin. Steeve Barriault de Havre-Saint-Pierre opérait une pelle mécanique sur le site de la centrale Romaine 3. Lors d’un déplacement, il s’est retrouvé au-dessus d’une étendue d’eau dont la surface était gelée. La glace s’est rompue, la pelle a basculé dans l’eau du côté gauche. La cabine s’est rapidement remplie, car une fenêtre s’est brisée. L’opérateur d’une autre pelle a tenté de retenir l’équipement qui sombrait dans l’eau et des travailleurs ont tenté sans succès d’ouvrir la cabine.

Vieux-Port de Montréal. Photo : GrandQuebec.com
25 novembre 2015 : L’incendie d’un camion survenu dans l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension est considéré comme « suspect ». Les pompiers de Montréal ont été appelés à se rendre sur la 18e avenue, entre la rue Villeray et le boulevard Crémazie Est, vers 2 h 30. « Le camion (de style cube) était garé dans l’entrée d’un commerce, a indiqué l’agent Abdullah Emran du Service de police de la Ville de Montréal. Le feu a été maîtrisé par le Service de sécurité incendie de Montréal », a-t-il précisé. Selon M. Emran, la cause exacte de l’incendie est toujours inconnue, mais celui-ci est considéré comme «suspect». Une enquête est en cours.
26 novembre 2015 : La chaussée glacée pourrait être à l’origine d’un violent accident de la route qui a coûté la vie à un homme, à Stratford, en Estrie. Vers 6 h 45, la victime circulait à bord de sa voiture sur le chemin Stratford lorsqu’elle a soudainement dévié de sa voie dans une courbe. La voiture s’est retrouvée dans la voie inverse au moment où un camion semi-remorque s’amenait. L’impact a été extrêmement brutal. Le conducteur de la voiture a été éjecté lors du choc et a succombé à ses graves blessures. Quant au chauffeur du camion, il a été conduit à l’hôpital de Thetford Mines pour traiter des blessures mineures. Le chemin Stratford a été fermé à la circulation pour la durée de l’enquête policière.
26 novembre 2015 : Les policiers du Québec ont lancé jeudi soir l’opération VACCIN dans l’arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles. Il s’agit de la traditionnelle opération de Vérification Accrue de la Capacité de Conduite, qui aura lieu à l’échelle de la province (Intervention Nationale) jusqu’au 3 janvier. L’an passé 1400 conducteurs avaient été arrêtés au mois de décembre, ce qui représente 37 arrestations par jour, a indiqué le lieutenant Jean-François Campeau, de la division de la Sécurité routière de la SQ. On demande aux gens de planifier leur retour à la maison afin de ne pas prendre le volant en état d’ébriété, a-t-il dit, insistant sur le fait qu’en 2014, 80 % des personnes arrêtées s’étaient fait interpeller pour la première fois. Le taux d’alcoolémie maximum autorisé est de 80 mg d’alcool par 100 ml de sang. Les contrevenants risquent la suspension de leur permis de conduire. Les policiers sont également formés pour repérer les conducteurs qui ont consommé de la drogue. Du côté du SPVM, l’inspecteur André Durocher, de la division de la Sécurité routière, s’est réjoui de constater que les personnes arrêtées semblaient déjà sensibilisées à ce problème.
27 novembre 2015 : L’entrepreneur Tony Accurso serait prêt à passer le test du polygraphe si l’ancien député caquiste Jacques Duchesneau s’y soumettait également dans l’affaire du présumé chèque de 250 000 $, a rapporté vendredi le quotidien La Presse. En septembre dernier, Tony Accurso avait éclaboussé l’ancien député et figure emblématique de la lutte anticorruption en déclarant devant la commission Charbonneau qu’il lui aurait signé un chèque d’un quart de millions de dollars pour combler le déficit du parti de M. Duchesneau, Nouveau Montréal. M. Duchesneau avait démenti les allégations de M. Accurso. À la demande de la commission, ce dernier avait pris l’engagement de déposer le chèque en preuve à la commission. L’avocat de l’entrepreneur, Louis Belleau, a déploré que la commission ait conclu dans son rapport que «M. Accurso a menti à propos d’un enjeu majeur». « C’est une conclusion très négative contre M. Accurso qui n’est pas basée sur aucun fait », a indiqué M. Belleau. Selon lui, le test du polygraphe est une façon pour son client de se défendre. «Si M. Accurso s’y soumet tout seul de son bord et qu’il passe avec succès le test, on va dire que c’était arrangé, que le test n’était pas fiable, a ajouté l’avocat. Si on assoit les deux, à ce moment-là, on va avoir une résolution du problème. Il faut mettre un point final à cette affaire.» Par ailleurs, l’avocat de Tony Accurso soutient que « ce n’est pas parce qu’on n’arrive pas à produire un chèque que le paiement n’a jamais eu lieu ».
