C’est arrivé au Québec du 1er décembre jusqu’au 7 décembre 2012
Semaine au Québec du 1er décembre jusqu’au 7 décembre 2012. Voir aussi : semaine précédente du 22 novembre jusqu’au 30 novembre 2012.
1er décembre 2012 :
Les bénévoles d’Opération Nez Rouge (ONR) n’ont pas chômé, dans la nuit de vendredi à samedi. En effet, ils ont effectué plus de 2800 raccompagnements partout au Québec. C’est dans la Ville de Québec qu’on a recensé le plus grand nombre de raccompagnements, soit 200. Les bénévoles de Sherbrooke et Laval eux aussi très occupés. Ils ont effectué respectivement 168 et 137 raccompagnements. À Montréal, à peine 78 personnes ont eu recours aux services de l’organisme. Le conseiller aux communications pour ONR, David Latouche, trace un bilan très positif de cette première nuit d’opération. «C’est un départ parfait, a-t-il dit. Aucun problème signalé et nous avons eu une belle réponse des bénévoles. Opération Nez Rouge est en fonction chaque soir (l’horaire varie d’une région à l’autre) jusqu’au 31 décembre.
1er décembre 2012 :
Près de 200 délégués de plus d’une soixantaine d’associations étudiantes participent aux travaux de la deuxième édition du Rassemblement national étudiant (RNE). Le rassemblement se tiendra toute la fin de semaine à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Le RNE veut donner l’occasion au mouvement étudiant de faire le point sur la grève du printemps dernier. Les étudiants veulent également établir une stratégie commune en vue du Sommet sur l’enseignement supérieur. Des membres de l’ASSÉ et de la Fédération étudiante universitaire du Québec, notamment, participaient à ce rassemblement.
1er décembre 2012 :
Quatre magasins populaires à grande surface ne vendent plus la traditionnelle crèche de Noël qui se retrouve annuellement sous le sapin de milliers de familles québécoises. Le mois de décembre est synonyme de décoration et de tradition de Noël pour des milliers de Québécois. Pour la première fois, il sera très difficile pour les croyants de se procurer une crèche afin de la poser sous l’arbre, près des cadeaux.
Le Journal de Montréal part à la recherche d’une crèche typique avec tous les personnages classiques de l’histoire catholique dans cinq grands magasins de la région de Montréal. Parmi eux, Walmart et Zellers, deux imposants vendeurs de décoration de Noël, ne présentaient aucun modèle de crèche. Du côté du Canadian Tire, le directeur du magasin de Longueuil explique que «ce n’est plus vraiment en demande». La seule représentation de la crèche traditionnellement connue est vendue sous forme de figurines de bande dessinée.
Plusieurs commis questionnés par le Journal de Montréal ont avoué ne même plus être en mesure d’en commander chez leurs fournisseurs. Le géant Costco ne fait pas exception. Pas de crèche sur les étalages dans la section des décorations de Noël. Seul Rona proposait deux choix, pas de crèches, mais d’«ensemble de figurines de nativité». Même constat à Québec. Là où parmi quatre magasins de grandes surfaces visités, possédant des sections réservées aux décorations de Noël, aucun n’offrait de crèches.
2 décembre 2012 :
Trois enfants découverts sans vie, ce soir, dans un duplex situé sur la rue Turcotte, à Drummondville. Il s’agirait d’une fillette de 5 ans, d’un garçon de 4 ans et d’une fillette de 2 ans. Le drame se serait produit dans le duplex, qui se trouve dans un quartier résidentiel. C’est vers 16h, qu’un appel a été fait auprès des services d’urgence. La porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ), Christine Coulombe, a indiqué qu’il s’agit de morts suspectes.
La SQ n’était toutefois pas en mesure de fournir de détails sur les circonstances entourant ces décès. Selon TVA Nouvelles, la mère habite le duplex depuis plusieurs années, mais seule avec ses enfants depuis une séparation d’avec son conjoint, qui aurait eu lieu il y a quelques mois. Des voisins ont confié que la DPJ serait déjà intervenue auprès de la famille. La mère, âgée de 33 ans, aurait été conduite à l’hôpital. Considérée comme un «témoin important» par la SQ, elle sera rencontrée dès que son état le permettra.
