
Gestion des parcs au Québec
Au Québec, les parcs sont voués à la protection du patrimoine naturel pour le bénéfice de la population.
L’exploitation commerciale et industrielle des ressources forestières, minières ou énergétiques y est défendue, ainsi que la chasse et le piégeage. Les oléoducs, gazoducs et lignes de transport d’énergie y doivent contourner les espaces faisant partie des parcs.
En 1977, lors de l’adoption de la Loi sur les parcs (L.R.Q., chapitre P-9), la responsabilité des parcs québécois a été confiée au ministère du Tourisme, de la Chasse et de la Pêche.
Toutefois, en 1980, ce ministère change de nom pour devenir ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche. En 1994, le ministère est aboli et la responsabilité des parcs passe au ministère de l’Environnement et de la Faune jusqu’au mois d’avril 1999.
Depuis lors, le mandat est passé à deux organismes qui assument chacun une partie des responsabilités en ce qui a trait au développement d’un réseau de parcs d’État. Il s’agit de la Société de la faune et des parcs du Québec et de la Société des établissements de plein air du Québec SEPAQ.
La gestion de la faune et de la flore des parcs est orientée toujours vers la connaissance des espèces. À ce but, l’administration réalise des inventaires pour chacun des groupes des espèces présentes. Par ailleurs, des aménagements favorisant certaines espèces sont réalisés.
La direction des parcs tente aussi d’intéresser différents organismes à mener les inventaires et les études nécessaires à la saine gestion des ressources. Un système de surveillance et de suivi des impacts causés aux parcs par l’action d’homme y est établi afin d’adoption des mesures appropriées pour préserver nos espaces pour les générations à venir.
Il est curieux de constater dans la nomenclature québécoise de des entités (lacs, îles, îlots, rivières, baies, monts, anses, collines, rapides, chutes, caps, etc.) qu’il n’y qu’une centaine de forêts et bois qui ont reçu des noms officiels au Québec. Comment expliquer ce phénomène ? Quelques toponymistes (tels V.A. Nikonov) font appel au principe de « relativité négative » pour éclaircir ce fait. C’est que les toponymes reflètent souvent les caractéristiques exceptionnelles plutôt que les caractères typiques des lieux nommés. Les toponymes témoignent souvent, du fait de leur occurrence même, de la carence relative ou de la rareté du phénomène qu’ils évoquent, et inversement.
Il faut aussi dire que la forêt québécoise est en général continue, de sorte qu’elle ne présente que rarement des parties détachées, susceptibles d’être identifiées dans des limites claires et reconnaissables.

Bonjour,
Je suis en Licence (Bac+3) Aménagement du Paysage à Limoges, en France. Un stage de 1 mois à l’étranger m’est demandé pour acquérir une expérience professionnelle et personnelle dans un autre pays. Mon stage principal dure 3 mois, et c’est sur celui-la que je serait évaluée. Je n’est donc pas de rapport de stage à faire concernant le stage à l’étranger.
Mes parents sont déjà allé au Canada et ont beaucoup aimé, c’est pour cela que je choisit de partir dans ce pays.
Pouvez-vous m’aider pour la recherche de ce stage? Vers quels organismes dois-je me tourner si je veux le faire dans l’aménagement paysager ou encore dans l’environnement ?
J’attend avec impatiente votre aide, merci beaucoup!
Cordialement
Virginie.B