Village de Pabos
Pabos est un joli village situé entre les villes de Chandler et de Grande-Rivière. Cependant, administrativement, Pabos fait partie de la ville de Chandler. On y compte environ 1500 résidents.
À l’époque de la Nouvelle-France, Pabos était déjà un lieu de pêche assez connu, où on comptait parfois jusqu’à 600 pêcheurs et commerçants. Cependant, au temps de la Conquête britannique, le hameau a presque disparu et on n’y trouve que 35 résidents en 1819.
Plusieurs familles d’immigrants irlandais viennent alors s’y établir. Ainsi Pabos renaît à la vie. Ces familles sont suivies par d’autres colons ayant fui l’Irlande pendant la Grande Famine. Elles défrichent les terres en bordure de la rivière de Petit Pabos et de Grand Pabos. La municipalité de Pabos est constituée civilement en 1876 sur un vaste territoire qui embrasse toute la seigneurie de Pabos, de Pabos Mills jusqu’à Petit Pabos.
Pabos devient aussi le centre ecclésiastique d’un vaste territoire de l’Est du Québec et du nord du Nouveau-Brunswick. À l’époque, la paroisse de Sainte-Famille-de-Pabos a son centre administratif sur l’Île Beauséjour, située dans la baie du Grand Pabos.
La ville de Chandler s’en détache en 1915, mais d’autres fusions et défusions ont lieu. Finalement, après la dernière fusion survenue en 2001, toutes les localités se regroupent sous le nom de Chandler (ce nom n’a été choisi qu’en 2002).
Aujourd’hui, on constate une croissance continuelle de la population de Pabos qui a plus que doublé entre 1985 et 2005. Un réseau d’aqueduc et d’égout y a été construit, ainsi que de nouveaux projets résidentiels, des logements pour personnes âgées et des écoles. On y trouve également un belvédère sur la rivière Petit-Pabos et un petit port à l’embouchure de cette rivière, avec accès à une plage sablonneuse (très fréquentée en été). Un centre de loisirs sur la route de l’Église avec une piste de ski de fond et une patinoire extérieure a été aménagé, ainsi qu’un parc récréatif avec piste de course sous harnais et un terrain de golf.
Pabos Mills
Petit territoire coincé entre Chandler à l’est et Newport à l’ouest, Pabos Mills doit son existence à Newport et à Pabos dont il a été détaché en 1952, pour former une municipalité autonome. La paroisse de Saint-François-d’Assise, qui a suscité la dénomination courante Saint-François-de-Pabos, avait été érigée canoniquement en 1950. De forme irrégulière, cet espace est orienté nord-sud et la baie du Grand Pabos y pratique une vaste échancrure. Le constituant Pabos a été repris de la forme ancienne qui sert à identifier le territoire de Pabos dès le milieu du XVIIIe siècle. L’élément Mills souligne la présence de quelques moulins à bois autrefois. La forme dénominative Pabos Mills a été enchâssée dans le nom du bureau de poste en 1908. Les Pabosmillois, qui transposent verbalement ainsi le nom municipal : « pabomilz » vivent surtout de l’activité touristique qui anime leur localité au cours de la belle saison.
Voir aussi :
Suis a la recherche de 2 hommes dans les années 70-75 qui aurait été sauver en mer du bateau GC Suroit .au large de l’ile bonaventure,je fait ca pour Monsieur Euclide Gionet de Bas-Caraquet au Nouveau-Brunswick c’était lui qui les avait sauvé et il aimerait savoir si il sont toujours vivant et leur parler,merci de bien vouloir me répondre s.v.p.Ca serait très important pour lui.
Je suis a la recherche de la famille de Dulcia Gionest qui vivait achandler de 1950 a 1956. Elle aurait fréquenté un marin du nom de GérardMatte qui demeurait a Montréal. Si je ne me trompe pas, son père avait unstand de taxi et son oncle un dépanneur. J’aimerais bien la retrouvée Linda Matte