27 novembre 2015 : Deux bons samaritains ont sauvé un homme de sa voiture qui a pris feu après avoir percuté un arbre sur un rang de Saint-Césaire, en Montérégie. Vers 14 h 30, l’homme conduisait sur le rang Haut-de-la-Rivière Sud. À la sortie d’une courbe, il a perdu le contrôle de sa voiture et a percuté un arbre, a expliqué la porte-parole de la Sûreté du Québec, Audrey-Anne Bilodeau. Lors de l’impact, le conducteur a subi des blessures importantes, entre autres au bas du corps. Deux personnes ont accouru et l’ont sorti de la carcasse du véhicule. La voiture a ensuite commencé à prendre en feu, mais plus personne ne se trouvait à l’intérieur. Selon les premières hypothèses des policiers, il est possible qu’une vitesse inappropriée dans la courbe puisse être à l’origine de l’accident. Malgré la gravité des blessures subies, la vie du conducteur n’est pas en danger.
28 novembre 2015 : Deux familles se retrouvent dans la rue à cause d’un incendie de cuisson causé par un homme en état d’ébriété dans un immeuble à logements, dans l’arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, à Montréal. L’incendie, causé par un chaudron d’huile laissé sans surveillance, a éclaté vers 23 h 20, selon les autorités. Le logement est situé au deuxième étage d’un immeuble, situé à l’intersection des rues French et Hochelaga. L’occupant du logement, en état d’ébriété, avait commencé la préparation de frites et a été distrait ou s’est endormi, a expliqué Éric Dahmen, chef aux opérations au service de sécurité incendie de Montréal. Le citoyen a été récalcitrant à sortir de chez lui et a compliqué le travail des pompiers. Une quarantaine de sapeurs ont été envoyés sur les lieux pour combattre les flammes. « Un logement temporaire sera fourni pour une des deux familles qui se retrouvent à la rue », a indiqué Carl Boisvert, de la Croix-Rouge canadienne. Des coupons pour des vêtements et de la nourriture pour les trois prochains jours seront aussi fournis aux sinistrés. Les flammes se sont attaquées à la structure du bâtiment et au toit. Les dommages causés par le feu, la fumée, l’eau et le travail des pompiers sont surtout à l’intérieur de la bâtisse, mais s’élèveraient tout de même à plus de 100 000 $. Personne n’a été blessé. La circulation sur la rue Hochelaga a dû être détournée une bonne partie de la nuit, entre la rue Joffre et le boulevard Pierre-Bernard, afin de permettre aux pompiers de maîtriser les flammes.
29 novembre 2015 : Un homme en crise a forcé les policiers de Montréal à mettre en place un périmètre de sécurité sur une rue résidentielle de l’arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal. Vers 8 h 10, les policiers ont été appelés sur l’avenue Coolbrook, non loin de l’intersection avec le chemin Queen-Mary, pour traiter avec un homme en crise barricadé chez lui. Les résidents de l’immeuble dans lequel se trouve l’homme ont été évacués. La rue résidentielle a aussi été fermée entre Queen-Mary et l’avenue Isabella. En début d’après-midi, les policiers ont réussi à dénouer la situation en discutant avec l’homme. Ce dernier n’a pas subi de blessure et recevra des soins appropriés.