2 décembre 2012 :
Avec l’abolition du système de placement syndical sur les chantiers de construction nouvellement en vigueur, le monde de la construction du Québec pourrait être paralysé demain, le 3 décembre, estiment les syndicats. «Le monde qui veut travailler, ils sont dans le trouble», a déclaré Yves Ouellet, directeur général de la FTQ-Construction, en entrevue à TVA Nouvelles dimanche. L’Assemblée nationale n’a pas adopté le projet de loi qui devait reporter l’introduction des changements pour septembre 2013.
De plus, le gouvernement n’a pas encore établi une solution de remplacement pour le système qu’ils ont aboli, dénoncent les syndicats de l’industrie de la construction. Ainsi, les travailleurs qui utilisent ce système ne peuvent plus s’adresser à leur syndicat pour trouver un emploi; sinon ils seront dans l’illégalité. Parmi les travailleurs, 15 % utilisent le placement syndical pour se trouver du boulot. Les députés doivent maintenant agir rapidement pour éviter des problèmes.
3 décembre 2012 :
Le Nouveau Parti démocratique a déploré la formule «portes ouvertes» mise en œuvre par Transports Canada pour transmettre aux citoyens les informations relatives à la construction du nouveau pont sur le fleuve Saint-Laurent. De passage à Brossard lors de la première séance de consultation publique, le porte-parole adjoint du NPD en matière de Transport et député de Trois-Rivières, il a indiqué qu’il aurait préféré que les citoyens présents aient droit à une présentation globale afin d’assurer une diffusion uniforme de l’information transmise.
«C’est sûr que c’est un plaisir de voir qu’une consultation publique est organisée sur les effets environnementaux d’un projet de l’ampleur de celui du nouveau pont sur le Saint-Laurent, mais, en même temps, je dirais que c’est également une grande tristesse de constater la forme que cela prend», a déclaré M. Aubin. Transports Canada a privilégié la mise en place d’une douzaine de kiosques différents afin de favoriser l’échange avec les citoyens sur une base individuelle et assurer un meilleur dialogue. Pour sa part, le député néo-démocrate de la circonscription de Brossard-La Prairie, Hoang Mai, qui a fait de la construction du nouveau pont sur le Saint-Laurent un cheval de bataille depuis son élection, le 2 mai 2011, a estimé qu’il suivra de très près l’évolution de ce dossier «afin d’éviter un fiasco comme celui des chasseurs F-35».
3 décembre 2012 :
Le porte-parole du PLQ en matière de Plan Nord et de mines, Jean D’Amour, critique les députés péquistes de la Côte-Nord qui acceptent de perdre une Société du Plan Nord, avec son siège social en région, pour un secrétariat au développement nordique basé à Québec. «J’ai été surpris d’entendre Pauline Marois annoncer la création d’un secrétariat au développement nordique à Québec, peut-être sur le boulevard du versant Nord pour créer un lien, mais on manque notre coup», a indiqué le porte-parole de l’opposition officielle et député de Rivière-du-Loup-Témiscouata.
Le député libéral rejoint en ce sens les Métallos du Québec qui ont convenu en congrès de miser sur la transformation des minéraux au Québec. Plusieurs représentants de l’industrie de l’exploration et de l’exploitation minière étaient réunis en congrès jusqu’à jeudi à Québec. Selon M. D’Amour, le Plan Nord «demeure le plus beau projet de développement pour le Québec depuis la Baie James. Il est né en 2008 avec Jean Charest. Il n’est pas mort puisque ce gouvernement minoritaire pourrait se retrouver en élection rapidement». Le projet de loi 197 déposé par Jean D’Amour vise la création d’un maximum d’emplois au Québec à partir des ressources naturelles. Il exige que les projets miniers passent par une étude d’impact environnemental du BAPE.
