Acheter immeuble à Terrebonne
La nouvelle ville de Terrebonne regroupe les anciennes villes de Lachenaie, La Plaine et Terrebonne. La situation géographique de la ville de Terrebonne est très avantageuse, grâce à la présence à proximité de la localité de certaines des principales artères routières du Québec, notamment les autoroutes 19, 25 et 640. De plus, la ville se trouve à environ 20 minutes de Laval et à une demi-heure de Montréal.
Avec sa population de plus de cent mille habitants, Terrebonne est la dixième ville en importance du Québec.
Si vous décidez de vous établir à Terrebonne, vous pourrez profitez de tous les avantages d’une grande ville, mais avec des taxes relativement peu élevées. On affirme qu’à Terrebonne se trouve le meilleur rapport qualité/prix du Grand Montréal, et le plus grand choix de maisons et de condominiums dans la couronne nord.
Qu’il s’agisse d’un bungalow, d’un cottage, d’un condominium ou d’un multiplex, le marché immobilier neuf à Terrebonne est plus que florissant. De plus, la ville de Terrebonne envisage un grand nombre de nouveaux projets domiciliaires.
En conséquence, les possibilités d’acheter un immeuble à Terrebonne sont aujourd’hui quasiment illimitées !
Ruisseau de la Pinière
Ce petit cours d’eau qui naît sur un plateau à l’ouest de Terrebonne à quelque 50 m d’altitude, serpente sur 4 km et va se jeter dans la rivière des Mille Îles vis-à-vis de l’île aux Vaches. Toponyme descriptif, il rappelle l’existence d’une ancienne pinière à cet endroit et qui est signalée dans le journal de voyage du père Antoine Dalmas, en 1674. On trouve aussi Pointe aux Pins dans l’aveu et dénombrement de la seigneurie de Terrebonne en 1736. Le ruisseau, quant à lui, était déjà nommé en 1743. Le terme pinière, rarement utilisé en France où on lui préfère pinède depuis la première moitié du XIXe siècle, est toujours bien vivant au Québec. Variante : Ruisseau Ouimet-Gascon.
Municipalité de paroisse La Plaine
Parce que la paroisse voisine du territoire situé dans la région de Lanaudière et contigu à Mascouche et à Terrebonne était dénommée Sainte-Anne-des-Plaines, n a retenue le nom de saint Joachim, pour la paroisse érigée en 1922 et arrosée par la rivière Saint-Pierre.
Le motif repose sur le fait que saint Joachim est l’époux de sainte-Anne et, en raison de la proximité des lieux, ce lien s’est imposé. Cependant, comme l’usage local retenait davantage La Plaine, attribué au bureau de poste dès 1879, on a modivié, en 1969, l’appellation de Saint-Joachim – quelquefois rencontrée sous la forme de Saint-Joachim-de-la-Plaine – pour cette dernière.
La Plaine est le nom attribué à toute la région environnante par le seigneur de Terrebonne, l’abbé Louis Lepage de Sainte-Claire (1690-1762), propriétaire de la seigneurie en 1720 et curé de la paroisse de Saint-Louis-de-Terrebonne de 1724 à 1751. Il voulait ainsi souligner que le site se trouve sur une surface assez uniforme et sans relief notable, dans la plaine de Montréal, elle-même partie de la grande plaine du Saint-Laurent. Ce nom provient de celui de l’augmentation de la seigneurie de Terrebonne, nommée Belle Plaine, qui lui avait été concédée en 1731.
Les premiers mots du décret d’érection canonique de la paroisse de Sainte-Anne-des-Plaines (1829) sont précisément : « La dite seigneurie de la Belle Plaine ou des Plaines… ». Selon certains, le mot « plaine » proviendrait de la transposition en français du sens du terme algonquin « Maskutew, plaine unie », qui a donné Mascouche et qui était appliquée par les Amérindiens à l’ensemble territorial formé aujourd’hui de La Plaine, Mascouche, Terrebonne et Lachenaie. Mais on interprète parfois ce mot comme « petit ours » et cette explication demeure problématique quant à l’origine véritable du nom du lieu de résidence des Plainois. L’agriculture demeure l’une des principales vocations économiques de La Plaine, bien que le secteur résidentiel ait connu un développement important au cours des dernières années.