Pourvoirie Club Gatineau

Pourvoirie Club Gatineau

Surplombant la rivière Gatineau, dans un décor enchanteur à 60 kilomètres de Ferme-Neuve, la Pourvoirie Club Gatineau accueille les visiteurs dans une nature authentique où vous apprécierez le charme et la chaleur de ce site grandiose.

Cette pourvoirie possède un territoire exclusif de six lacs pour la pêche de la truite mouchetée, la chasse à l’ours, orignal et petits gibiers. Vous pouvez aussi pêcher le doré et le brochet sur la rivière Gatineau, le réservoir Baskatong ainsi que de la truite grise ou mouchetée sur les territoires environnants. La pêche aux dorés et la cueillette de champignons pour les initiés, s’avèrent excellentes jusqu’à la mi-octobre.

Pêcher la truite dans un de nos lacs à droit exclusif et dormez au chalet du lac Lacelle ou Mctiernan. Vous apprécierez le calme et la solitude de ces lacs isolés qui recèlent de très belles prises. Il est également possible de pêcher le doré, le brochet la truite grise, l’achigan et la truite mouchetée à nos chalets aux abords de la rivière Gatineau.

La Pourvoirie Club Gatineau offre également plusieurs types de forfaits de chasse à l’ours, orignal, petits gibiers et aux oiseaux migrateurs (perdrix, canards, bécasses, oies, lièvres) ainsi que différents forfaits plein-air qui permettent d’admirer la grande beauté d’une nature sauvage.

La pourvoirie compte cinq chalets confortables ainsi qu’une salle à dîner et deux autres chalets seuls sur le bord du lac à 20 kilomètres de distance, accessibles en camion.

Le chalet du Lac Lacelle a deux chambres, un balcon avec vu sur le lac, salon avec poêle à bois, cuisine équipée et salle de bain avec douche. Le chalet du Lac Mctiernan  possèdes trois chambres, balcon avec vu sur le lac, salon avec poêle à bois, cuisine équipée et toilette sèche extérieur (pas d’eau courante).

Le Club Gatineau se veut une destination de choix pour les randonnées quad et motoneige.

Ce territoire se situe dans la région de la Montagne du Diable, sur le sentier vers Clova, à proximité des chutes César et Serpent aux abords de la Gatineau. Les possibilités d’excursions quotidiennes ou de plusieurs jours sont nombreuses.

C’est aussi un endroit idéal pour la pratique des activités plein air préférées. De multiples sentiers pédestres d’observation et de vélo sont accessibles. De plus, vous pouvez vous adonner au canot, kayak et autres activités nautiques sur le réservoir Baskatong et ses multiples plages…

La Pourvoirie du Club Gatineau est accessible en voiture par le chemin Baskatong.

Canton Wright

Situé à moins de 70 km au nord-nord-ouest de Gatineau, le canton de Wright (proclamé en 1854) est arrosé par la rivière Gatineau, qui le limite à l’est, et par de nombreux lacs portant entre autres les noms suivants : lac des Îles, lac Profond, lac Perreault, lac Paquin, lac du Castor Blanc. Ils ‘étalent sur un territoire accidenté, varié et relativement peu élevé, qui ne dépasse pas 325 m d’altitude.

La population se retrouve principalement à Gracefield, localité arrosée par la rive droite de la rivière Gatineau, à Lac-Poison-Blanc, à Wright, à Chénier et autour de nombreux lacs, surtout au nord-ouest. Le personnage honoré par cette entité est Philemon Wright, né à Woburn (Massachusetts) en 1760 et décédé en 1839 à Hull, ville qu’il a fondé avec d’autres personnes en 1800, l’année même de son immigration. Ce colonisateur et homme d’affaires, engagé dans presque tous les aspects du développement de Hull et de sa région, a même été officier de milice, juge de paix et premier député d’Ottawa à la Chambre d’assemblée du Bas-Canada.

Coordonnées de la  Pourvoirie du Club Gatineau :

1, Rivière Gatineau
Ferme-Neuve
J0W 1C0

Téléphone : 819 440-9566

Site Web de la pourvoirie : clubgatineau.com.

club gatineau
Chalets de la Pourvoirie Club Gatineau. Source de la photo : Site Internet de la pourvoirie.

Canton de Briand

Ce canton de la Gatineau, désigné peu de temps avant 1916, est baigné par la moitié nord du réservoir Baskatong. Son nom rappelle monseigneur Jean-Olivier Briand (1715-1794), d’origine bretonne, septième évêque de Québec, successeur de monseigneur Henri-Marie Dubrell de Pontbriand qui, malade, le nomma grand vicaire et responsable de l’archevêché, le 13 septembre 1759, le jour même de la chute de Québec après la bataille des Plaines d’Abraham.

Il fut sacré évêque à Suresnes, France, en 1766 et se retira au Séminaire de Québec, en 1784, pour cause de maladie. Song long mandat, qui a suivi plusieurs années de collaboration avec monseigneur de Pontbriand, s’inscrit dans une période historique caractérisée par deux événements exceptionnels : la Conquête (1759-1760) et l’Invasion américaine (1775). Sachant maintenir la bonne entente avec les autorités britanniques, monseigneur Briand s’appliqua à maintenir un climat de paix politique et religieuse, à créer de nouvelles paroisses et à favoriser l’emprise du clergé sur la population.

Voir aussi `

Laisser un commentaire