4 décembre 2012 :
Le temps d’attente médian des chirurgies est de 16,6 semaines au Québec, soit le deuxième plus court au Canada, derrière l’Ontario. Ainsi le temps d’attente pour les chirurgies diminue au Québec, si bien que la province se retrouve maintenant au deuxième rang au Canada pour les délais les plus courts.
4 décembre 2012 :
Un incendie criminel a causé d’importants dommages dans un commerce de pneus de l’arrondissement de Saint-Léonard, à Montréal. L’incendie s’est déclaré aux alentours de 5 h, au Centre du Pneu DMG, situé sur le boulevard Lacordaire. Le bâtiment a subi d’importants dommages, a indiqué Jean-Pierre Brabant, du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Le porte-parole a ajouté que l’incendie était d’origine criminelle, sans pouvoir en expliquer les circonstances.
4 décembre 2012 :
Le gouvernement péquiste a perdu la bataille des drapeaux à l’Assemblée nationale. L’unifolié restera au Salon rouge. Cela ont tranché les parlementaires lors d’un vote divisé. Le PQ a été défait sur cette question sensible par l’opposition libérale et caquiste. L’issue de ce vote hautement prévisible vient sceller une fois pour toutes cette controverse baptisée «drapeaugate». Les partis d’opposition avaient déjà annoncé leurs couleurs il y a deux semaines.
C’est donc sans surprise que les 19 députés de la CAQ ont voté en bloc. À l’instar des députés libéraux, contre la proposition du PQ qui voulait retirer l’unifolié de l’enceinte du parlement. Cela «en tout temps» lors des travaux parlementaires dans la salle du conseil législatif. Le chef de la CAQ, l’ex-péquiste François Legault, a eu droit à des applaudissements ironiques de ses anciens collègues en chambre. Seuls les deux députés de Québec solidaire ont appuyé le gouvernement péquiste minoritaire. Il a échappé ce vote par 12 voix, à 65 contre 53.
Normalement, ce genre de requête doit se trancher par le président de l’Assemblée nationale. Toutefois, le libéral Jacques Chagnon a invoqué un règlement exceptionnel pour éviter de se prononcer en soumettant la question au vote. Rappelons que le PQ aura toujours le loisir de retirer le drapeau canadien du Salon rouge pour des activités dites «politiques ou gouvernementales».
5 décembre 2012 :
La ministre responsable de l’application de la Charte de la langue française, Diane De Courcy, a déposé son projet de loi visant à modifier la loi 101. Le document de 33 pages compte 94 articles. «Le projet de loi modernise les dispositions encadrant les pouvoirs d’inspection ainsi que d’autres dispositions devenues désuètes ou inadaptées», a expliqué la ministre lors du dépôt du projet de loi, en matinée. On y annonce que tous les étudiants anglophones du secondaire et du collégial devront réussir une épreuve de français pour obtenir leur diplôme alors que de leur côté, les garderies devront établir des programmes de francisation.
Ce projet de loi ne touchera pas aux écoles passerelles pour le moment et les francophones pourront toujours fréquenter des cégeps anglophones. L’abolition des écoles passerelles, qui constituait un engagement électoral, a donc été retardée. «Nous abolirons les écoles passerelles, nous prendrons les moyens utiles pour y arriver et ça se fera au printemps prochain», a toutefois annoncé la première ministre Pauline Marois.
5 décembre 2012 :
Près d’une semaine après avoir alerté les banques de sang des centres hospitaliers québécois d’un risque de contamination, Héma-Québec a choisi de maintenir la quarantaine sur certains produits sanguins, malgré le faible risque de contamination. Seuls les produits âgés de plus de 14 jours seront maintenus en quarantaine. Les autres produits pour lesquels on craignait une possible contamination ont été analysés et tous les résultats sont négatifs. Héma-Québec soutient qu’à l’heure actuelle, le risque de contamination est très faible.
