Immeubles par localité

S’établir à Saint-Jérôme

S’établir à Saint-Jérôme

S’établir à Saint-Jérôme

Située à mi-chemin entre Montréal et Mont-Tremblant, à une demi-heure de route de Montréal, la ville de Saint-Jérôme est la capitale des Laurentides et l’un des centres urbains les plus importants dans cette belle région. Les citoyens de Saint-Jérôme y ont développé un mode de vie privilégié, possible aux seuls points de rencontre d’un milieu urbain développé et d’une nature encore sauvage. La capitale des Laurentides est la porte d’entrée de vastes vallées, des montagnes de feuillus et de conifères colorés par l’automne, et de lacs tranquilles. La rivière du Nord traverse le centre-ville.

Saint-Jérôme est une ville qui se distingue par une vie paisible dans un environnement sain. Elle offre un milieu de vie incomparable à ses habitants.

Les citoyens de la ville ont un accès à d’utilités publiques modernes, aux centres de santé, des infrastructures récréatives, un grand nombre de parcs de détente. Le parc linéaire le P`tit Train du Nord, l’un des plus longs parcs linéaires du Canada, a son point de départ à Saint-Jérôme. Bref, il est très agréable de se promener aux quatre coins de Saint-Jérôme.

La ville offre à ses résidents un accès à une diversité d’habitations dans les différents quartiers, en plus bien sûr d’un accès à des infrastructures récréatives et d’utilités publiques modernes, à un service de transport en commun, à des réseaux de santé et d’éducation, à de nombreuses entreprises, industries et commerces, à un environnement sain et une vie paisible.

Le développement résidentiel est en pleine effervescence à Saint-Jérôme. Plusieurs projets résidentiels d’importance y sont en cours d’exécution, en cours de construction ou dont la réalisation débutera dans un avenir rapproché. Le développement résidentiel est appuyé sur une planification rigoureuse, la gamme étendue des services municipaux, la fiscalité avantageuse, les liaisons rapides avec les autres pôles d’emploi et les universités, la présence des établissements de santé et de services sociaux, le réseau privé et public d’enseignement et de formation professionnelle, ainsi que les nombreux commerces et services. Vous n’aurez pas à vous déplacer pour vous équiper d’une voiture, par exemple, il suffit de choisir le modèle que vous convienne le mieux chez un chez un concessionnaire auto à St-Jérôme. Bref, cette ville est le pôle de services publics et parapublics le plus important au nord de Montréal et de Laval.

Saint-Jérôme, berceau de la colonisation du Nord du Québec, a toujours joué un rôle moteur dans le développement des Laurentides. De nombreuses entreprises s’y sont établies. Leur nombre est appelé à augmenter puisque la ville a ouvert un nouveau parc industriel en marge de l’autoroute 15.

Le vaste programme de revitalisation du centre-ville a permis de donner une cure de rajeunissement au patrimoine bâti. La création du pôle de magasins à grande surface a été l’occasion d’élargir la gamme de produits et de services déjà offerte par les centres commerciaux et le centre-ville, si bien que Saint-Jérôme est maintenant l’une des destinations de magasinage les plus populaires des Laurentides.

Notons également que Saint-Jérôme a entrepris une démarche visant à devenir Municipalité amie des aînés (MADA). À cet effet, le conseil municipal de la Ville de Saint-Jérôme a adopté une politique ainsi qu’un plan d’action en faveur des aînés. En déposant sa candidature, la Ville de Saint-Jérôme s’est dotée d’une Politique des aînés afin d’améliorer la qualité de vie des citoyens aînés. Ses buts rejoignent ceux de la certification MADA. Le Quartier 50+ de Saint-Jérôme est un centre récréatif municipal destiné aux citoyens de 50 ans et plus. Ce centre est situé au 425, boulevard Jean-Baptiste-Rolland Est, voisin du stationnement du train de banlieue. Le Quartier 50+ comporte un gymnase, une salle de billard, une dizaine de terrains de pétanque intérieurs, cinq surfaces de shuffleboard intérieures, une salle de spectacle, une salle d’informatique, une aire de restauration et de nombreuses salles multifonctionnelles.

