
La chaîne des montagnes Appalaches
Les Appalaches, dont le nom vient du nom des Amérindiens Appalaches, sont une chaîne des montagnes anciennes et usées, située à l’est de l’Amérique du Nord. Plus de 1500 (si ce n’est pas 2000) sommets des Appalaches dépassent les 1000 mètres d’altitude. Plusieurs autres sommets sont plats et semblables à des plateaux, ne dépassant mille mètres d’altitude.
Ces montagnes sont facilement accessibles. Des rivières ont creusé des gorges et vallées au sein des montagnes au cours de la dernière glaciation, survenue il y quinze mille ans.
Le massif appalachien s’étend de Terre-Neuve au nord, jusqu’au centre de l’Alabama au sud.
Le sommet le plus haut des Appalaches est le mont Mitchell de 2 037 mètres, situé en Caroline du Nord.
Ce sont les Appalaches qui forment une ligne de division la plaine côtière Atlantique du bassin du Mississippi et des Grands Lacs.
De nos jours, un type spécifique de relief, le relief appalachien, désigne en général des montagnes anciennes fortement arasées, peu importe leur localisation.
Au Québec, les Appalaches rejoignent la mer à l’extrémité de la Gaspésie, ou de spectaculaires falaises et promontoires se précipitent dans les flots.
C’est le mont Jacques-Cartier, avec ses 1 270 mètres qui est le mont appalachien plus haut au Québec. Des parties du massif Appalachien ont des appellations différentes : les monts Chic-Chocs occupent la péninsule gaspésienne ; les monts Notre-Dame s’étirent de la Beauce à Gaspé; ensuite, les montagnes Vertes sont la continuation des Green Mountains du Vermont et les montagnes Blanches estriennes sont le prolongement des White Mountains du New-Hampshire.
La végétation des Appalaches est très diversifiée et au Québec les forêts appalachiens sont composées en majeure partie de conifères : l’épinette blanche, le sapin baumier et l’épinette noire sont omniprésents, sauf sur les pics les plus élevés et les plus exposés
Dans les vallées fluviales à basse altitude, on trouve l’érable à sucre, le pin blanc et la pruche du Canada. Dans les zones plus humides, on trouve l’érable rouge, le frêne noir, le cèdre blanc, tandis que le chêne rouge, le pin rouge et le pin blanc sont des arbres typiques des zones secs.
Plusieurs parcs, réserves, sentiers pédestres, zones de la chasse et de la pêche ont été aménagés les Appalaches.
Le sentier les plus important, c’est le Sentier des Appalaches ou Appalachian Trail qui la chaîne de la Gaspésie jusqu’au sud des États-Unis.
Au Québec, on peut citer, entre autres, le parc de la Gaspésie, le Parc national de Forrillon ou le parc régional des Appalaches, situés dans les Appalaches.
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Un paysage typique de la chaîne. Photo : © GrandQuebec.com.
bonjour,
j ai beaucoup admirer ces informations
Merci beaucoup !
Ces infos m’ont beaucoup aidées pour mon travail
les sommets sont souvent plats et semblables à des plateaux, ne dépassent mille mètres d’altitude… FAUX. Plus de 1500 (si ce n’est pas 2000) sommets des Appalaches dépassent les 1000m d’altitude.
Mt Jacques-Cartier = 1268m et non 1320m.
Merci, M. Le Correcteur, le texte a été corrigé, le mont Jacques-Cartier, c’est plutôt 1270m, d’après wikipedia, alors on laisse cette dernière altitude, mais en fait 1268 ou 1270, ça fait peu de différence, et 1320, c’était définitivement trop.
c’est très bon
merci!
encore faux, tu corrige le correcteur disant que tu as tiré toute cette information de wikipedia, si tu regard bien sur le site web sa dit Modifier la page wui veut dire nimporte qui peut mettre de linformation et chance sont qu’il est fausse
Wikipedia = 75% faux si non 80-90% faux
Merci beaucoup pour ses informations! Cela m’a beaucoup aidée pour faire mon travail 🙂
l’information que vous véhiculer n’est pas du tout complète. il y a encore des choses très importante à ajouter comme:
– Le dégagement des formes structurales dérivées est intégralement dû à l’érosion différentielle dans des séries sédimentaires ou métamorphiques tranchées par une surface d’aplanissement dont porte témoignage, après son défoncement, la concordance d’altitude des crêtes.
Le réseau hydrographique, en baïonnette, associe des sections longitudinales adaptées à la lithologie, et des sections transversales, inadaptées par surimposition, recoupant les crêtes en cluses fonctionnelles (water gaps) ou non (wind gaps). Un relief para-appalachien dérive d’un aplanissement partiel qui respecte des reliefs résiduels. Le terme de pseudo-appalachien désigne une association de crêtes et de sillons dégagée dans des roches plutoniques ou volcaniques de résistance contrastée.
-Chaîne de montagnes de l’est de l’Amérique du Nord, entre l’Alabama et l’estuaire du Saint-Laurent.
Les Appalaches se divisent en quatre régions : 1° au S.-E., le plateau du Piedmont, d’une altitude de 200 à 500 m, est formé de roches cristallines. La Fall Line marque sa limite vers la plaine côtière. 2° au N.-O. du Piedmont, le Blue Ridge, bloc cristallin soulevé, porte les plus hauts sommets (2 037 m au mont Mitchell). 3° à cette région succède celle des crêtes et vallées ; c’est le relief appalachien typique, qui comprend des crêtes formées, dans une structure sédimentaire plissée, par les roches les plus dures et de vallées, en roches tendres, parfois très larges (haut Tennessee, Grande Vallée). Les crêtes sont coupées de cluses vives (water gaps) ou mortes (wind gaps), voies de passage pour les colons et les armées. 4° une dénivellation élevée et presque continue, l’Allegheny Front, marque le rebord des plateaux appalachiens (plateau de Cumberland, plateau Allegheny), tables calcaires inclinées vers l’Ohio ou les Grands Lacs inférieurs.
les domaines des appalches et leurs strucutures svp