Acheter un immeuble à Lévis
La ville de Lévis regroupe environ 130 mille habitants. Plusieurs bibliothèques, des piscines extérieures et intérieures, une école de ski alpin, des chalets et près de deux cents kilomètres de réseau cyclable sont de bons éléments en faveur de Lévis au moment de choisir votre lieu de résidence.
Un résident sur trois de la région administrative des Chaudière-Appalaches habite à Lévis. La ville constitue donc le principal pôle de développement urbain de la région. De plus, le taux de chômage dans la ville de Lévis est relativement faible.
Le secteur résidentiel est en nette progression à Lévis avec une demande pour des permis de construire en constante progression.
Cette croissance est attribuable au développement résidentiel au cours des dernières années et aux projets de construction d’unités de condominiums, de complexes résidentiels et de résidences pour personnes âgées. De plus, la Ville de Lévis développe un projet d’habitations à loyer modique, programme qui implique près d’une douzaine d’unités.
Le quartier de Saint-Romuald est l’un des plus intéressants pour s’établir à Lévis du fait de l’implantation récente de nombreux commerces et bureaux. Il existe également des projets d’aménagement des zones résidentielles et de rénovation du réseau routier dans ce quartier.
Pointe Atkinson
Située au cœur du quartier de Saint-Romuald (anciennement, la ville de Saint-Romuald), la pointe Atkinson s’avance dans le Saint-Laurent à l’embouchure de la rivière Etchemin, à 4 km en aval du pont de Québec. Constituée à l’origine de trois îlots distincts obstruant l’entrée de la rivière, aujourd’hui, à la suite de diverses transformations, la pointe est devenue une véritable presqu’île. C’est d’abord le seigneur de Lauzon Henry Caldwell qui réunira les deux îles principales par des travaux de remplissage et y aménagera un système d’écluses destiné à alimenter en eau l’importante scierie dont il a entrepris la construction en 1806. Ayant acquis cette propriété en 1944 pour y établir un juvénat, les Frères de l’Instruction chrétienne y rattacheront à leur tour le troisième îlot. Au cours de leur histoire, ces îlots ont connu diverses vocations reliées à l’industrie du bois, mais c’est à la suite de leur acquisition en 1856 par Henry Atkinson que leur désignation actuelle Pointe Atkinson s’est installée dans l’usage. Toutefois, les changements de propriétaires, survenus depuis, lui auront quand même valu plusieurs appellations telles Pointe des Frères, La Pointe et Pointe chez Atkinson.
Hameau de Ville-Guay
En plus d’identifier un hameau compris dans les limites municipales de Lévis, à quelque 2,5 km à l’est de la pointe de la Martinière, le long du boulevard de la Rive-Sud, ce toponyme désigne un ruisseau qui coule au sud du hameau.
Ville-Guay rappelle le souvenir de monseigneur Charles Guay qui, en 1901, a fondé l’hospice de l’endroit pour venir en aide aux défavorables de la paroisse. Sur un plan cadastral de la paroisse de Saint-Étienne-de-Beaumont, on mentionne incidemment l’anse de l’Hospice-Guay. Monseigneur Guay, fils de Charles Guay et de Françoise Michaud, naît en 1845. Ordonné prêtre en 1870 à Québec, il commence son ministère comme vicaire à Saint-Flavie.
Premier curé de la paroisse de Notre-Dame-du-Sacré-Cœur à Rimouski, en 1875, il sera, deux ans plus tard, nommé vicaire honoraire chargé de recueillir les fonds pour l’œuvre du Séminaire. Il est curé de Ristigouche en 1884 et se retire en 1890 à Saint-Joseph-de-la-Pointe-de-Lévy où il meurt en 1922. Un bureau de poste nommé également Ville-Guay a desservi le hameau de 1905 à 1934 et de 1937 à 1969.
Secteur résidentiel Chaudière-Bassin
Ce secteur résidentiel de Saint-Romuald, à quelques kilomètres au sud-ouest de Lévis, s’est développé sur les bords d’une anse passablement échancrée où s’effectue la confluence de la Chaudière et du Saint-Laurent. Les eaux relativement calmes du bassin ainsi formé contrastent avec la turbulence des rapides et des chutes de la Chaudière, immédiatement en aval, et elles ont favorisé l’implantation d’un port de plaisance. Un chemin de fer de service, en provenance de Breakyville, y aboutissait autrefois et servait au transport du bois expédié outre-mer par le petit port voisin de New Liverpool. Un bureau de poste, désigné Chaudière Basin, puis Chaudière-Bassin, y fut en activité de 1893 jusqu’à 1961. Lors de sa fermeture, on tenta sans succès d’imposer l’appellation Bassin-de-la-Chaudière, mais l’usage populaire s’en est tenu à la forme ancienne de Chaudière-Bassin, officiellement reconnue en 1974.
Voir aussi:
- Armoiries de Lévis
- Lévis touristique
- Lieu historique Forts de Lévis
- Chaudière-Appalaches
- Centre d’Arts de Lévis
- La Conquête, la campagne de 1759
- La Conquête, la campagne de 1760
- L’église de Saint-Henri
- L’église Saint-Joseph-de-Lauzon
- Louis Fréchette
- Maison Desjardins
- Travailler à Lévis
- Festivent
- Peuples autochtones