29 novembre 2015 : Les policiers ont trouvé plusieurs sortes de drogues, des armes à feu et beaucoup d’argent comptant lors d’une frappe visant des acteurs du crime organisé et des gangs de rue, menée dans la grande région montréalaise. Dans un premier bilan, les forces de l’ordre ont mentionné avoir visé 10 adresses situées à Montréal et sur la Rive-Sud. Cinq hommes âgés de 26 à 48 ans ont été arrêtés, ainsi que trois femmes de 36 à 50 ans. « Certaines de ces personnes seraient reliées au milieu des gangs de rue et au crime organisé », a mentionné le porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), André Leclerc. Dans les endroits visités, les policiers ont trouvé deux armes à feu, de la cocaïne, de la marijuana, du crystal meth et des amphétamines. Une somme de plus de 100 000 $ en argent comptant a aussi été saisie. De nouvelles perquisitions pourraient avoir lieu en lien avec cette frappe, tout dépendant des nouvelles informations auxquelles les enquêteurs auront accès.
30 novembre 2015 : Cinq ans après le meurtre de Sylvie Bergeron survenu dans Saint-Roch, la police de Québec tente de relancer l’enquête et demande aux citoyens de l’aider à identifier le témoin important dans cette affaire. Afin de réussir à identifier l’homme de race noir qui a été le dernier à voir Sylvie Bergeron vivante le 30 novembre 2010, Jeunesse au Soleil a également augmenté la récompense à 10 000 $. Il y a cinq ans, Mme Bergeron et le témoin étaient au bar le Dauphin dans Saint-Roch lorsqu’ils ont quitté l’établissement ensemble vers 2h45. La victime a été retrouvée sans vie dans son appartement de la rue Saint-Joseph. Le témoin n’a quant à lui jamais pu être identifié malgré les vidéos rendues disponibles par la police de Québec. Le témoin, très mince à l’époque, mesure 1,70 m (5 pi 7 po), s’exprimait en français sans accent. Pour relancer l’enquête, une nouvelle vidéo a été mise en ligne sur YouTube par la police de Québec.
30 novembre 2015 : L’heure de vérité approche pour Guy Turcotte puisque le jury chargé de décider de son sort a commencé ses délibérations lundi après-midi. Au terme de 36 jours d’audience, le procès de l’ex-cardiologue pour le meurtre de ses enfants est entré dans sa dernière phase lundi matin, alors que le juge André Vincent a donné ses directives aux jurés.Par la suite, le jury a été séquestré. Le magistrat leur a d’ailleurs demandé d’apporter leur valise, étant donné qu’ils ne pourront rentrer chez eux avant de rendre un verdict unanime. Deux thèses s’affrontent dans cette affaire. D’un côté, la Couronne allègue que l’accusé de 43 ans était conscient lorsqu’il a poignardé 46 fois ses enfants Anne-Sophie et Olivier, en février 2009 à Prévost, dans les Laurentides. Turcotte avait découvert que son ex-femme le trompait, et il aurait pu agir par vengeance. Des appels téléphoniques, la lecture de courriels entre son ex-femme et son amant, le soir du drame et la consultation de sites web sur le suicide, entre autres, démontrent que l’accusé était conscient de ses actes selon la Couronne. De son côté, la défense vise la non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux. Tous les psychiatres ayant rencontré Turcotte affirment en effet qu’il souffrait d’un trouble d’adaptation avec humeur anxieuse et dépressive lorsqu’il a tué ses enfants de 3 et 5 ans. Le soir du drame, Turcotte aurait eu une crise suicidaire durant laquelle il a bu du lave-glace contenant du méthanol avant de commettre les homicides, selon l’avocat de la défense, Me Pierre Poupart. Me René Verret de la poursuite plaide au contraire que Turcotte a consommé ce liquide toxique seulement après avoir tué ses enfants.

Centre des sciences de Montréal. Photo de grandquebec.com.
Les sources de nouvelles parues cette semaine :
- fr.canoe.ca/infos
- Radio-Canada
- Journal de Montréal
- Journal de Québec
- Cyberpresse
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