
Acheter une maison à Coaticook
La perle des Cantons de l’Est avec ses vallons, ses forêts et ses collines, est située dans la partie la plus élevée de la région.
L’essor économique de ces dernières années a transformé Coaticook en un lieu des plus attirants pour les nouveaux arrivants au Québec. La ville est très dynamique et plus de cent boutiques et magasins divers desservent ses habitants.
Il faut reconnaître toutefois que la pénurie de logement qui affecte l’ensemble des grands centres du Québec touche aussi Coaticook. En effet, la conséquence du développement économique et de la qualité de vie offerte par la ville est la rareté des logements disponibles.
Si cette situation perdure, elle risque d’avoir des répercussions négatives sur la croissance économique de Coaticook.
Peu de nouveaux logements sont mis sur le marché, mais la municipalité est à la recherche de solutions pouvant servir à la fois aux promoteurs et aux futurs résidents.
Le développement résidentiel est un objectif primordial pour assurer le développement de la ville, aussi faut-il attendre que de nouveaux projets de construction voient le jour.
Historique de la ville de Coaticook
Au centre d’une région agricole prospère, fondée par le Loyaliste Levy Baldwin et au sud de Sherbrooke, la ville de Coaticook existe depuis 1864, alors que l’endroit était érigé comme municipalité du village, par suite de son détachement de la municipalité du canton de Barnston.
Celle-ci recevra son statut de ville en 1883. Une paroisse répondant au nom de Saint-Edmond y était fondée en 1868 et érigée canoniquement en 1872. La rivière Coaticook, qui traverse la ville avant de s’engouffrer dans une gorge profonde, la gorge de Coaticook, située dans la partie nord de cette municipalité, a donné son nom à l’entité municipale. En abénaquis, Koatikeku, rivière de la terre du pin, est formé du préfixe « koa » qui signifie « pin » et du suffixe « tegw » ou « ttew » qui a pour sens « rivière » ; ainsi, la Coaticook était identifiée comme « la rivière du pin » par les Amérindiens, en raison du grand nombre de cette variété d’arbres qu’on retrouvait jadis sur les bords. En iroquois, cette entité était identifiée Kwaktakwich, « quelque chose qui est croche et qui se redresse ».
L’omniprésence de la verdure et des sites bucoliques sur le territoire coaticookois a valu à la ville des surnoms chatoyants de Bocage de l’Estrie, de Perle des Cantons-de-l’Est, Perle de l’Estrie ou encore d’Écrin de perle dans la verdure. Centre agricole, industriel et commercial, Coaticook compte le siège de la MRC homonyme.

Hôtel de ville de Coaticook sur une carte de souhaits ancienne. Photo libre de droits.
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