Saint-Jérôme est une ville très accessible à partir de Montréal, peu importe si vous voyagez en autobus, en voiture ou en train. En effet, plusieurs routes relient cette ville aux villes voisines, dont l’autoroute des Laurentides (autoroute 15) et la route 117 (boulevard du Curé-Labelle).

Secteur de Saint-Antoine

Localité résidentielle à la porte des Laurentides, au nord-ouest de Montréal, en banlieue sud de Saint-Jérôme, à 4 km, Saint-Antoine a d’abord existé sous le nom de Saint-Antoine-des-Laurentides, comme paroisse à compter de 1940. Par la suite, elle devait devenir une municipalité de village sous le même nom, officiellement établie en 1956. À l’occasion de la modification du statut municipal en celui de ville, en 1967, l’appellation devait être abrégée en Saint-Antoine, éliminant la précision régionale Laurentides, nom créé par l’historien François-Xavier Garneau en 1845. Cette dénomination honore la mémoire d’Antoine Labelle (1833-1891), familièrement identifié comme le curé Labelle, qui a mis son ardeur et son enthousiasme au service de la colonisation dans les Pays-d’en-Haut. Son action sur l’ensemble du comté de Labelle lui a valu le surnom mérité de Roi du Nord. Jadis identifiés comme des Laurentiens, à l’époque où la municipalité s’appelait encore Saint-Antoine-des-Laurentides, les citoyens sont devenus depuis les Antoniens, gentilé établi à partir de la transposition latine d’Antoine, Antonius.

Historique de la Ville de Saint-Jérôme

La situation géographique de cette municipalité érigée sur les bords de la rivière du Nord, entre Bellefeuille et Saint-Antoine dans les Laurentides, ainsi que sa vocation historique lui ont valu les titres mérités de Seuil, Portique et Capitale des Laurentides et surtout celui de Reine du Nord. Bien qu’une chapelle soit érigée en 1821, l’essor du peuplement est marqué par l’arrivée d’Irlandais et d’Écossais vers 1835.

Le premier curé, en 1837, est un prêtre d’origine irlandaise, Étienne Blyth. Fondée en 1832, la paroisse de Saint-Jérôme-de-la-Rivière-du-Nord fera l’objet d’une érection canonique en 1834 et civile en 1856. Sa dénomination passera directement à la municipalité de paroisse créée en 1845 et abolie en 1847. Tout comme le bureau de poste ouvert en 1845, la municipalité de village instaurée en 1856 portera le nom abrégé de Saint-Jérôme, maintenu en 1881 lors de l’obtention du statut de ville.

Entre 1845 et 1857, le territoire municipal subira de nombreuses amputations, notamment pour la création de Saint-Janvier-de-Blainville et de Saint-Sauveur. Celui qui jouera un rôle déterminant dans le destin des Jérômiens est le célèbre curé Antoine Labelle (1833-1891), qui, à compter de 1868, accorde un rôle primordial à la paroisse dans la colonisation du Nord et obtiendra l’établissement du transport ferroviaire entre Montréal et Saint-Jérôme en 1876.

Au début du XXe siècle, l’endroit répondait à l’appellation de Dumontville, en l’honneur de Nicolas-Eustache ou Nicolas Lambert Dumont (1767-1835), seigneur des Mille-Îles qui fait don de l’emplacement sur lequel l’église sera construite. Quant à Saint-Jérôme, qui évoque le docteur de L’Église (vers 347-420) dont l’œuvre écrite est considérable et dont la renommée est tributaire de la traduction latine de la Bible, la « Vulgate », reconnue par L’Église catholique, cette appellation se voudrait un hommage à Jérôme de Longpré, pionnier, qui n’était toutefois âgé que de 6 ans lorsque le nom de la paroisse a été retenu. Carrefour régional de services et d’industries, chef-lieu de la région de Terrebonne, siège de la plus ancienne fabrique de capitale régionale au dynamisme et à l’esprit d’initiative de ses citoyens, les Jérômiens.

Centre-ville de Saint-Jérôme

Centre-ville de Saint-Jérôme. Source de la photographie :  Yvan Leduc

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *