Le virus H1N1 et l’histoire du Québec
Des scientifiques annoncent qu’une deuxième vague du virus H1N1 est à prévoir, ce virus était connu auparavant en tant que grippe porcine.
Ce n’est pas la première fois qu’un virus se répand aussi largement. Par le passé, la grippe espagnole a également sévi au Québec, les lieux publics étaient fermés et des villages entiers ont disparu à cause de la maladie. Nos articles sur la grippe espagnole :
En 1918 : Théâtres, écoles, cinémas, salles de danse et autres lieux publics doivent être fermés dès aujourd’hui (le 8 octobre 1918) jusqu’à nouvel ordre (…).
Lire la suite : Mesures énergiques contre la grippe espagnole
Pour compléter la lecture :
- Histoire de la grippe espagnole
- Ligne du temps – 1918
- Agence de la Santé publique du Canada
Bonne lecture!
(Infolettre, envoyée le 20 septembre 2009).
Virus de Fenris
Le virus de Fenris emprunte son nom au nom du grand loup de la mythologie scandinave. On en sait encore peu à son propos.
Probablement, s’agit-il d’un produit de l’ingénierie génétique, conçu à dessein. Ses symptômes sont les suivantes : le virus franchit la barrière du cerveau et attaque le nucleus caudatus et l’hyppocampe. Il exerce une action paralysante sur l’amygdala, le module d’anxiété du système limbique. La conséquence est l’absence d peur. Le seuil d’angoisse s’abaisse et les schémas de comportement social sont réprimés. Cela donne des résultats comme l’obéissance aveugle, le mépris de la mort et un manque de pitié effrayant.
Il n’existe aucune thérapie, aucune médication. On utilise pour ainsi dire la manière forte pour contrer le virus – la cautérisation. La personne infectée doit être maintenue pendant au moins quatre-vingt heures à une température de quarante-deux degrés Celsius. La plupart en meurent.
(D’après Wolfgang Jeschke, Le Jeu de Cuse. Traduit de l’allemand par Christina Stange-Fayos. L’Atalante, Nantes, 2005).
