Vivre dans la ville de Rosemère
La ville de Rosemère, située au nord de Montréal sur les berges de la rivière des Mille-Îles, à quelques minutes de Laval, regroupe environ 14 500 résidents.
Rosemère est connue pour la beauté de son territoire et elle s’est dotée de plusieurs institutions culturelles, sociales et sportives. C’est une ville résidentielle avec l’un des plus bas taux de taxation parmi les régions urbanisées. De plus, les services communautaires de la ville sont bien organisés et les citoyens de Rosemère ont le choix entre divers établissements solaires et lieux de culte. On y compte de nombreuses écoles françaises et anglaises, publiques et privées, ainsi que des églises de plusieurs confessions. La ville compte également un excellent réseau de parcs, bien au-delà des normes en terme de superficie. Il n’y a pas moins d’une quinzaine de parcs. La ville a gagné plusieurs concours provinciaux, nationaux et internationaux parmi les villes les plus vertes de la planète.
On trouve entre autres à Rosemère : une bibliothèque, des lieux d’exposition, une chorale et on y célèbre plusieurs fêtes en plein air.
Le développement résidentiel de la ville est exceptionnel. Le taux d’augmentation de la population est actuellement l’un des plus hauts au Québec et il reste encore des centaines de terrains à développer.
Depuis 1975, s’est implanté dans la ville de Rosemère, l’Office municipal d’habitation. Cet organisme gère les Terrasses Rosemère, une résidence pour personnes âgées.
Rosemère est facilement accessible par les autoroutes 13 et 15 et par la route 640.
Historique de la ville de Rosemère
Ville résidentielle des Laurentides, sise au cœur de plus de 11 km2 de forêts et baignée par la rivière des Mille Îles, Rosemère est voisine dizaine de kilomètres au sud de Blainville, dans la grande banlieue de Montréal. On y retrouve un grand nombre d’oiseaux protégés comme dans une véritable réserve. Détachée de Sainte-Thérèse-de-Blainville en 1947 pour former une municipalité de paroisse, Rosemère allait accéder au statut de ville en 1958. Cependant, dès 1837, les lieux, situés dans la partie de la seigneurie des Mille-Îles colonisée au début du XVIIIe siècle, vont servir de quartier général aux troupes anglaises durant la révolte de Saint-Eustache. Le nom municipal, porté également par le bureau de poste entre 1901 et 1960, remonte à 1880, alors qu’un dirigeant du Canadien Pacifique, J.P. Withers, observant l’abondance des rosiers sauvages, attribue à une gare implantée le long de la rivière des Mille Îles la dénomination Rosemere, qu’il fait enregistrer à Ottawa la même année. Tirée de l’anglais rose et mere, mot anglo-saxon du XIe siècle signifiant marais, le nom sera francisé par l’ajout d’un accent dans les années 1940.
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