Îles-de-la-Madeleine

Île de la Grande-Entrée

Île de la Grande-Entrée

L’île de la Grande-Entrée

L’île de la Grande–Entrée est plate, sans collines ni sommets. Cette île a été traditionnellement un l’endroit d’où la pêche était pratiquée. L’île est très verte. Elle est peu peuplée. Au Québec, elle est connue comme la capitale du homard.

L’île de la Grande – Entrée est située à 60 km de Cap–aux–Meules et tout visiteur qui se respecte vient la voir lorsque la visite dans l’archipel des Îles-de-la-Madeleine.

Un joli port de la pointe de la Grande – Entrée concentre près de la moitié de la flotte de pêcheurs de homards au Québec. Le magnifique coucher du soleil peut être observé de cette île en fin de journée, présentant des somptueuses vue des lumières. Les paysages est émaillés de curieuses falaises de couleur rouge.

Aux îles de la Madeleine, deux lieux intègrent ce terme à leurs noms : l’île d’Entrée et Grande-Entrée (sur la route 199). Les navires qui se dirigent vers le port de Cap-aux-Meules doivent contourner l’île d’Entrée, la seule qui ne soit pas reliée au reste de l’archipel par un cordon dunaire et par la route 199. En forme plus ou moins de trapèze et dominée par une haute colline herbeuse, the Big Hill, comme disent sa centaine d’habitants, l’île porte donc très bien son nom. Dès les débuts, elle a été colonisée par des Écossais et quelques Irlandais, venus de Grosse-Île ou encore de la Nouvelle-Écosse. Déjà, en 1756, elle figurait sur une carte anglaise sous le nom d’Island Entrée. Aujourd’hui, les gens disent plutôt Entry Island. Un traversier y fait la navette deux fois par jour: un bel endroit pour s’y promener les cheveux au vent, pour pique-niquer au pied du phare construit en béton armé. La petite église patrimoniale anglicane All Saints demande un arrêt.

Comptant un peu pus de 600 habitants Grande-Entrée, est le premier port de pêche des îles. Qualifiée de capitale québécoise du homard, la localité à grandi à l’abri d’un havre naturel protégé par deux pointes qui laissent l’eau et les bateaux passer entre elles. Plages, cavernes, paysages, bains d’argile, oiseaux qui décorent le ciel, maisons colorées, bateaux de pêche qui dansent doucement, pêcheurs toujours prêts à piquer une jasette constituant son univers. Ne pas oublier de visiter le Centre d’interprétation du phoque, intégré à l’auberge La Salicorne. La nouvelle église, qui a remplacé celle, centenaire, qui a brûlé en 2014, est à visiter. Et à admirer.

Historique de la Grande-Entrée

Voisine de la Grosse-Île aux îles de la Madeleine, la municipalité de la Grande-Entrée a été officiellement instituée en 1929. La configuration géographique du territoire, formé de deux pointes de terre se faisant face et laissant un espace dégagé qui permet à une embarcation de pénétrer dans la baie ainsi façonnée, explique la dénomination municipale. Des Écossais ont peuplé cet espace dès la fin du XVIIIe siècle, bien que déjà des pêcheurs basques y aient fait escale aussi tôt que le XVIe siècle.

Île Wreck

L’Île Wreck, aux îles de la Madeleine, est un haut fond qui prolonge la dune du Sud et qui ferme, du côté ouest, le chenal de la Grande Entrée, lequel donne accès au havre du même nom. Ce toponyme paraît sur une carte hydrographique, en 1960. Wreck fait sans doute allusion aux quatre navires qui ont sombré dans ce secteur et peut-être aussi aux nombreuses autres catastrophes maritimes dont l’archipel a été le théâtre au cours des années. Pour pénétrer à l’intérieur de ce port naturel qu’est le havre de la Grande Entrée, il est en effet nécessaire d’effectuer de prudentes manœuvres, car le chenal est étroit et les bancs de sable sont nombreux.

Île de la Grande-Entrée

Île de la Grande-Entrée. Photo libre de droit.

La liste des Îles-de-la-Madeleine :

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