S’installer à Danville

S’installer à Danville

Danville se trouve dans la région administrative de l’Estrie. Cette belle ville est située à environ une heure quarante de Montréal et de Québec, à la croisée des routes 116 et 255, à deux pas de l’autoroute 20.

Danville se distingue par ses magnifiques maisons patrimoniales et son décor enchanteur. La municipalité offre l’accès à divers services, tels l’aréna, la piscine, des écoles primaires anglophones et francophones, des garderies, une bibliothèque, un journal communautaire, une société d’histoire et divers organismes communautaires, dont un office municipal d’habitation, ainsi que presque tous les commerces et services pouvant répondre aux besoins des résidents.

Le secteur résidentiel de la ville connaît un nouvel essor. Des logements de qualité et à des prix raisonnables y sont construits dans le cadre d’un plan d’urbanisme, notamment dans les rues Hémond et Comtois.

La municipalité dispose de terrains à vendre pour la construction résidentielle, avec service d’aqueduc et d’égout,. Ces terrains se trouvent près d’un bois et avec une vue remarquable sur la campagne.

Remarquons que le nombre de lieux de culte est important. En effet, on y trouve six église de confessions différentes.

En général, Danville a conservé son caractère résidentiel et un charme indéniable.

Canton de Shipton

Proclamé en 1801, bien arrosé par la rivière Landry et par quelques autres ruisseaux, ce canton est situé à mi-chemin entre le Saint-Laurent et le 45e parallèle servant de frontière entre le Canada et les États-Unis. Son territoire légèrement ondulé et variant autour de 190 mètres d’altitude, est occupé par le hameau de Denison Mills, la ville de Danville et principalement par celle d’Asbestos. Le nom de cette division territoriale, relevé sur la carte de Gale et Duberger de 1795, a été emprunté à l’un ou l’autre des sept ou huit localités qui portent le nom de Shipton en Angleterre.

Historique de la Ville de Danville

D’abord érigée sous le statut de municipalité de village en 1860, Danville allait obtenir celui de ville en 1858. La communauté danvilloise, installée près de Shipton en Estrie, à quelques kilomètres au nord-ouest d’Asbestos, était jadis à vocation agricole, activité qui demeure encore importante de nos jours.

Baigné par la rivière Danville qui coule au sud-est de la ville, le territoire a été colonisé dès 1801 par un groupe de Loyalistes provenant de Danville, établie dans le Vermont en 1784 et dont le nom, aux éléments agglutinés par suite de la suppression de l’apostrophe, célèbre le souvenir de Jean-Baptiste Bourguignon d’Anville (1697-1782), géographe français et l’un des meilleurs cartographes de l’Amérique du Nord du XVIIIe siècle. En 1779, le roi Louis XVI se portait acquéreur de la collection personnelle de cartes et de plans, formée de quelque 211 documents.

En 1845, on procédait à la fondation de la paroisse de Sainte-Anne-de-Danville, érigée canoniquement en 1867 et civilement l’année suivante. Dès 1832, un bureau de poste ouvert à cet endroit portait le nom de Danville.

Mont Scotch

Situé à l’ouest de la route qui joint Richmond à l’agglomération de Danville et à 5 km au sud-ouest de celle-ci dans le canton de Shipton, le mont Scotch, s’élève à 320 m d’altitude. Ses 3 km de longueur, sa forme presque circulaire ainsi que sa dénivellation justifiaient l’emploi du générique Mont plutôt que celui de Colline comme il était identifié avant 1985. L’explication la plus plausible du spécifique Scotch vient du fait que des Écossais, demeurant à proximité du mont, travaillèrent à sa mine d’amiante d’Asbestos ouverte au début du XXe siècle. Toutefois des Écossais habitaient le canton de Shipton dès la première moitié du XXe siècle. Ce nom paraît en 1924 sur la carte topographique Drummond.

Centre cycliste de Danville
Centre cycliste régional de Danville. Source de la photographie : Danville.

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