5 décembre 2012 :
Pour une deuxième journée d’affilée, le gouvernement Marois s’est fait poivrer par l’opposition pour avoir donné à André Boisclair un poste de haut fonctionnaire à vie en sus de sa nomination à titre de délégué du Québec à New York. L’ancien chef péquiste avait demandé et obtenu la «sécurité» qu’offre le poste de sous-ministre adjoint, soit un revenu annuel indexé de plus de 170 000 $ et un régime de retraite hors norme. Le chef de la CAQ François Legault parle «d’indécence» et demande au Parti québécois de revoir le contrat avec l’ancien chef péquiste.
«Le seul argument de la première ministre, c’est de dire que les libéraux faisaient la même chose. Ce qui est arrivé le 4 septembre, c’est qu’on a changé de réseau de copinage», a tonné François Legault lors de la période de questions. Les libéraux dénoncent aussi la «cachoterie» du gouvernement Marois. Christine St-Pierre a ironisé sur le «lourd sacrifice» qu’a dû faire M. Boisclair en acceptant de «s’exiler» à New York et d’habiter un «luxueux condo dans une prestigieuse tour en plein cœur de Manhattan.»
5 décembre 2012 :
Avec le réchauffement climatique, les feux de forêt augmentent en importance, mais diminuent en fréquence, indique une nouvelle étude publiée mercredi. Une équipe d’une dizaine de chercheurs venant surtout de l’UQAM a étudié l’évolution des feux de forêt depuis la dernière glaciation et a établi un lien entre les périodes de climat chaud et les épisodes de feux de forêt.
Pour ce faire, les scientifiques ont analysé les sédiments au fond des lacs de la forêt boréale de conifères de l’est de l’Amérique du Nord. Selon cette étude publiée sur le site de la revue «Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS)», depuis 3000 ans, le nombre de feux a en fait diminué, ainsi que la quantité de biomasse brûlée. Les auteurs expliquent que ceci s’explique par les changements orbitaux qui réduiraient l’exposition d’énergie absorbée par la terre de cette région durant la période estivale.
6 décembre 2012 :
Le corps de Marcel Paquet, un homme de 72 ans a été repêché des eaux glaciales de la rivière Saint-Germain, à Drummondville. Selon toute vraisemblance, la victime est morte noyée. L’homme a quitté la résidence pour personnes âgées où il demeurait, sur la rue Bousquet, avec l’intention d’aller débroussailler le long du cours d’eau. L’homme aurait perdu pied et se serait retrouvé dans l’eau, extrêmement froide à ce temps-ci de l’année. Le corps de M. Paquet a été découvert à la hauteur du chemin du Golf. Il a été sorti de l’eau par les pompiers de la municipalité, à l’aide d’une embarcation. Selon la police, aucun acte criminel ne serait à l’origine de la mort de Marcel Paquet.
6 décembre 2012 :
Nommé délégué général du Québec à New York, André Boisclair renonce à son poste permanent de sous-ministre au sein de la fonction publique québécoise, sous les effets du tollé général qu’avait provoqué cet arrangement. La première ministre Pauline Marois en a fait l’annonce jeudi matin à l’Assemblée nationale, admettant que cette double nomination constituait une erreur. L’ancien chef du Parti québécois (PQ) occupera uniquement le siège de délégué général du Québec à New York.
6 décembre 2012 :
Le ministre de la Sécurité publique, Stéphane Bergeron, a annoncé son intention de déposer un projet de loi visant à créer un registre québécois des armes à feu. Le ministre a profité de la commémoration de la tuerie à l’École Polytechnique de Montréal, survenue le 6 décembre 1989, pour confirmer que le gouvernement avait l’intention d’aller de l’avant dans ce dossier. Les données du registre canadien des armes d’épaule ont été détruites par le gouvernement Harper, en raison de l’adoption en février dernier du projet de loi C-19 abolissant le registre des armes d’épaule.
Les données du registre en provenance du Québec n’ont toutefois pas encore été détruites, puisque le gouvernement du Québec s’est rapidement adressé aux tribunaux pour contester la décision des conservateurs. Le groupe Polysesouvient a «vigoureusement» applaudi l’annonce du ministre Bergeron de même que «le courage politique» du gouvernement.
