Attraits de la Ville de Beauceville
La Ville de Beauceville, située dans la région des Chaudière-Appalaches, à 55 kilomètres de la frontière de l’État du Maine et à 120 kilomètres de Sherbrooke, offre aux nouveaux arrivants au Québec, une qualité de vie incomparable.
L’économie de la municipalité est très développée et Beauceville a su concilier les valeurs traditionnelles et la recherche du progrès.
Les autorités de la ville de Beauceville soutiennent de nombreux projets de développement résidentiel, tels que :
- Développement Le Bocage
- Développement Martin Jacques
- Placements Du Roy
- Développement 19e Avenue Sud
- Développement David Poulin
- Développement Place Bellevue
La ville de Beauceville offre aux promoteurs et aux constructeurs des programmes de subvention à la construction et à la rénovation.
Secteur de Saint-François-Ouest (ancienne municipalité de Saint-François-Ouest)
Cette ancienne municipalité de la Beauce titre sa dénomination de sa position géographique à l’ouest de la municipalité mère de Saint-François-de-Beauce dont elle a été détachée en 1933. Située immédiatement à l’est de Saint-Jules, Saint-François-Ouest est distante de 10 km de Saint-Victor, plus au sud. La partie nord du territoire est parcourue par le bras Saint-Victor alors que la partie sud-est est drainée par la rivière du Moulin et le ruisseau des Meules. Il convient de préciser que c’est sur le territoire de cette municipalité que le peuplement de la seigneurie Rigaud De Vaudreuil ou Saint-François-de-la-Nouvelle-Beauce a débuté et que se trouve le site de la première chapelle (1765-1784), à l’embouchure du ruisseau Bernard, face à l’île Boisée.
Secteur de Saint-François-de-Beauce (ancienne municipalité de Saint-François-de-Beauce)
Le territoire de cette municipalité encercle, avec celui de Saint-François-Ouest, la municipalité de Beauceville, à 15 kilomètres au sud de Saint-Joseph-de-Beauce.
La troisième localité de la Beauce commence à exister avec la fondation, en 1837, de la seigneurie Rigaud De Vaudreuil, ou Saint-François-de-la-Nouvelle-Beauce et avec l’instauration d’une mission, desservie à l’origine, comme Sainte-Marie, à partir de Saint-Joseph, qui deviendra officiellement la paroisse de Saint-François-d-Assise en 1835.
En 1769, la desserte de Saint-François est fermée et ne sera rouverte qu’en 1783. Le nom cependant a subsisté et sera confirmé en 1784. Par la suite, cette appellation sera transférée à la municipalité de Saint-François-de-Beauce en 1957. Toutefois, en 1845, une entité municipale de paroisse instituée en 1855, devenue la municipalité de Saint-François-de-Beauce en 1957. Toutefois, en 1845, une entité municipale répondant au nom de Saint-François-de-la-Beauce avait été créée et abolie en 1847 pour devenir partie de la municipalité de comté.
Le bureau de poste établi en 1852 était identifié sous la dénomination de Saint-François-de-Beauce. Une double explication justifie le choix du saint patron. Suivant l’une d’elles, on aurait voulu rendre hommage au père François Carpentier, récollet qui arrive au Canada en 1737 et dessert toute la Nouvelle-Beauce ainsi que la paroisse de 1737 à 1743 et qui remplit les fonctions de curé de Saint-Nicolas (1749-1751). Il meurt en 1773. Le choix de saint François d’Assise (vers 1182-1226) se serait tout naturellement imposé, car les Récollets, qui constituent une branche de l’ordre des Frères Mineurs fondé par François d’Assise, ont joué un rôle de premier plan en Nouvelle-France et en Nouvelle-Beauce.
On peut croire cependant que les François étaient nombreux à l’époque, ce phénomène a pu avoir quelque influence. Selon une deuxième version traditionnelle, il s’agirait d’une allusion à François-de-la-Nouvelle-Beauce, gouverneur de Trois-Rivières en 1749 et de Montréal en 1757. Les deux positions paraissent davantage complémentaires et plausibles que contradictoires.
Le territoire de Saint-François-de-Beauce a été affecté au cours des ans de nombreux détachements qui ont donné naissance à quelques municipalités voisines comme Beauceville (1904), Beauceville-Est (1930), Saint-François-Est (1933) et Saint-Simon-les-Mines (1950).
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