Projet résidentiel à Boisbriand

S’établir à Boisbriand

La ville de Boisbriand, située dans les Basses-Laurentides, fait partie de la communauté métropolitaine de Montréal et regroupe plus de 27 mille résidents.

Aujourd’hui, Boisbrand est devenu l’un des lieux de prédilection pour les jeunes couples qui désirent acquérir un logement. Il suffit, pour s’en convaincre, de constater l’ampleur des travaux dans le grand chantier du projet de Faubourg Boisbriand.

Le Faubourg Boisbriand se veut à la fois un lieu de travail, d’habitation, de prestation de services et de loisir. On prévoit qu’un grand nombre de commerces, boutiques, restaurants et cafétérias, ainsi que des entreprises industrielles s’y installeront dans les années à venir. Le Faubourg Boisbriand sera un pôle d’attraction pour la région du nord de Montréal et permettra en outre de créer plus de 2 500 emplois.

Une fois complété, le projet Faubourg Boisbriand permettra d’augmenter la valeur foncière des immeubles de Boisbriand de façon exponentielle, pour atteindre 775 M$, dont 290 M$ pour la partie commerciale, 365 M$ pour le secteur résidentiel et 120 M$ pour la zone industrielle (en chiffres de 2006, l’année du début des travaux de construction. La première phase se termine à l’automne 2007, et plusieurs commerces y sont déjà en place.

De plus, le gouvernement du Québec et les autorités de Boisbriand ont décidé d’effectuer le réaménagement complet de l’échangeur des autoroutes 15 et 640 à Boisbriand. Cela permettra de faciliter l’accès au site Faubourg Boisbriand qui générera beaucoup d’achalandage. La nouvelle configuration de l’échangeur des autoroutes 15 et 640 doit être terminée en 2011.

Le développement résidentiel sera d’une durée estimée de trois à quatre ans. On y construira des résidences à habitations multiples, telles que des condominiums et des blocs de logements de moyenne et de haute densité. Selon les plans, aucune résidence unifamiliale n’y sera donc érigée.

À terme, plus de 8 000 unités d’habitation seront aménagées au cœur de Faubourg Boisbriand.

Historique de la ville de Boisbriand

Entre Saint-Eustache et Sainte-Thérèse, au sud-est de Mirabel, constituée à même le territoire de Sainte-Thérèse-de-Blainville, on créait, en 1946, la municipalité de Sainte-Thérèse-Ouest dont le nom reflète l’origine de manière évidente.

Le point cardinal qui y figure marque qu’elle occupait la partie occidentale de l’ancienne seigneurie des Mille-Îles, concédée originellement en 1683 à Michel-Sidrac Dugué (Du Gué), sieur de Boisbriand (1638-1688). Il a reçu en 1672 un fief sur les bords du lac des Deux Montagnes, et l’a baptisé Boisbriand, titre qu’il portait probablement déjà à son arrivée au pays en 1665, en raison d’une seigneurie que sa famille ou lui-même possédait en France. On relève à l’époque la graphie répandue Boisbriant qui a longtemps subsisté par la suite.

L’un des premiers seigneurs de la région montréalaise, il a été un militaire chevronné, capitaine du régiment de Carignan-Salières et commandant militaire de Ville-Marie en 1670. C’est en 1974 que les autorités gouvernementales lui rendaient hommage en modifiant la nomination de Sainte-Thérèse-Ouest en Boisbriand.

De nombreux Boisbriannais assurent leur subsistance grâce à l’usine de la Compagnie Général Motors, spécialisée dans l’assemblage d’automobiles. L’importance de cette industrie a valu, jusqu’ici, à Boisbriand le surnom de Ville de l’automobile au Québec.

Boisbriand, ville
Hôtel de ville de Boisbriand. Source de l’image: facebook.com/VilledeBoisbriand.

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