6 décembre 2012 :
Le maire intérimaire de Montréal, Michael Applebaum, a tenu parole. La hausse des taxes sera finalement moins importante que prévu, passant de 3,3 % à 2,2%. Il l’a annoncé, à l’hôtel de ville de Montréal. M. Applebaum a ainsi respecté la promesse qu’il a faite aux élus municipaux au moment de sa nomination à titre de maire intérimaire. Il croit que ce nouveau budget sera adopté sans ambages. Le maire a assuré que la hausse de 2,2% servirait à financer les services aux Montréalais.
Il a ainsi annoncé l’octroi de 45 millions $ à la Sécurité publique. Aussi de 37 millions $ aux arrondissements. De plus de 10 millions $ à la Société de transport de Montréal (STM) et de 3,5 millions $ pour les bibliothèques. Le maire a par ailleurs dit avoir travaillé avec le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. Cela dans le but de réduire l’augmentation prévue des tarifs 2013 à la STM.
7 décembre 2012 :
Le nombre d’étudiants endettés et appauvris en raison de la grève étudiante est très haut. L’Université de Montréal s’attend donc à un nombre record de demandes pour des paniers de Noël cette année.
7 décembre 2012 :
Un homme de Montréal a appris une nouvelle triste à ses dépens, plus tôt cette semaine. En effet les fraudes par cartes de crédit et de débit ne se produisent pas seulement aux guichets et dans les commerces. Mais aussi dans les taxis. Le chauffeur de taxi qui a transporté Renaud Azières à l’aéroport de Montréal, lui a vidé son compte en banque après l’avoir arnaqué avec sa carte de débit. «J’étais prêt à payer cash, mais il m’a dit : Vous ne voulez pas payer Interac, carte de débit ?
J’ai dit : D’accord, bonne idée. Je mets ma carte dans la machine’ Par la suite je fais mon code comme habituellement et il reprend la machine. Il me donne le reçu et me rend la carte. Plusieurs heures plus tard, je me rends sur mon compte. Je vois que quelqu’un avait mis mon compte à zéro. Quand je regarde la carte et que je la retourne, je me rends compte que ce n’est pas ma signature à l’arrière. Il m’a rendu une fausse carte», raconte celui qui s’est fait dérober environ 2000 $.
En fait, tout a commencé lundi lorsque Renaud Azières a hélé un taxi. Il a raconté du même coup au chauffeur qu’il partait en voyage d’affaires le lendemain matin. Ce dernier s’offre alors pour conduire l’homme à l’aéroport, ce qu’il a accepté. Difficile, pour l’instant, de savoir s’il s’agit d’un cas isolé. Il semble que bien peu de gens portent plainte au Bureau du taxi et du remorquage de Montréal. Ils préfèrent au contraire de s’adresser seulement à leur institution financière.
7 décembre 2012 :
Vincent Paré-Morneau, un jeune rappeur de 18 ans, violemment tabassé dans son logement de Témiscouata-sur-le-Lac. Les auteurs du crime sont des jeunes avec qui il aurait entretenu une guerre de mots. Les deux individus cagoulés entrent chez lui vers 22h. Ils s’enfuient à la suite de la violente bagarre. Un complice les attendait à l’extérieur. La Sûreté du Québec a procédé à l’arrestation de deux suspects dans cette affaire. La victime, qui offre des performances sur YouTube, a eu la peur de sa vie. On l’a frappé au dos, à la tête et même au visage.
En souvenir de l’attaque, de profondes plaies sont visibles un peu partout sur son corps. Vincent Paré-Morneau a pu reconnaître l’un des assaillants. Il assure qu’il ne s’agit aucunement d’une histoire de drogue. Il explique qu’il s’agirait plutôt d’une rivalité malsaine entre rappeurs.
Pour compléter la lecture :
Nos sources :
- fr.canoe.ca/infos
- Branchez-vous
- Radio-Canada
- Journal de Québec
- Cyberpresse